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Un homme de 37 ans, connu des services de police, a dû s’expliquer pour des violences aggravées. Le 7 mai, rue Battant, il a donné un violent coup de poing à sa victime lors d’une partie de pétanque. Quelques jours plus tard, le 18 mai, il a violenté une autre personne Il lui a donné une balayette, la projetant au sol. Identifié par la téléphonie et l’une de ses victimes, il a été invité à s’expliquer au commissariat ce mardi 22 juin. Il a été placé en garde à vue. Au cours des différentes auditions, il a reconnu les faits. La justice lui a donné rendez-vous le 11 octobre. 

Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer le 7 octobre devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 22 juin, vers 00h40, l'adolescent de 18 ans, fortement alcoolisé, a grimpé sur deux véhicules appartenant aux forces de l’ordre, occasionnant la dégradation d’un essuie-glace et l’enfoncement du pavillon avant. Il a été placé en garde à vue.

Deux individus, âgés de 18 et 21 ans, ont été incarcérés à la maison d’arrêt de Besançon. Ils étaient jugés en comparution immédiate lundi matin dans le cadre d’une affaire de trafic de stupéfiants. Tous deux sont originaires de la région parisienne. L’aîné a été condamné à 10 mois de prison, dont six avec sursis. Il a interdiction de paraître sur Besançon pendant 5 ans.

Quant à l’autre protagoniste, il s’est vu infliger une peine de 10 mois de prison, dont 4 mois avec sursis. Il a également interdiction de paraître sur Besançon pendant 5 ans. Le 18 juin dernier, vers 22h30, rue de Verdun à Besançon, ils ont été interpellés en possession de 2.370 euros, dont ils ne parvenaient pas à justifier l’origine, ainsi que des sachets contenant 32 grammes de résine de cannabis et 5 grammes de cocaïne

Ce mercredi 22 juin s’ouvrira le procès du septuagénaire dolois accusé de violences volontaire avec arme et injures racistes le 21 avril dernier. Pour rappeler les faits, l’homme de 72 ans effectuait des photos à proximité du domicile d’une famille à Dole. Les parents, craignant que l’individu ne prenne des photos de leurs enfants, avaient alors cherché à obtenir des explications.

 

Le ton qui monte, un septuagénaire qui dérape

 

Le septuagénaire a alors menacé le père de famille avec une clé en croix prise dans sa voiture, un outil lourd destiné à resserrer les écrous. Il a ensuite proféré des injures racistes à l’encontre d’Adil Sefrioui, le père de famille, en le traitant de « sale bicot Â». Remonté dans sa voiture, le septuagénaire s’est éloigné avant de faire demi-tour, et de foncer vers le père de famille qui se trouvait sur le trottoir. Ce dernier, en un ultime reflexe, a sauté sur le capot du véhicule, qui a fini sa course en arrachant la clôture du domicile de sa victime. Des images d’une rare violence, filmées en intégralité par la femme d’Adil Sefrioui.

 

Un procès repoussé et délocalisé pour sa complexité

 

Âgé de 41 ans, Adil Sefrioui a subi un examen médico-légal. Souffrant de plusieurs fractures, il s’est vu délivrer une incapacité de travail de 30 jours. Ce dossier sera donc examiné mercredi matin à partir de 8h45 devant le tribunal judiciaire de Lons-le-Saunier. Il Ã©tait préalablement prévu au tribunal correctionnel de Dole, mais la complexité de cette affaire nécessite une formation collégiale, c'est-à-dire devant plusieurs juges. A Dole, il s'agissait ce jour d'un procès à juge unique. Les parties civiles, défendues par Me Randall Schwerdorffer, souhaitent requalifier les faits en « tentative de meurtre ».

Les dates du procès de Nordhal Lelandais, concernant le meurtre de Maëlys, sont connues. Il sera jugé du 31 janvier au 11 février devant les assises de l’Isère. Il devra répondre du crime de la petite jurassienne de 8 ans, mais également des faits d’enlèvement et de séquestration. En mai dernier, Lelandais a été condamné, à Chambéry, à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre du caporal Arthur Noyer.

Une nouvelle affaire de violences conjugales a été gérée par les policiers pontissaliens. L’agression a été commise le 17 juin dernier, vers 19h30. La patrouille a découvert une femme en pleurs. La victime déclara alors aux policiers avoir reçu des gifles et des coups.

Elle était en mesure également de présenter une ITT de 11 jours. Elle a été conduite à l’hôpital de la ville. Le conjoint a été interpellé et placé en garde à vue. Ce dernier a minimisé les faits. Il devra s’expliquer prochainement devant la justice.

 

Un homme devra s'expliquer prochainement devant la justice. Ce conducteur de 28 ans, fortement alcoolisé, a perdu le contrôle de son véhicule, qui est venu percuter un muret.

L'accident s'est produit à Pontarlier. Le contrôle d'alcoolémie pratiqué a permis d'établir qu'il conduisait avec un taux de 1,70 gramme d'alcool par litre de sang.

Trois individus ont été interpellés mercredi à Besançon. Ils sont soupçonnés d'avoir lancé des colis par-dessus le mur d'enceinte de la maison d'arrêt. Le majeur a été condamné à deux mois de prison avec sursis. Les deux autres seront convoqués en juillet et août prochains devant le juge des enfants.

Curieux comportement. Une femme, âgée d'une cinquantaine d'années, a outragé les fonctionnaires de police jeudi, vers 12h30. Les faits se sont produits à l'hôpital de Pontarlier.

Réprimandée parce qu'elle ne portait pas de masque cette dernière s'est mise en colère, a fui et s'est réfugiée à l'intérieur du centre hospitalier. Dans un service, elle a vidé une poubelle.

Suite à ses agissements, elle a été placée en garde à vue. Lors de son audition, elle s'est murée dans le silence. Elle devra s'expliquer devant le délégué du procureur.