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Ce dimanche, les policiers en patrouille ont constaté qu’un automobiliste franchissait une ligne blanche pour changer de voie sur l’arrondissement de Pontarlier. Alors qu’il se stationnait quelques mètres plus loin, les forces de l’ordre lui ont indiqué qu’ils allaient le verbaliser. Mécontent, l’individu s’est énervé, et a commencé à outrager les agents. Après quelques minutes de joute verbale, l’homme s’est calmé et s’est assis dans son véhicule. Seulement, les policiers ont constaté la présence d’une barre de fer dissimulée dans sa voiture. L’homme s’est énervé une fois de plus, a saisi l’arme, et l’a brandi comme s’il allait s’en servir. Il a finalement été maîtrisé par les policiers, puis amené au sol. Placé en garde à vue, il a reconnu les faits en expliquant « avoir pété une durite Â». Il a été condamné à une amende pour le franchissement de la ligne blanche, de menace, d’outrage, et de rébellion avec arme. Il sera présenté devant la justice le 19 février prochain.

Le 24 janvier, un homme de 67 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Pontarlier. La victime, sa femme, avait portée plainte le 4 novembre pour harcèlement moral. La sexagénaire, qui a déclaré être régulièrement outragée, a entamé une procédure de divorce depuis le mois de mai. Elle souhaiterait quitter le domicile conjugal. Le couple évoque des problèmes « intimes Â» et des difficultés depuis 2014. L’homme avait déjà été condamné pour des outrages à répétition, mais a expliqué cette fois que les tords sont partagés pour les insultes, et que sa femme profiterait de son statut d’épouse pour obtenir plus de patrimoine.