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A 12h, Le taux de participation au second tour de l'élection présidentielle s’établit à 28,7% en Bourgogne Franche-Comté (28,18% au 1er tour – 29,07% au 2è tour de l’élection présidentielle).

Doubs : 23,49 % (22,61 % au 1er tour) (25,78 % au 2è tour de la présidentielle 2017)

Jura : 34,38 % (30,30 % au 1er tour) (30,46 % au 2è tour de la présidentielle 2017)

Haute-Saône : 29,04 % (24,47 % au 1er tour) (27,87 % au 2è tour de la présidentielle 2017)

Territoire de Belfort : 26,62 % (24,78 % au 1er tour) (27,01 % au 2è tour de la présidentielle 2017)

« Une immense tristesse Â», tels ont été les premiers mots de Marie-Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté, à l’annonce des résultats de ce premier tour de l’élection présidentielle. « On se rend compte de l’effondrement total de la gauche de gouvernement, et de la droite Â» poursuit l’élue. Car oui, à eux deux, ces partis historiques ne dépassent pas 7% des suffrages exprimés ce 10 avril 2022.

 

L’union fait la force ?

Alors comment expliquer ce naufrage ? La présidente de région n’a pas vraiment d’explication, mais pointe du doigt une entente qui fonctionne localement, et moins au niveau national. « Le Parti Socialiste va très mal, c’est vrai. Il faut reconstruire une gauche qui aspire à gouverner. Il faut trouver un terrain pour que les gauches se réconcilient. A mon niveau, là ou j’ai mes responsabilités, je fais en sorte de faire vivre cette gauche sociale-démocrate, cette gauche de gouvernement Â». Des propos d’ailleurs partagés par Abdel Ghezali, adjoint à la maire de Besançon, qui explique que selon lui, le Parti Socialiste a besoin d’une refonte, même si au niveau local l’union des gauches fonctionne, avec de bons résultats. « Ce premier tour est une grande déception, mais on s’y attendait. Nous sommes en grande difficulté. Cependant à Besançon, nous avions fait le choix pour les dernières élections municipales de faire l’union de la gauche, ce qui a marché. Et on constate que quand la gauche n’est pas unie, ça ne se passe pas bien. En tout cas, les cartes sont rebattues et on aura besoin d’une refondation du PS c’est une évidence. Comment et avec qui, on verra. Lorsqu’on sera sorti de ces élections, on fera ce constat pour envisager comment on va travailler Â».

 

« Macron devra donner des gages Â»

Afin de conforter sa potentielle victoire, le président sortant devra s’adresser à l’autre partie de la population. Celle dont le candidat n’est pas qualifié pour ce deuxième tour, et celle qui n’a pas été convaincue par le représentant de LREM. Et pour cela, Marie-Guite Dufay explique qu’Emmanuel Macron devra « donner des gages Â». « On sent une lassitude dans le pays par rapport à ce vote utile, et pour ça j’en appelle au président de la République pour qu’il donne des gages aux électeurs de droite et de gauche qui voteront pour lui Â». Comme sur la retraite, les droits sociaux, les droits des plus précaires, l’assurance chômage, et bien d’autres encore. « Je me souviens quand il a démarré son dernier mandat. Fin de contrats aidés, fin des APL, et tout de suite la gauche s’est sentie trahie. D’ailleurs, la réforme des retraites est une fracture entre la gauche et la droite. Un conseil des retraites dit qu’il n’y a pas besoin d’aller plus loin Â» souligne la présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté.

