A la demande de son éditeur et du libraire, Maître Randall Schwerdorffer a été contraint d’annuler sa séance de dédicaces prévue à Besançon ce vendredi. L’avocat bisontin, défenseur de Jonathann Daval, devait y présenter son livre « Je voulais qu’elle se taise » dans lequel il revient sur l’affaire Daval et apporte un vrai témoignage sur ce qu’il a vécu, en côtoyant au plus près l’homme qui fut sans doute, il y a un an de cela, le plus haï de France.
Randall Schwerdorffer dénonce la pression et l’attitude de l’association « Osez le féminisme » qui s’est clairement opposée à cette séance de dédicaces. Pour l’avocat, la décision de l’association militante est contraire aux valeurs qu’elle entend défendre. « Comment prétendre lutter contre la liberté des femmes et mener des actions qui sont contre la liberté d’expression ? » déplore Me Schwerdorffer.
Une démarche « anti-démocratique »
Randall Schwerdorffer dénonce une position de posture. Une action militante, « sans connaître réellement l’affaire ». Il en veut pour preuve, les approximations du communiqué de presse. « Ils n’ont pas à imposer leurs idées. On voit d’ailleurs les limites de ce type d’association » ajoute-t-il. Et de compléter : « dans la confrontation et le débat des idées, ils ne me font absolument pas peur ». L’avocat se dit consterné , lui qui a toujours prôné le débat d’idée. Il explique d’ailleurs qu’il était prêt à échanger avec ses opposants. De tels agissements, émanant du milieu féministe, pour lutter contre les violences faites aux femmes, , ne desservent-ils pas cette cause ? L’avocat en est convaincu. La question est posée.
L'interview de la rédaction
Ce lundi, grâce à la vigilance d’un voisin, les gendarmes de la compagnie de Dole sont parvenus à interpeller un malfrat présumé qui avait officié, avec un comparse, dans une habitation à Parcey. Le voisin vigilant a donné l’alerte. Moins d’une heure plus tard, le véhicule a été intercepté dans le quartier des Mesnils Pasteur à Dole.
Seul un des individus est tombé dans les mailles du filet. L’autre a pris la fuite à pied. De nombreux objets provenant du cambriolage de Parcey et d'autres méfaits ont été retrouvés à bord du véhicule. Le mis en cause a été placé en garde à vue.
Lundi, vers 18h, les policiers de la BAC ont interpellé un individu sur un point de deal, basé rue de Cologne, à Besançon. Dans une sacoche, les fonctionnaires ont découvert 26 grammes d’héroïne, 17 grammes de cocaïne, 70 grammes de résine de cannabis et 5,5 grammes d’herbe de cannabis. Il possédait également 715 euros. Interpellé et placé en garde à vue, l’homme, âgé d’une vingtaine d’années, a été déféré mardi et incarcéré à l’issue.
Ce mardi 16 novembre, rue René Char, à Besançon, un conducteur de 24 ans a été placé en garde à vue et s’est vu remettre une convocation pour s’expliquer le 14 mars 2022 devant la justice. Lors d’un contrôle routier, il est apparu que ce dernier conduisait alors que son permis de conduire avait été annulé par une décision de justice.
Un homme de 46 ans devra répondre de ses actes le 10 février prochain. Le 15 novembre, il a dégradé un salon de coiffure, situé rue d’Alsace à Besançon. Cet individu, alcoolisé, a lancé une pierre dans la vitrine de l’enseigne. Des faits qu’il a reconnus durant son audition après avoir été interpellé par les policiers de la brigade cynophile.
A Besançon. Une enquête est en cours après les agissements de deux individus qui ont été surpris, via les caméras de surveillance, en train de s’attaquer, avec une disqueuse, à un mât, portant une caméra de vidéo-surveillance, installée le matin même rue de Fribourg. Malgré l’intervention rapide des policiers nationaux et municipaux, les auteurs sont parvenus à prendre la fuite. Précisons que le mât n’a pas été scié.
Hier soir, vers 20h, une camionnette stationnée le long d’une maison, a pris feu à Marvelise (25). Les sapeurs -pompiers ont procédé à l’extinction du véhicule et à la préservation du bâtiment au moyen de deux lances à eau. La propagation des flammes s’est limitée à une dégradation de 20 m2 de toiture. Aucune victime n’est à déplorer, mais les locataires seront relogés dans leur famille.
Un homme de 22 ans a été présenté ce lundi à la justice. Il a été condamné à quatre mois d’emprisonnement entièrement assorti du sursis. Le 14 novembre, place Payot, à Besançon, cet automobiliste a pris la fuite alors que les policiers se dirigeaient vers lui pour le contrôler. Il avait stationné sa voiture sur demande des forces de l’ordre. Poursuivi, le chauffard finit par obtempérer. Il a été placé en garde à vue.
Un homme, âgé d’une trentaine d’années, a été condamné ce lundi à une peine de huit mois de prison avec sursis. Le 23 septembre, lors d’un contrôle, mené boulevard Allendé, les forces de l’ordre ont constaté qu’il conduisait sous l’emprise de cannabis. Convoqué ce lundi, suite aux résultats du laboratoire, il avait été placé préalablement en garde à vue.
Ce lundi, un homme a été placé en détention provisoire dans l’attente du résultat des prélèvements en termes de consommation de stupéfiants. Le 13 novembre, vers 17h30, ce dernier a pris la fuite lors d’un contrôle routier mené dans le quartier Planoise. Les policiers motocyclistes se sont lancés à sa poursuite.
Ils sont parvenus à intercepter le véhicule après que le conducteur ait franchi plusieurs feux rouges et slalomé sur la route à plus de 150 km/h. Les vérifications d’usage ont permis d’établir que cet homme, âgé d’une trentaine d’années, n’était pas titulaire du permis de conduire et que le véhicule n’était pas assuré. Le dépistage salivaire a réagi positivement au cannabis et à la cocaïne. Le chauffard a reconnu la plupart des faits qui lui sont reprochés.