Choix du secteur :
Se connecter :
 

Dans un souci de répondre aux inquiétudes exprimées par des habitants du quartier de Planoise, via un communiqué de presse, Ludovic Fagaut et son groupe « Besançon Maintenant » proposent à Anne Vignot, la maire écologiste bisontine, d’organiser le prochain conseil municipal à l’espace Nelson Mandela, la structure sociale municipale du quartier. Pour le collectif, « Une telle initiative est indispensable pour ne pas laisser un sentiment d’abandon s’installer chez les habitants à la suite des divers événements tragiques de ces dernières semaines ».

La municipalité a annoncé l’extinction de l’éclairage public de 23h à 5h dans certains quartiers de la cité comtoise. Une décision qui a fait bondir Ludovic Fagaut et ses soutiens. En effet, ces derniers craignent que cela rende encore plus difficile l’identification des auteurs de faits de violences.

« Eteindre l’éclairage public peut renforcer le sentiment d’insécurité qui est déjà bien ancré partout en ville comme en témoignent les épisodes de violences de ce week-end où des tiers ont eu lieu […] Dans les quartiers dont la municipalité souhaite éteindre l’éclairage, l’insécurité est tout aussi présente […] Ces quartiers ne doivent pas devenir des zones de non droit »

Besançon Maintenant souhaite le renforcement de la vidéo de protection sur tous les quartiers, notamment celui de Planoise, ainsi que le concept de détection de mouvement pour éclairer et rendre sécurisant les espaces publics. Le parti de Ludovic Fagaut « dit oui à la réflexion sur les économies d’énergies, mais non à une réaction de principe, sans perspectives, qui aggraverait encore l’insécurité dans la ville ».

L’opposition municipale de droite « Besançon Maintenant » annonce la sortie de sa revue à destination des Bisontines et des Bisontins. 30.000 revues, financées par les soins du collectif, ont été imprimées. A travers cette démarche, Ludovic Fagaut et ses collègues ont souhaité faire le point, à mi-mandat, sur leur activité et leurs propositions dans les domaines de la sécurité, les mobilités, les zones d’activité économiques, le tourisme et la vie associative.  

Premier opposant d’Anne Vignot, l’élu bisontin LR Ludovic Fagaut a fait sa rentrée politique ce mardi 4 octobre. Il avait donné rendez-vous aux membres du groupe « Besançon Maintenant » et ses soutiens à la salle Courbet. Une centaine de personnes avait fait  le déplacement.

Pour l’occasion, il avait invité le co-fondateur de la société bisontine Hyvilo pour échanger sur la thématique « ville de demain, ville intelligente » et aborder les sujets de la mobilité, de l’adaptation climatique et de la smart city. « Aujourd’hui, la ville connectée, la ville intelligente a tout son rôle à jouer en matière de sécurité, d’adaptation au changement climatique, de gestion des flux de circulation et des places de stationnement » explique M. Fagaut.  

Une autre politique à mener

A mi-mandat, Ludovic Fagaut est plus que jamais très critique sur la politique menée par l’écologiste Anne Vignot et la majorité municipale de gauche au conseil municipal de Besançon. « Être Maire d’une commune, ce n’est pas être Maire d’une franche de la population » commente-t-il. Et de poursuivre : « C’est être maire de tout un ensemble, de tous les quartiers. Il faut répondre à toutes les problématiques, à tous les enjeux ». L’élu de droite dénonce également « un déni de démocratie » de la part de la Maire, qui « s’obstine à ne pas prendre en compte les propositions » formulées par son opposition. « On a l’impression que l’on a les sachants d’un côté et les ignares de l’autre. On ne lâchera pas notre engagement. Nous sommes convaincus que le territoire bisontin peut-être tout autre que ce que l’on nous propose, avec cette décroissance en cours  » poursuit-il.

« Pas d’écologie punitive »

Il n’y pas de doute, ce sont bien deux politiques différentes qui s’affrontent à Besançon. A ce sujet, Ludovic Fagaut pointe « la politique écologique punitive » mise en place depuis l’arrivée aux responsabilités d’Anne Vignot et de son équipe. « On est en train de déstructurer Besançon et d’en faire un bunker vert. Nous ne laisserons pas faire ».

La sécurité

La sécurité reste également plus que jamais au cœur des débats. « On a en face de nous des élus qui sont dans le laisser-faire, dans un véritable laxisme et déni du quotidien» assure-t-il. L’élu bisontin rappelle les mesures qu’il préconise ; le recrutement, la formation et l’armement des policiers municipaux ou encore le déploiement de la vidéoprotection ». « Besançon Maintenant » estime qu’il faut également développer une politique s’appuyant sur le milieu associatif local et les bailleurs sociaux.  

En conclusion, Ludovic Fagaut rappelle que « Besançon Maintenant » a formulé 150 propositions depuis cette nouvelle mandature et qu’aucune n’a été reprise. Sécurité, pouvoir d’achat, écologie, social,… autant de sujets que l’opposition veut défendre et faire savoir auprès de ses concitoyens. En attendant 2026….

L'interview de la rédaction / Ludovic Fagaut

 

Alors que le syndicat mixte du Marais de Saône et du bassin versant de la source d’Arcier s’apprête à renouveler son plan de gestion, celui qui fixera les enjeux et les projets liés à la préservation de l’eau et de la biodiversité sur ce territoire pour la période 2022/2030, il organise une réunion publique le mercredi 12 octobre, à 20h, à la salle socio-culturelle de Morre.

