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La Ville de Besançon s’est dotée de quatre chaufferies bois mobiles. Ces nouveaux équipements sont installés dans quatre bâtiments publics de la cité, particulièrement énergivores : l’institut supérieur des Beaux-Arts, la cuisine centrale, le groupe scolaire  Jean Zay et prochainement le Centre International de Séjour. Le coût global de ces acquisitions s’élève à 1 million d’euros. En même temps qu’elle procède à la rénovation énergétique de ces bâtiments et que se poursuit les travaux liés à la création d’un réseau de production de chaleur, la ville développe ce dispositif.

Contraintes de faire face aux augmentations constantes des prix de l’énergie, les collectivités doivent porter des réflexions pertinentes pour alléger la facture. Alimentées par la ressource en bois, provenant des forêts bisontines ou situées à 40 km autour de Besançon, réceptionnées sous forme  de plaquettes, ces machines ont cette vocation. Selon la Ville, un gain de 80.000 euros est estimé pour l’année 2024. En année pleine, avec les quatre chaudières en fonctionnement, une réduction de 130.000 euros est envisagée.

 

besancon chaudiere 2

Utiliser toutes les énergies renouvelables

La Ville de Besançon a également choisi cette option car elle salvatrice pour la planète. Anne Vignot, la Maire de la cité comtoise,  explique qu’elle permet « une baisse de 20% des gaz à effet de serre Â». Parce que c’est bon pour la planète, mais aussi parce que la Ville veut s’éloigner de sa dépendance financière avec les énergies fossiles, Mme Vignot entend développer, sur son territoire d’action, toutes les énergies renouvelables possibles. Cela passe également par la géothermie.

Le reportage de la rédaction : Mr Titeux, technicien à la ville, et Mme Chaumet, élue.

 

Dans le cadre de l’opposition d’habitants, concernant l’implantation d’une antenne relais au Mont Vouillot, une réunion publique se tiendra ce mardi 6 février, à 19h45, à la salle des sociétés, rue Barral, à Morteau. La pétition mise en ligne a  obtenu plus  de 1000 signatures. Pour les opposants, cet équipement, prévu sur le territoire de la commune des Fins, « va défigurer le Val de Morteau et menace la beauté naturelle de ce site Â». Les travaux ont déjà débuté, mais il est demandé une implantation ailleurs, où les impacts paysagers seront moins importants et où des antennes existent déjà.

En vidéo, la Ville de Pontarlier et la Communauté de Communes du Grand Pontarlier viennent de rendre public leurs ambitions et projets pour 2024. La capitale du Haut-Doubs investira entre 6 et 8 millions d’euros dans l’économie locale. Le budget définitif sera voté en avril prochain. Les investissements porteront sur la rénovation du patrimoine immobilier et de l’éclairage public, en lien avec les enjeux de sobriété énergétique, la voirie et l’aménagement des espaces publics et les champs de l’accessibilité et des mobilités douces. Sans oublier les grands projets d’aménagement que sont l’îlot Lallemand et le Grand Cours.

La Communauté de Communes se positionnera, cette année, sur un budget de 67 millions d’euros, dont 23 millions d’euros d’investissement. Parmi les projets que la collectivité développera : le lancement de la phase opérationnelle du centre aquatique, le projet « renaissance Â» du Château de Joux et la rénovation énergétique du bâtiment « la Belle Vie Â», appartenant à la collectivité, implanté à Houtaud.  Une décision concernant l’avenir de cette bâtisse devrait intervenir en fin d’année.

Grand Besançon Métropole fait savoir que ce lundi 5 février débute la construction d’un nouveau réseau d’eaux pluviales rue de la République à Besançon. Les incidences sur la circulation ne seront effectives qu’à compter du 12 février. Des déviations seront mises en place. Les accès riverains et livraisons sont maintenus. Ce chantier devrait s’achever le 3 mai prochain.

