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Pour sa sixième année en nationale 1, le BesAC poursuit son recrutement. Deux nouveaux joueurs rejoignent le collectif bisontin. Ainsi, Anthony Andremont (22 ans – 1,92m)  portera le maillot bisontin la saison prochaine. Il arrive en provenance de Tours. Le club a décidé de doubler le poste de meneur et de faire appel à ses services. Il évoluera aux côtés d’Anthony Da Silva, titulaire à ce poste.

Par ailleurs, Brahim Dohou sera également bisontin la saison prochaine Agé de 24 ans, l’ailier arrive des Sables, après avoir connu la ProA et la ProB, avec, respectivement, Le Mans et Denain.

Encore une nouvelle recrue au BesAC. Quentin Dielh est le troisième renfort du club de basket bisontin pour la saison prochaine. Il officiera au poste d’arrière. Il officiait jusqu’à présent de Mulhouse. Le club le présente comme « une référence de nationale 1 à son poste et la  bête noire du BesAC, tant en nationale 2 qu’en nationale 1 ».

Pour renforcer son effectif pour la saison prochaine, le BesAC, le club de basket bisontin, vient de s’attacher les services de Thibault Boyer. Agé de 23 ans, le pivot est le deuxième renfort de la formation. Il jouait précédemment en Nationale 2 sous le maillot d’Aubenas, après avoir porté les couleurs de La Pontoise (N2), Sud Drôme (N3) et Montélimar (N3). Le club le présente comme un bel espoir tricolore. A Besançon, il sera la doublure du pivot titulaire qui, selon toute vraisemblance, sera un joueur étranger.

Pour remplacer Siriman Kanouté, parti rejoindre la ProB et Aix Maurienne, le BesAC a recruté Anthony Da Silva (22 ans – 1,85m). Il arrive du Havre. Les deux parties ont trouvé un accord pour un contrat de deux ans avec une clause de sortie possible à l’issue de la première saison, mais uniquement pour un club de division supérieure (Pro A ou Pro B) ou pour un club étranger.

Dans le même temps, le club annonce d’autres départs. Ainsi, L’intérieur Guillaume Valayer rejoint Berck, en nationale 1. Sydney Hammond s’en va à Boulogne-sur-Mer, un club de nationale 1. Enfin, Gaëtan Etienne, l’adjoint de Joseph Kalambani, a choisi d’évoluer la saison prochaine à Toulon, qui a été repêché en nationale 1, suite à l’impossibilité pour Lons-le-Saunier de confirmer sa montée sportive.

Le BesAC, le club de basket de Besançon, ne cache pas son plaisir d’annoncer que l’Américain Mykal Riley portera encore les couleurs bisontines la saison prochaine. Il a donné son accord pour passer une saison supplémentaire en Franche-Comté.  

Rappelons qu’il y a quelques jours, la formation  avait fait savoir que son ancien entraîneur, Nicolas Faure, était de retour. Il officiera au poste de directeur sportif la saison prochaine. Joseph Kalambani reste plus que jamais aux commandes de l’équipe fanion, qui officiera encore en nationale 1 masculine la saison prochaine.

Grâce à sa victoire, ce dimanche après-midi ( 78-76) face à Fougère, le club de basket de Lons-le-Saunier s’offre une place en demi-finale du championnat de France de nationale 2. Par la même, le club décroche également son accession en nationale 1. Pour l’heure, la formation est sportivement à ce niveau, mais sa situation  financière  ne permet pas de valider entièrement cette accession.

Le BesAC, le club de basket bisontin, annonce trois départs pour la saison prochaine. La formation perd son capitaine Ferdinand Prénom, qui a porté durant deux exercices les couleurs bisontines. L’Américain Anthony Elechi ne fera également plus partie de l’effectif. Gaëtan Etienne, l’assistant de Joseph Kalambani,  ne sera plus à ses côtés sur le banc.

Le basket jurassien se porte bien. Samedi soir, en nationale 2 masculine après une vingtième victoire consécutive, Lons-le-Saunier s’est octroyé une place en play-offs. Les Jurassiens se sont imposés sur le score de 70 à 69 face à Récy Saint-Martin. La prochaine affiche est d’ores et déjà connue. Elle opposera les Lédoniens à Fougères, le 27 mai prochain, lors d’un 1er round.