 

Faire barrage à l’extrême droite

A gauche, on est désormais unanime sur un point : vaincre Marine Le Pen le 24 avril prochain. De nombreux leaders politiques ont d’ores et déjà annoncé leurs consignes de vote, et du côté du parti de la rose pas de débat, il faut faire barrage à l’extrême droite. « Ce que je vois, c’est qu’elle est puissante et qu’il faut la combattre. Cette présence très forte de l’extrême droite qui gagne encore des points, c’est vraiment triste Â» précise Marie-Guite Dufay.  « On sent qu’on change de monde parce que les partis traditionnels sont complètement effondrés. Mais il faudra bien évidemment voter massivement pour le président de la République, en espérant que ce dernier donne des gages à tous ceux qui vont faire vivre le sursaut républicain Â» poursuit l’élue. Réponse dans deux semaines.  

L'interview de la rédaction  / Marie Guite Dufay

Comme en 2017, Marine Le Pen et Emmanuel Macron s’affronteront lors du second tour des élections présidentielles le 24 avril prochain. La candidate du Rassemblement National a donc la possibilité de prendre sa revanche sur le président sortant.

melenchon dd

Macron – Le Pen, match retour

Il est 20h, dimanche soir, lorsque les résultats du premier des élections tombent. Comme d’habitude, un mélange de larmes et cris de joie orchestre les rues de toute la France.

Marine Le Pen et Emmanuel Macron vont s’affronter une nouvelle fois encore. Seulement cette fois-ci, la candidate du Rassemblement National n’est plus aussi loin de l’Elysée, et l’espoir grandit. Cela dit, côté Macron, la confiance est au beau fixe. En effet, malgré un quinquennat discuté, le président sortant reste en tête des votes en bénéficiant de 28,6 % des votes, contre 24,2% pour sa concurrente. Mais les résultats sont presque déjà oubliés. Désormais, les deux candidats ont une quinzaine de jours devant eux pour convaincre les Français.

 

L’abstention, le  facteur déterminant

Convaincre, plus facile à dire qu’à faire. Comme annoncé dans les sondages, le taux d’abstention s’est élevé à 26,31%. Néanmoins, rien n’est joué. Marine Le Pen et Emmanuel Macron vont organiser leur agenda pour faire changer d’avis les plus indécis, avec en ligne de mire, la confrontation de l’entre-deux tours le mercredi 20 avril. Un rendez-vous qui n’est pas sans rappeler celui de 2017, durant lequel le représentant LREM avait sérieusement prit l’ascendant. Mais aujourd’hui, la donne aurait changé selon les partisans du RN, Marine Le Pen annonçant il y a quelques jours  Ãªtre « plus prête que jamais Â» pour l’Elysée. Pas certain en revanche que cela suffise pour mettre hors course Emmanuel Macron. Résultat le 24.

jean lassalle

 

Les résultats des autres candidats, à l’échelle nationale :

Jean-Luc Mélenchon – L’Union Populaire : 20,2%

Éric Zemmour – Reconquête ! : 7,2%

Valérie Pécresse – Les Républicains : 5%

Jean Lassalle – Résistons ! : 3,;3%

Fabien Roussel – Parti Communiste Français : 2,7%

Nicolas Dupont-Aignan – Debout La France : 2,3%

Anne Hidalgo- Parti Socialiste : 2,1%

Nathalie Arthaud – Lutte Ouvrière : 0,8%

Philippe Poutou – Nouveau Parti Anticapitaliste : 0,7%

FNSEA ZEMMOUR 5

 

Comme chaque semaine, Plein Air donne la parole aux étudiants afin de les sonder sur leurs attentes concernant le prochain président de la République. Aujourd’hui c’est Ophélie, une étudiante de Licence 3 Info-Com à l’université de Besançon qui s’y est collée. Elle interroge Enzo, étudiant en alternance en BTS Technico-commercial.

  Ophélie & Enzo : 

Valérie Pécresse, candidate Les Républicains à l’élection présidentielle d’avril prochain, était ce jeudi 13 janvier dans le Doubs. La candidate a visité deux fermes à Villers-le-Lac et Pelousey, avant de tenir une réunion publique à Besançon, à Micropolis, en fin d’après-midi. L'agriculture était le thème de la journée.