A cette occasion, Ludovic Fagaut et son comité, composé d’élus, de partenaires techniques et institutionnels et des techniciens de la structure  feront le point sur les travaux qui ont été précédemment réalisés et ceux qui arriveront pour poursuivre la mission de préservation de cette zone humide de 8 km2, située sur le versant de la source d’Arcier, qui alimente , à hauteur de 45%, la ville de Besançon en eau potable.

Le Syndicat évolue

Depuis le 1er janvier 2020, le syndicat s’étend sur 14 communes. Dernièrement, pour des raisons liées à leur situation géographique, et dans un esprit de pertinence territoriale, les villages de Bouclans et Naisey-les-Granges, localisés sur le secteur de la Communauté de Communes des Portes du Haut-Doubs, ont rejoint le syndicat grand bisontin. Grâce à un  budget annuel de 370.000 euros,  150.000 euros sont investis pour financer des opérations concrètes pour la restauration et la conservation de ces espaces précieux en cette période où la préservation de l’eau est un véritable enjeu.

L'interview de la rédaction / Ludovic Fagaut

C’est en se promenant dans les rues du centre-ville de Besançon que le sang de Ludovic Fagaut et de l’opposition de droite à la Ville de Besançon et au Grand Besançon « Besançon Maintenant »  n’a fait qu’un tour. L’absence des termes  « Noël » et « joyeuses fêtes » sur les guirlandes installées par la municipalité agace.  Le collectif attend des explications sur ces choix. « Nous espérons que Mme Le Maire démentira cette crainte que nous avons » explique M. Fagaut. L’élu bisontin ne veut que Besançon ait à vivre des choix politiques émanant d’Europe Ecologie Les Verts, comme ce fut le cas à Bordeaux, avec la disparition du sapin de Noël ou encore à Lyon, lors du passage du Tour de France.

« Nous espérons que Besançon ne soit pas la prochaine ville sur la carte de France du dogmatiquement correct ». Et de continuer : « On ne touche pas à notre histoire. On ne touche pas à notre identité. Nous avons le sentiment que cette majorité, et à travers elle toute l’idéologie d’Europe Ecologie Les Verts, veut réécrire l’histoire à sa façon, sous couvert d’un dogmatisme grandissant ».

L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut

 

Ludovic Fagaut et les membres de l’opposition de droite « Besançon Maintenant » ont fait leur rentrée médiatique ce vendredi matin à Besançon. Le collectif a tenu à faire savoir qu’il restait mobilisé et qu’il « ne baisserait pas les bras ». L’équipe entend jouer pleinement son rôle au sein du conseil municipal. Preuve de sa détermination et de son dynamique, 118 propositions ont été formulées au conseil municipal et 66 à la communauté d’agglomération du Grand Besançon cette année. 400 questions ont été posées, « mais aucune d’entre-elles n’a obtenu de réponse » déplore M. Fagaut.

FAGAUT

Selon le collectif, « Besançon ne prend pas la bonne direction » et la politique menée par la majorité actuelle est un « fiasco ». Ludovic Fagaut dénonce l’organisation politique déclinée et le manque de communication.  « La demande d’acceptation d’une subvention de 10.000 euros à une ONG, via le réseau social Whatsapp »,  par le cabinet d’Anne Vignot, ne passe pas. Tout comme l’annonce par un tweet d’accueillir 16 migrants afghans à Besançon durant l’été. D’ailleurs, « face à l’absence de communication de la majorité actuelle », « Besançon Maintenant » annonce qu’il a saisi les autorités compétentes pour obtenir des informations concernant la situation aux Vaîtes et qu’il rencontrera prochainement le Préfet pour faire le point sur les chiffres de la délinquance dans la cité comtoise.

WERTHE

Trouver des solutions urgentes pour la cantine scolaire

Rappelons que, faute de places, et malgré les efforts de l’actuelle majorité, 179 enfants n’ont pas accès à la cantine en cette rentrée scolaire à Besançon. Pour Christine Werthe, il est encore possible de mieux faire. Elle donne l’exemple de la ville d’Orléans, qui accueille chaque midi plus de 7000 enfants. Selon l’élue bisontine, la capacité d’accueil des enfants peut encore être améliorée « en doublant les services, en augmentant le nombre des repas en liaison froide, en sollicitant davantage les agriculteurs locaux et en mutualisant les moyens avec les collèges et les lycées de la ville ». Pour Mme Werthe, le projet d’agrandissement de la cuisine centrale « ne peut pas attendre 2026 et doit se penser au plus vite ».

FAGAUT BESANCON MAINTENANT

La propreté de la ville

La propreté de la ville, et notamment « l’entretien des cimetières et le fauchage des mauvaises herbes, l’installation de capteurs de CO2 dans les écoles, la végétalisation de la place de la Révolution, le développement de la vidéosurveillance, la lutte contre les rodéos urbains, la création d’une brigade canine, l’armement de la police municipale, les mobilités, le stationnement, le tourisme et le développement économique, … sont autant de sujets sur lesquels  l’opposition municipale entend débattre et se montrer force de propositions.

L'interview de la rédaction / Ludovic Fagaut. Christine Werthe