Une mobilisation s’est tenue, ce jeudi matin, devant l’école de la Rivière Drugeon pour s’opposer à la fermeture annoncée d’une classe à l’école primaire. Les parents d’élèves ne comprennent pas cette décision. D’autant plus, selon eux, que « les effectifs n’ont pas changé Â». Ils refusent de sacrifier leurs enfants « pour des raisons économiques Â». Les familles craignent « un impact négatif sur l’équilibre de l’école et l’éducation et les apprentissages des enfants Â». Le collectif se dit « déterminé Â»  et attend « des réponses de la part des autorités de tutelle Â». Elles devraient être connues ce vendredi.

« En fonction de la réponse qui nous sera donnée demain, nous continuerons ou pas notre combat Â» explique Mélanie Aubry, un des parents mobilisés. Le collectif n’a d’ailleurs pas tardé de se faire entendre. A peine a—t-il eu écho de la mauvaise nouvelle que ses membres ont agi. « Qui dit fermeture, dit plus d’élèves dans les classes, avec toutes les conséquences qui en découlent Â» termine cette maman, très en colère.

L'interview de la rédaction / Mélanie Aubry

 

Ce mercredi, à 18h15, au Centre Médico-Social,  la Ville de Morteau, la MJC  et le Conseil Départemental organisent une réunion d’information  dans le cadre de l’opération « Accueillir chez soi Â». Cette première rencontre a pour objectif de mettre en relation des personnes en capacité de proposer un accueil à destination d’un public. Plusieurs typologies de personnes sont visées, qu’il s’agisse d’étudiants, d’apprentis, de jeunes travailleurs d’un enfant de l’aide sociale ou porteur d’un handicap pour soulager sa famille.

Le Pôle Rénovation Conseil Loue Lison de la Communauté de Communes éponyme est équipé d’un nouvel outil : la mallette énergie. Cette mallette énergie permet de faire soi-même le diagnostic énergétique de son habitation. Cette mallette est prêtée gratuitement. Elle ne remplace pas le diagnostic performance énergétique (DPE) délivré par un professionnel. On y trouve à l’intérieur différents appareils, comme une caméra thermique, un mesureur de C02, un dosimètre radon,… . Pour obtenir toutes les informations nécessaires : 06.02.01.15.47 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Dans le Haut-Jura, les élus des Hauts de Bienne mettent à disposition des habitants une enveloppe budgétaire pour qu’ils puissent développer un projet. La somme allouée s’élève à 20.000 euros. Les habitants et personnes scolarisées de plus de 10 ans, ainsi que les associations domiciliées sur la commune, ont, jusqu’au 31 mars, pour soumettre leurs idées de projets en se procurant un dossier à la mairie de Morez. Des permanences ont lieu tous les mercredis de 14h à 17h, dans l’Arcade Box,  située Place Jean Jaurès à Morez. Après le vote des habitants les projets les plus plébiscités seront connus à la fin du mois de juin prochain.

3.252. C’est le nombre de scolaires qui se sont rendus au Château de Joux, à la Cluse-et-Mijoux, durant l’année 2023. Ces jeunes gens ont pu découvrir l’histoire du Fort de Joux et participé aux différents ateliers et visites pédagogiques, adaptés au niveau de chaque élève. Au total, durant l’année 2023, ce sont près de 60.000 personnes qui ont franchi le pont levis du Château. Soit une augmentation de plus de 13% par rapport à 2022.

La Ville de Besançon est fière d’annoncer qu’elle a obtenu la dénomination « commune touristique Â». Selon le communiqué de la cité, « ce classement, accordé pour cinq ans, est un signal très positif envoyé à tous les professionnels du tourisme Â». Elle prouve « l’attractivité et le dynamisme de ce territoire Â». Ce label reconnaît les atouts culturels, patrimoniaux et environnementaux de la ville, comme ses chemins de randonnées, sa boucle VTT de 200 km, son patrimoine et son centre-ville historique, …