 

 

Retour en image sur la visite de Valérie Pécresse dans la ferme Baulieu à Pelousey, une exploitation bio lait et œufs essentiellement. Au programme : visite de la ferme, dégustation de la galette comtoise, et discussion avec le président de l'association du cheval de trait comtois et avec des représentants de la FDSEA.

Sur son compte Twitter, Marie-Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté, annonce soutenir le principe d'une primaire populaire à gauche. Elle estime que Christiane Taubira est capable de porter l'union de la gauche.

 

 

« Je soutiens Christiane Taubira pour ce qu’elle représente : la voix et la conscience de la gauche. Â» Marie-Guite Dufay a précisé en quelques mots ce lundi son message publié la veille sur les réseaux sociaux, dans lequel elle apportait son soutien à l’ex-garde des sceaux de François Hollande.

Aux Républicains, on se frotte les mains. Le congrès qui s’annonce et qui élira le candidat qui représentera la droite à la prochaine présidentielle, en décembre prochain,  suscite de l’intérêt chez les militants. Le nombre des adhésions au parti s’est envolé ces dernières semaines. Dans le département du Doubs, le dernier comptage connu, effectué mercredi matin, enregistrait 1406 adhésions. Soit 600 supplémentaires en quelques semaines seulement. Au niveau national également, la tendance est la même, avec une progression. Entre le 25 septembre et le 17 novembre, 50.000 nouveaux adhérents ont été comptabilisés, passant ainsi de 80.000 à 130.000.

Michel Vienet, le secrétaire départemental des Républicains du Doubs est aux anges. L’engouement souhaité s’est produit, mais surtout, « il a dépassé les espérances Â». Selon l’élu et le responsable doubiste, l’attitude des prétendants, la qualité des débats télévisés et la valeur de ceux qui se présentent expliquent cette dynamique. « C’est encourageant pour l’avenir Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction / Michel Vienet, secrétaire départemental des Républicains du Doubs

 

La campagne de l’élection présidentielle se précise chez Les Républicains. En décembre prochain, suite au vote du 25 septembre dernier, le parti de Christian Jacob tiendra son congrès, qui permettra à ses militants,  Ã  jour de cotisation, de choisir leur candidat pour la présidentielle d’avril prochain.  Le 1er tour se déroulera les 1er et 2 décembre. Le 2è tour est prévu les 3 et 4 décembre. Six candidats sont en lice, mais pour obtenir le droit de se participer, ces derniers doivent être en mesure de présenter 250 signatures d’élus, en capacité d’accorder leur parrainage aux candidats à l’élection présidentielle, et répartis sur 30 départements.  Parmi les prétendants, quatre viendront dans les jours et les semaines à venir à la rencontre des militants du Doubs.

Déjà quatre candidats annoncés

Xavier Bertrand est attendu ce jeudi et ce vendredi dans la région. Jeudi, il sera dans le Territoire-de-Belfort. Vendredi, il se rendra dans le Jura, à Pontarlier et Besançon. Il tiendra également une réunion publique, à 20h, à la salle polyvalente de Miserey-Salines. Le 27 octobre, Michel Barnier est annoncé notamment dans le Pays de Montbéliard. Il fera un passage éclair à Besançon. Enfin Eric Ciotti et Valérie Pécresse seront respectivement dans le Doubs les 24 et 25 novembre prochains.

Investitures pour les législatives

En parallèle de la présidentielle, la commission d’investiture du parti, présidée par Eric Ciotti, aura désigné pour le 4 décembre les candidats doubistes aux législatives. Si le sort de la cinquième circonscription est scellé, avec la candidature de la députée sortante Annie Genevard, ailleurs, il faut patienter encore. Les 1ères auditions devraient débuter à la mi-novembre. S’il ne veut pas être sanctionné financièrement, le parti va devoir respecter la parité.