En nationale 3 masculine, Montmorot termine en tête de sa poule. Les basketteurs jurassiens ont remporté le match qu’il ne fallait pas perdre. Ils se sont imposés sur le score de 75 à 83 à Lagresle. Les Catharus terminent en tête de leur championnat et s’offrent une belle accession en nationale 2. Une montée historique. La victoire de Poligny au Coteau (93-77) n’aura pas suffi. Les Polignois savaient qu’ils n’avaient plus leur destin entre leurs mains.

La fin de saison s’annonce palpitante en nationale 3 masculine de basket. Ce week-end, trois clubs vont livrer une véritable bataille à distance pour décrocher la première place du classement et obtenir leur ticket pour l’échelon supérieur. Leader de cette poule, les basketteurs jurassiens de Montmorot ont leur destin entre les mains.

Une victoire face à Lagresle leur permettrait de finaliser de la meilleure des façons cette saison. La situation est différente pour les Polignois qui doivent impérativement s’imposer et espérer une contre-performance de leurs adversaires directs pour décrocher le titre et leur billet pour la nationale 2. Le Coteau est sur le chemin des Jurassiens ce samedi.

Ce mardi, sur leur parquet des Montboucons, les hommes de Joseph Kalambani ont conclu leur saison en battant Rueil et terminent sur une note positive en battant les 3èmes de la poule médiane des play-offs d’accession en Pro B. Après avoir vécu une saison de tous les records, en termes de matchs remportés, d’affluence aux Montboucons et au Palais de Sports, le BesAC a aussi gagné en crédibilité. Désormais, place au bilan de la saison avec les joueurs et les dirigeants pour préparer l’année prochaine.

 

Après une première saison réussie avec le maintien validé dès la première phase, Joseph Kalambani l’entraîneur du BesAC, avait rempilé au mois de mars pour une année supplémentaire sur le banc du club de basket bisontin. Il possède le meilleur bilan de l’histoire du BesAC en première phase de Nationale 1 (8e, avec 12 victoires en 26 matchs). Après plus de cinq saisons passées aux côtés de l’ancien coach Nicolas Faure, l’ex-international centrafricain est sorti de l’ombre l’été dernier et a convaincu pour sa première saison sur le banc.

« On a reconstruit à 80% l’effectif. On a fait aussi le pari d’aller chercher des jeunes, comme le petit Siriman Kanouté, Sydney Hawmmond ou encore Melvin Beaubois. On a cherché à équilibrer l’équipe et son manque d’expérience avec des joueurs de qualité et qui connaissent bien la division, comme Mykal Riley ou Ferdinand Prénom » souligne Joseph Kalambani. Avec cette ambition de créer un groupe, en travaillant sur la cohésion, afin que tout le collectif puisse œuvrer dans un objectif commun. « Ce qu’on a réussi à faire » ajoute le coach. Effectivement, le BesAC a vécu une saison de tous les records. Que ce soit en termes de matchs gagnés ou même de l’affluence aux Montboucons et au Palais de Sports. « On a gagné aussi en crédibilité, en maintenant un pouvoir d’attraction qui est grand. Tout ces éléments font de cette année une année réussie. Même si on finit un peu en eau de boudin sur la phase des play-offs, parce qu’on manquait de profondeur de banc. On a eu des blessés, on a accumulé beaucoup de fatigue, et on n’a pas pu développer un niveau de jeu aussi pertinent et intéressant quand pendant la première phase. Mais globalement, je très fier de mes joueurs et de cette saison » indique Joseph Kalambani.

 

Une saison se finit et une autre commence

La saison prochaine est déjà dans toutes les têtes. « On sait ce qu’on est capable de faire, on sait comment le faire, et on sait comment on va devoir rééquilibrer l’équipe » explique l’entraineur du club de basket bisontin. Mais avant toute chose, un bilan s’impose, afin de faire le point sur le souhait des joueurs. Qui envisage de rester dans la dynamique du BesAC, et qui souhaite tenter une nouvelle aventure ailleurs. « Quand on aura fait cet état des lieux, on va devoir compléter avec des joueurs de même calibre, voire plus haut, pour continuer de performer à ce niveau. On est déjà au travail, pour nous c’est une continuité. Les joueurs, eux, peuvent régénérer un peu d’énergie mentale et physique. Les petites blessures aussi. Et pour nous dirigeants, c’est vite se mettre à table, analyser notre budget, nos objectifs, et avec quels joueurs on veut repartir à l’aventure. C’est beaucoup de travail » souligne Joseph Kalambani.