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Un homme de 48 ans a été placé en garde à vue ce lundi 28 novembre à Besançon. Il est soupçonné d’avoir crevé les pneus de plusieurs véhicules rue Charles Edouard Guillaume, entre le 23 et le 26 novembre. L’auteur présumé a été interpellé lorsqu’il est venu porter plainte au commissariat de police après avoir reçu un ou deux coups de poing émanant d’une victime. Le quadragénaire a reconnu les faits du 26 novembre, mais pas ceux du 23 novembre. Il a justifié son comportement par un état dépressif et un ras le bol de voir des gens stationner n’importe où.

Un automobiliste de 33 ans sera convoqué ultérieurement au commissariat de police de Pontarlier. Le 27 novembre, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il conduisait avec 1,92 gramme d’alcool dans le sang. Le trentenaire a été remis à un tiers. Son véhicule a été immobilisé.

Un jeune homme de 22 ans devra suivre un stage portant sur les violences conjugales en janvier prochain à Besançon. Les faits se sont déroulés à Pontarlier. Ce dernier est soupçonné d’avoir commis des appels malveillants et envoyé plusieurs SMS à sa victime. Il a été interpellé ce lundi matin à son domicile. Sa garde à vue a été levée en fin d’après-midi. Il a reconnu les faits au cours de son audition.

Ce lundi matin, à Besançon, un jeune homme de 27 ans a été placé en garde à vue différée en raison de son alcoolémie. Lors d’un contrôle, pratiqué vers 1h30, alors qu’il roulait à une vitesse excessive rue de Dole, il est apparu qu’il conduisait sous l’effet de l’alcool. Il présentait un taux de plus de 2 grammes d’alcool par litre de sang. Ce même conducteur faisait également l’objet d’une mesure d’annulation de son permis de conduire.

Jura : incendie

Mai 06, 2024

Ce dimanche après-midi, les sapeurs -pompiers du Jura sont intervenus à Montigny-sur-l’Ain (39)  suite à l’explosion d’une chaudière à bois dans une maison isolée. Une victime a été prise en charge par les secours et transportée sur un centre hospitalier. Dix soldats du feu  se sont rendus sur place.

A Pontarlier. Un homme de 40 ans a été replacé en hôpital psychiatrique dans l’attente d’une expertise psychologique, qui devrait avoir lieu en janvier 2023. Entre le 30 septembre et le 7 octobre, cet individu a suivi trois fillettes, âgées entre 9 et 13 ans, et aurait eu des gestes déplacés à leur encontre. Les trois enfants sont très choquées. Affaire à suivre.

C’est dans un magasin de vêtement du centre-ville que la Ville de Besançon a lancé le dispositif « Où est Angela ? ». A travers cette initiative, la cité comtoise veut lutter contre le harcèlement de rue et les violences faites aux femmes. Concrètement, lorsqu’une personne est en danger, elle peut trouver refuge dans l’un des 30 commerces bisontins. En prononçant cette phrase, elle y trouvera de l’aide et un soutien.  Les victimes seront alors mises en sécurité et les contacts nécessaires seront pris.

Les professionnels, engagés dans cette démarche, ont accepté de suivre une formation de deux heures dispensée par le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CDIFF). C’est ainsi tout un ensemble de partenaires qui se mobilisent autour de cette cause. L’Etat, les polices nationale et municipale, la société Ginko et l’union des commerçants de Besançon ont répondu favorablement à la sollicitation qui leur a été adressée.

VIGNOT FEMME FEMME

Anne Vignot, la maire bisontine, explique que « 86% des femmes sont victimes de harcèlement de rue et 8 femmes sur 10 n’osent pas sortir le soir de peur de se faire agresser ». Elise Aebischer, l’élue en charge des discriminations, sait que de nouveaux adhérents les rejoindront en 2023. D’ores et déjà de nouveaux temps de formation sont programmés. Anne Vignot veut rendre sa ville la plus sécurisée et  apaisée possible. Ce qui passe par ce genre de dispositifs et « un maillage intégral du territoire » par un ensemble d’interlocuteurs, (associations, forces de l’ordre, institutions, organismes) engagés dans une démarche professionnelle et militante pour le mieux vivre ensemble.

L'interview de la rédaction / Elise Aebischer et une commerçante bisontine

 

 

C’est un fait divers que cette famille de Villers Bouton, en Haute-Saône, n’oubliera jamais. Mercredi, en fin d’après-midi, trois jeunes sangliers, pesant chacun environ 80 kilos, ont fait irruption dans leur maison. La lucidité et le sang-froid du mari, qui venait de rentrer du travail, a permis de diriger les cochons sauvages dans la chambre à coucher du couple. Ce qui a permis de protéger son épouse, leur nourrisson de 6 mois et le chien.

Les indésirables ont fini par prendre la fuite par la porte fenêtre de la pièce, défonçant, dans la foulée, les trois enclos qui protégeaient la propriété. Margaux, la jeune maman, ne cache pas qu’elle a eu très peur. « On sentait qu’ils étaient apeurés. Ils n’ont pas cherché à attaquer. Les dégâts matériels ne sont pas très importants » explique-t-elle. Et de poursuivre : « Un ami chasseur nous a expliqué que nous avions eu de la chance. Des sangliers plus costauds auraient pu tout casser sur leur passage ».

sanglier christophe 2

Margaux reconnaît que cette visite inattendue, rien de courtoise, l’a marquée. A tel point que les vérifications sur la bonne fermeture des portes de la maison s’effectuent désormais à plusieurs reprises.  La jeune maman a craint pour son mari qui s’était enfermé avec les trois animaux. « C’est mon héros » dit-elle avec sourire et beaucoup de reconnaissance.

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce matin pour un feu dans un local de 50 m2, faisant usage de chaufferie, dans une habitation à Neublans-Abergement. Deux personnes, légèrement blessées, ont été transportées sur un centre hospitalier après avoir inhalé des fumées.

Un homme, âgé de 32 ans, a été interpellé mercredi, vers 17h30, à Besançon, dans le quartier de Planoise. Sa garde à vue a été prolongée hier soir. Il a été suivi à distance par des policiers qui effectuaient une patrouille pédestre. Ils ont aperçu le trentenaire qui se dirigeait, sachet en plastique et téléphone à la main, dans un immeuble. Il s’apprêtait à déposer son sachet dans un local électrique. Il était en possession de 34 grammes d’herbe de cannabis, 280 grammes de résine de cannabis, 17 grammes de cocaïne et 440 euros en liquide.