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Le deuxième jour du procès de Nicolas Zepeda a été marqué par les auditions du directeur d’enquête et d’un enquêteur qui a expliqué ce qu’il avait vu sur les images de vidéosurveillance du campus. Il y a apparaît un homme, rôdant dès le 1er décembre, dans le secteur de la Bouloie. Là, où vivait la jeune étudiante japonaise. L’enquêteur  en est convaincu, cet individu n’est autre que l’ex petit ami chilien. A la vue de cette vidéo, les avocates de Nicolas Zepeda sont montées au créneau. Dénonçant, le fait que cette vidéo et les éléments décrits n’apparaissent pas dans la procédure.

Mardi, vers 17h, à Pontarlier, un homme de 29 ans a été interpellé lors d’un contrôle routier. Les forces de l’ordre ont constaté un défaut d’assurance. Son véhicule a été immobilisé. Les dépistages aux stupéfiants ont répondu positivement à la consommation de cocaïne et de cannabis. Le jeune contrevenant sera convoqué ultérieurement lorsque le résultat des analyses toxicologiques définitives sera connu.

La police de Pontarlier a été saisie le 27 mars dans la matinée par le tribunal judiciaire de Besançon pour un individu de 34 ans qui ne respectait pas les mesures d’un aménagement de peine. Ce dernier, sous bracelet électronique, sortait manifestement en dehors des horaires indiqués. Interpellé à 10h25, il était placé en garde à vue. Seulement, l’individu qui a reconnu les faits, a expliqué ses retards de déclenchement par des difficultés à se rendre au travail, et à respecter ses horaires, parce qu’il ne souhaite pas avertir son patron du port de son bracelet électronique. Il a déclaré avoir prévenu le SPIP (Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation) et pensait que tout était validé, qu’il était en norme. L’homme a été laissé libre, en attente de décision du parquet. 

Les sapeurs-pompiers sont intervenus cet après-midi, vers 13h, à Poligny, pour un dégagement de fumée dans une habitation. Deux personnes ont été évacuées. Les locataires ont pu regagner leur logement après l’intervention des soldats du feu.

Un nourrisson de 6 mois se trouve entre la vie et la mort, ce mercredi, à l’hôpital de Besançon. Suite à un signalement du CHU de Besançon, ses parents ont été placés en garde à vue. Son père, âgé de 30 ans, est suspecté de l’avoir frappé à de nombreuses reprises. Au domicile familial situé à Recologne, les gendarmes ont découvert de nombreuses armes à feu.

Les médecins ont découvert de multiples marques de violences sur ce nourrisson, absolument pas accidentelles selon ces derniers. La mère, une femme de 29 ans, a été placée en garde à vue la première car elle était déclarée comme parent isolé, vivant seule avec son enfant. C’est plus tard qu’elle a avoué aux enquêteurs vivre avec son mari, le père de l'enfant, en niant être l'auteure des violences à l'encontre de son bébé, et en déclarant être victime de violences conjugales. Elle soupçonne son mari d'avoir frappé leur enfant. 

Un arsenal retrouvé au domicile familial

Le père de l'enfant, un homme de 30 ans, chauffeur routier, possède un casier judiciaire pour plusieurs infractions au code de la route. Lors de la perquisition menée au domicile familial, les gendarmes ont découvert 25 armes de chasse, dont certaines sans permis. L’homme a été mis en examen. Une enquête a été ouverte par le parquet de Besançon pour déterminer l'implication exacte des deux membres du couple. 

Un traileur a chuté dans les bois ce mardi après-midi à Conliège. La victime a été prise en charge par l’équipe du secours en milieux périlleux. Elle a été ensuite dirigée en ambulance sur un centre hospitalier.

Hier soir, un individu a été placé en rétention administrative en vue d’une potentielle reconduite à la frontière. Très énervé par la décision de la préfecture et par son interpellation, cet homme de 26 ans a cassé la porte du local et dégradé une fenêtre, ce qui l’a conduit en garde à vue pour destruction de biens publics. N’ayant pas de place au centre de rétention, cet individu habitant Pontarlier a été laissé libre avec une convocation en justice pour le mois d’avril, ainsi qu’une obligation de quitter le territoire français.