Xavier Bertrand, candidat à l’investiture LR pour l’élection présidentielle du printemps prochain sera dans le Jura ce vendredi. Il animera une réunion, à partir de 11h45, à Dolexpo. Jean-Marie Sermier, président de la fédération LR du Jura et député du département fait savoir qu’il accueillera « tous les candidats qui souhaitent venir dans le Jura Â».

Le Conseil national du PS a validé vendredi les candidatures de deux candidats à l'investiture du parti pour l'élection présidentielle de 2022, celle de la maire de Paris Anne Hidalgo et celle du maire du Mans Stéphane Le Foll. Anne Hidalgo a obtenu 208 parrainages de membres titulaires du Conseil national, Stéphane Le Foll 34. Le vote des adhérents prévu jeudi devrait être une formalité pour la maire de Paris, avant la convention d'investiture le 23 octobre à Lille. Myriam El-Yassa, ancienne conseillère municipale de Besançon et première secrétaire fédérale du PS fait le point sur l’état du Parti Socialiste, tout en apportant son soutien immuable à Anne Hidalgo.

 

Bonjour Madame El-Yassa. Tout d’abord, quelle est la situation au sein du Parti Socialiste aujourd’hui ?

 

Le PS renaît peu à peu de ses cendres. S’il y a eu un cycle infernal en 2017, on peut constater depuis quelques victoires électorales. Je pense notamment à l’échelle nationale aux élections municipales, ou dans le cadre plus local quelques victoires comme à Besançon avec une union de la gauche. Et puis des conquêtes, ou des maintiens au niveau régional. Le PS est toujours armé de dizaines de milliers de militants, il est toujours structuré avec un maillage territorial fort. Il y a eu, si on revient sur 2014, des conquêtes comme la mairie Nancy, de Marseille, de Montpellier, et toujours Paris. Donc même s’il faut faire preuve d’humilité, et toujours combattre, nous sommes redevenus une force centrale de la gauche.

 

Comment vont s’organiser les primaires socialistes ?

 

Alors c’est une primaire interne qui aura lieu jeudi soir, de 17h à 22h. Tous les militants du PS sont invités à choisir entre 2 candidats, Stéphane Le Foll et Anne Hidalgo, afin de désigner le candidat qui sera sur les starting-blocks dès le 15 octobre pour défendre les couleurs du poing et de la rose sur le territoire français.

 

Si Anne Hidalgo apparaît en pôle position pour remporter ces primaires, vous comprenez qu’elle ne fasse pas l’unanimité, au sein même du PS ?

 

Oui, je l’entends, et c’est la force de notre parti. Nous sommes un parti démocratique. Quand il y avait encore le cycle d’Epinay, il y avait plusieurs courants de pensées, et c’est plutôt un avantage qu’on puisse avoir des opinions différentes qui s’expriment. Concrètement, l’équipe d’Anne Hidalgo s’étoffe, je fais partie des signataires du conseil national pour parrainer sa candidature. Vous avez Johanna Rolland maire de Nantes qui est sa directrice de campagne, le maire de Nancy, Mathieu Klein, qui est en charge du projet avec Boris Vallaud. Vous avez aussi plusieurs maires de communes rurales, qui sont des chevilles ouvrières. Mais il y a surtout quelque chose que je voudrais souligner à propos de la personnalité d’Anne Hidalgo, c’est son parcours. C’est son attachement à la République. Et aujourd’hui, cette République est en danger. Avec la dynamique autour d’Éric Zemmour, avec les discours racistes et populistes de plus en plus décomplexés. Une des forces de la candidature d’Anne Hidalgo, c’est son parcours professionnel. Elle incarne cet idéal républicain, cet idéal qui a été promu par la philosophie des lumières, par la 3ème République. C’est un pur produit de l’école laïque. Et surtout, elle a une attache particulière et un intérêt pour la valeur travail. Et puis, quand on la critique sur le fait qu’elle ne connaît pas la ruralité, il faut savoir qu’Anne Hidalgo a déjà habité dans des zones rurales. Et ce n’est pas parce qu’on est maire de Paris qu’on est forcément déconnecté de la réalité des territoires. Paris c’est 3 millions d’habitants, ce n’est pas la France entière, et toute l’équipe d’Anne Hidalgo en est bien consciente.

