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Ce samedi, l’ESBF dispute son match retour des quarts de finale de la Coupe d’Europe. Les Engagées affrontent Bietigheim. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 16h. A l’aller, les Bisontines se sont inclinées sur le score de 23 à 29.

Ce dimanche après-midi, l’ESBF s’est inclinée sur le score de 23 à 29 face à Bietigheim pour le compte du match aller des quarts de finale de la Coupe d’Europe de handball féminin. Il faudra rattraper ces six buts d’écart samedi prochain, en Allemagne, pour espérer disputer les demi-finales de cette compétition.

L’ESBF et le CLA de Besançon viennent de signer une convention qui formalise une démarche de formation linguistique à destination des joueuses professionnelles du club. A travers cette démarche, les enseignants du Centre de Linguistique Appliquée interviennent  auprès des joueuses internationales bisontines afin qu’elles puissent parfaire leur français et pour les Françaises qu’elles acquièrent des compétences dans la pratique d’une langue étrangère. Ainsi, par exemple, l’ailière gauche Kiara Tshimanga suit des cours d’anglais pour mener à bien son autre projet professionnel.

Ce sont 40 heures de cours qui sont prévues par joueuse. De quoi pouvoir apporter les connaissances linguistiques rudimentaires dans les domaines de la vie quotidienne et du sport. Pour Daniel Hournon, le président de l’ESBF, cette démarche est "riche et importante car elle permet aux joueuses de mieux s’intégrer sportivement et socialement". Les progrès sont notoires.

Certes Sébastien Mizoule, le coach bisontin, assure encore ses séances et ses causeries en anglais, mais le Français gagne du terrain. Depuis le 1er novembre, et jusqu’au 13 mai, Aleksandra Rosiak, Natalia Nosek, Sakura Hauge et Line Uno apprennent le Français au palais des sports.

Le reportage de la rédaction :/ Arnaud Pännier ( directeur du CLA). Daniel Hournon (président de l'ESBF)

Ce dimanche après-midi, à 14h, au Palais des Sports Ghani Yalouz,  l’ESBF dispute son 1/4  de final aller de Coupe d’Europe. Les Engagées affrontent l’équipe allemande de Bietigheim. Sébastien Mizoule et ses joueuses sont dans les starting-blocks. Le technicien bisontin connaît les forces et les qualités de cette formation, qui enchaîne les victoires cette saison, toutes compétitions confondues.

Pour le coach bisontin, son équipe devra ne pas se faire surprendre en début de rencontre et ne pas courir après le score, pour, ainsi, mettre en difficulté son adversaire, peu habitué  à ce genre de scénario. Pour Sébastien Mizoule, la qualification au prochain tour passe par un bon résultat à Besançon. Une défaite sévère, avec une différence de but trop importante, scellerait sans doute l’avenir du club dans cette compétition. L’entraîneur a confiance en son équipe, qu’il sait capable de se transcender et d’être à la hauteur Avec ces deux matches en Coupe d’Europe, Sébastien  Mizoule s’attend à un début de printemps des plus compliqués avec dans les prochaines semaines des matches importants en championnat et en Coupe de France. « On peut tout perdre d’un coup Â» conclut le coach bisontin.

L'interview de la rédaction / Sébastien Mizoule

 

Les Engagées se sont offertes un large succès cet après-midi dans le cadre de la 19è journée de championnat en D1 féminine. Elles ont vaincu les Toulonnaises sur le score de 18 à 31. Une quatrième victoire de suite dans cette compétition qui fait du bien au moral à une semaine de leur match en Coupe d’Europe.

En handball féminin. Line Onu, la demi-centre danoise, a décidé de quitter l’ESBF. Elle rompt ainsi son contrat qui la liait au club bisontin jusqu’en juin 2023. « Pour le bien-être de la joueuse, le club a répondu favorablement à sa requête Â» peut-on lire sur le communiqué de presse. L’ESBF précise qu’avant qu’elle ne se blesse, le club « avait décidé de prolonger de deux saisons supplémentaires et n’était pas revenu sur sa décision après Â».

L’ESBF s’est imposée hier soir sur le score de 21 à 20 face à Mérignac dans le cadre de la 18è journée de championnat en D1 féminine. Une victoire sans grande saveur pour les Engagées. Le groupe de Sébastien Mizoule devra se montrer beaucoup plus convaincant s’il veut conserver ses chances européennes la saison prochaine. Cela passe par une mobilisation totale le 19 mars contre Toulon.

L’ESBF n’est pas parvenue à s’imposer dimanche en Norvège face à Sola. Une rencontre comptant pour l’Europa League. Déjà qualifiées pour la suite de la compétition, les Engagées ont joué sans aucune pression. Elles se sont inclinées sur le score de 34 à 27.

Après quinze journées de championnat, les handballeuses de Palente Orchamps sont invaincues dans leur championnat de N1 féminine. Après sa  relégation de la D2, le club s’est ressaisi et a su trouver les ressorts nécessaires pour mieux rebondir. Le recrutement a été soigné et le duo d’entraîneurs, composé de Stéphane Delerce et Cheikh Seck, a su imposer sa marque. Le travail de concert avec le préparateur physique Arnaud Ménétrier fonctionne également à merveille. La capacité du trio à écouter son collectif explique sans doute ces bons résultats.

Ce samedi, à 20h30, la formation bisontine se déplace à Strasbourg, le cinquième au classement. Cette équipe est la seule formation que le groupe bisontin n’a pas battu lors de la première partie de saison. « C’est un très bon parcours en ce moment. On reste attentif à ce qui se passe dans les autres poules. Même si on a de très bons résultats, les autres groupes ont également des équipes qui marchent fort Â» explique Stéphane Delerce. Le retour en D2 féminine est dans toutes les têtes. Néanmoins, le groupe ne veut pas brûler les étapes et veut gravir les échelons les uns après les autres. Il reste encore onze journées pour confirmer cette belle dynamique sportive.

L'interview de la rédaction / Stéphane Delerce

On a appris ce mardi que Brest, qui devait affronter l’ESBF en quart de finale de la Coupe de France de handball féminin, avait décidé de jeter l’éponge. Les Bisontines se voient donc qualifier pour la demi-finale de cette compétition sans jouer. Une décision que Sébastien Mizoule, le coach bisontin, regrette. Et ce, même si sa formation passe un cap supplémentaire. Agacé, il espère que la Coupe de France a gardé ses lettres de noblesse auprès des clubs professionnels.