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La société Kéolis indique qu’en raison de la crise sanitaire et l’absence de personnel sur les lignes périurbaines, des horaires ont été modifiés. Pour tout savoir sur la nouvelle organisation mise en place : www.ginko.voyage. Rappelons qu’elle prend effet à compter de ce mardi 11 janvier.

 

Alors qu’un appel à la grève est lancé par les syndicats enseignants, pour ce jeudi, pour dénoncer le protocole sanitaire, imposé par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19, on a appris que la FCPE appelle les parents d’élèves à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 13 janvier. Il semble que les derniers ajustements annoncés lundi soir par Jean Castex n’aient pas calmé la colère des différents acteurs de l’éducation.

Dès le 12 janvier prochain, un second centre de vaccination prendra place dans la salle Espace Rives du Doubs, au 12 rue du Puits à Doubs jusqu’au 30 mars 2022. Il abritera 3 nouvelles lignes de vaccination, en complément des 3 lignes déjà existantes au centre de vaccination de Pontarlier. Il sera ouvert aux mêmes horaires que son homologue pontissalien : du lundi au samedi, de 8h à 17h. 

L’épidémie de Covid-19 continue de battre des records. La Bourgogne-Franche-Comté n’est pas épargnée. Actuellement, tous les départements sont concernés par des taux d’incidence à 4 chiffres. Sous l’effet de la double vague delta et omicron, la pression hospitalière s’accroît elle-aussi : plus de 900 personnes sont désormais prises en charge, dont 160 en soins critiques et l’ARS a demandé aux établissements de prolonger le plan blanc de 4 semaines.

Concernant l’épidémie de Covid-19. Selon des chiffres du rectorat de Besançon, arrêtés à la date de ce jeudi 6 janvier, aucune structure scolaire et aucune classe ne sont fermées à ce jour. En cumul sur les quatre jours, 770 cas confirmés d’élèves et 72 cas de personnels ont été déclarés. Le communiqué de presse précise que l’éducation nationale a commandé 55 millions de masques chirurgicaux afin d’équiper les personnels des écoles et des établissements scolaires, avec des premières livraisons dès la mi-janvier

 

Après des séances très mouvementées en début de semaine, les députés ont finalement adopté le projet de loi transformant le passe sanitaire en passe vaccinal. Le texte a finalement été validé tôt ce jeudi matin par 214 voix, 93 contre et 27 abstentions. Il doit désormais être examiné par le Sénat en début de semaine prochaine, pour une entrée en vigueur au 15 janvier, tel que le gouvernement le souhaite.

Dans un communiqué de presse, l’Agence Régionale de Santé indique que la circulation du virus liée à la Covid-19 a atteint ces derniers jours dans la région « un niveau inédit Â», s’élevant à 1300 cas pour 100.000 habitants. Ce chiffre s’explique par l’hyper-contagiosité du virus Omicron, qui est désormais majoritaire.

A la demande de notre rédaction, Eric Alauzet, le député doubiste de la République-en-Marche a réagi aux propos d’Emmanuel Macron. Mr Alauzet nous indique qu’il partage ‘les propos tenus par Gabriel Attal, à l’issue du conseil des ministres de ce jour Â». Pour l’élu bisontin, il est important de « tout faire pour pousser à la vaccination celles et ceux qui s’y refusent et font planer une menace sur les personnes fragiles et eux-mêmes, les soignants, l’hôpital, notre vie sociale et économique Â».

En raison de la situation sanitaire et de l'absence de personnel sur ses lignes, la société Keolis fait savoir que les horaires des lignes périurbaines du réseau Ginko ont été modifiés sur le Grand Besançon. Pour de plus amples informations : www.ginko.voyage.


C’est une prise de parole qui en a surpris plus d’un. Dans une interview accordée au journal « Le Parisien Â», Emmanuel Macron a déclaré qu’il avait « très envie d’emmerder les non-vaccinés Â». Une déclaration qui a semé le trouble dans les rangs de l’Assemblée Nationale où les discussions sur le projet de loi voulant transformer le passe sanitaire en passe vaccinal sont très houleuses depuis le début de semaine.

Pour Marie-Christine Dalloz, la Députée LR du Jura, il s’agit  d’une démarche « volontaire Â»,  dans le but « de fracturer encore la société Â». La parlementaire y voit tout sauf de « l’inexpérience Â». Elle regrette cette posture politique qu’elle juge « indigne de la fonction présidentielle Â». Un président de la république doit « rassembler les Français Â». Mme Dalloz rappelle que toutes les personnes qui ne se font pas vacciner ne sont pas toujours opposées au sérum et le font parfois « pour des raison médicales Â».

Dans les allées de l’Assemblée Nationale, Marie-Christine Dalloz le confirme, les Députés de la majorité présidentielle font plutôt Â« profil bas Â».

L'interview de la rédaction