 

Justement, cette image de « parisienne Â» ne risque-t-elle pas de la desservir ?

 

Evidemment, c’est une réalité. Il y a toujours dans l’imaginaire collectif une opposition entre les territoires. Et ces clivages, j’ai l’impression qu’ils ont été un peu exacerbés avec la politique menée par Emmanuel Macron, qui dans des éléments de langage, opposait les uns aux autres. Le PS soutiendra le ou la candidate investie. Il y a de fortes chances qu’Anne Hidalgo remporte le scrutin, et donc il y aura un maillage territorial très fort. Nous sommes pour un travail d’équipe, de collectif, Anne Hidalgo n’est pas candidate toute seule. Il y a derrière elle une équipe de parlementaires, que ce soit à l’Assemblée nationale et au Sénat, une équipe d’élus territoriaux, et une armée de militants et militantes, que seront dès le week-end prochain à Besançon, pour prouver que le projet social démocrate est le plus juste, autant sur la question sociale que sur la question écologique. Et puis il faut se rendre compte qu’Anne Hidalgo est une personne reconnue internationalement. Elle fait partie des leaders de ce monde. A chaque fois qu’un chef d’Etat vient faire une rencontre protocolaire à l’Elysée, il passe par la mairie de Paris. Elle a aussi le réseau social démocrate européen, elle est allée récemment en Allemagne. D’ici quelques jours, elle va partir voir Pedro Sanchez. Ce n’est pas une candidature isolée, on a pris la meilleure des candidates possibles pour défendre l’intérêt général.

 

Comment entendez-vous remporter la présidentielle ? Est-ce qu’une victoire est possible ?

 

Je pars toujours du postulat qu’on ne s’engage pas dans une compétition sans espérer la victoire. Je constate aussi qu’à plus de 6 mois d’une élection présidentielle, les sondages se sont systématiquement trompés. Je constate également que pour les derniers scrutins, que ce soit aux municipales, ou aux régionales, tous les sondages nous créditaient d’un score moins important. Donc il faut faire face à ces prophéties hyper négatives, rien n’est joué, la campagne n’est même pas encore commencée. A partir de là, Anne Hidalgo y va pour rester jusqu’au bout, elle va se battre jusqu’au bout. Sur ce scrutin, il y a en plus la question de la République en toile de fond. Il y a des candidats qui flirtent avec le fascisme, et tout comme Olivier Faure, tout comme Anne Hidalgo, et tout comme les responsables socialistes, je le dis et je le répète, Éric Zemmour est un fasciste. On va combattre ça, les anti-républicains, les racistes. Mais aussi l’ultra-libéralisme. Nous, on croit en la valeur travail, on croit au fait que chacun peut choisir sa vie, vivre dignement. On ne veut pas opposer les différentes classes sociales, ni opposer les territoires, on travaille sur un projet, un programme présidentiel, renforcé sous la coordination de Mathieu Klein. Et on s’inscrit en fond contre l’idéologie raciste, xénophobe, fascisante, mais aussi les idéologies libérales qui accentuent les inégalités sociales. Quand on voit l’injustice fiscale, notamment avec ce qui se passe avec les Pandora Papers et comment les classes moyennes et les classes inférieures sont taxées, on trouve ça anormal. Tout comme on trouve anormal que les factures énergétiques augmentent. Que demain des classes moyennes seront obligées de s’endetter, non pas pour investir, mais pour vivre leur quotidien. Ce n’est pas normal. Nous on est dans cette idée de gouvernement de gauche, responsable, qui aligne la question sociale et écologique, et qui met toujours en avant un principe inaliénable : la vie d’un être humain n’a pas de prix. Notre priorité, c’est l’humain.