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La police de Besançon lance un avis de recherche pour une disparition inquiétante. Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans, n’a plus donné signe de vie depuis le 30 novembre dernier. Il a été vu pour la dernière fois ce jour-là, à 6h15, dans le secteur de Gy, en Haute-Saône. Il ne s’est pas rendu à son travail.  

Selon les premières investigations, il est susceptible de se trouver sur les secteurs de Dole et de Besançon. L’intéressé est susceptible de se déplacer à bord d'un véhicule Peugeot 307 de couleur grise.  Si vous avez des informations à communiquer aux enquêteurs, n’hésitez pas à contacter le 03.81.21.11.92 ou le 03.81.21.11.22

Le 2 décembre dernier, à 9h52 précisément, un exercice attentat-intrusion a été menée dans les établissements scolaires de l’académie de Besançon. Il avait pour objectif principal de tester la chaine d’alerte entre les structures scolaires, les services départementaux de l’éducation nationale et le rectorat.

Le scénario relatait l’évasion d’un détenu, jugé dangereux, d’une maison d’arrêt située en Franche-Comté. Lors de cette opération, qui s’est conclue par l’interpellation de cet individu par les forces de l’ordre, 220 observateurs ( policiers nationaux et municipaux, gendarmes, élus locaux…) ont pu suivre le déroulement de l’exercice, qui a duré près de 30 minutes.

Cette action a permis de développer une culture de la sécurité dans les structures scolaires, d’exercer les élèves et la communauté éducative à réagir lors du déclenchement du Plan particulier de mise en sûreté attentat-intrusion et d’identifier les points à améliorer.

Dans un communiqué de presse, le groupe « Doubs Social Ecologique et Solidaire » au conseil départemental réagit à la suspension, à titre conservatoire, du directeur de l’Agence départementale d’appui aux territoires et de l’ADAT 25. Selon Raphaël Krucien et Claude Dallavale, leur groupe avait alerté le 26 octobre dernier Christine Bouquin, la présidente du Conseil départemental du Doubs, sur des dépenses suspectes. Toujours selon ces deux élus, « la présidente n’avait pas souhaité donner suite à la demande de vérification commune, ni à celle de fournir la comptabilité de l’agence ».

L’opposition s’inquiète de ne pas obtenir les informations demandées. Elle s’interroge sur la nomination d’un cabinet indépendant pour mener une enquête interne. Rappelons que le directeur de l’agence est soupçonné d’avoir effectué des dépenses personnelles avec la « carte achat public » dont il est titulaire.

Trois individus, âgés de 21 à 24 ans, sont en garde à vue ce vendredi matin au commissariat de Besançon. Ils sont soupçonnés d’avoir jeté plusieurs colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon ce jeudi. Une enquête est en cours.

Un jeune homme de 22 ans a perdu la vie hier soir, vers 21h30, sur l’A36, à hauteur de Saint-Maurice-Colombier, dans le sens Beaune-Mulhouse. Pour des raisons encore inexpliquées, sa voiture est venue percuter l’arrière d’un poids-lourd. A l’arrivée des secours, la victime était en arrêt cardio-respiratoire. Elle n’a pas pu être réanimée. Le conducteur du camion n’a pas été blessé.

Un accident, impliquant deux voitures, s’est produit ce jeudi soir, vers 19h30, à Morbier (39). Une femme de 35 ans est légèrement blessée. Elle a été transportée sur un centre hospitalier. Une autre personne est indemne.

Un homme de 40 ans a été interpellé ce jeudi après-midi, vers 15h, avenue île de France, dans le quartier Planoise, à Besançon. Il était en train de casser la vitre d’un véhicule Citroën. Lorsque les forces de l’ordre sont intervenues, le quadragénaire s’est montré agressif. Il a refusé de décliner son identité dans un premier temps. Il a insulté copieusement les fonctionnaires. Un couteau Opinel a été retrouvé sur lui. L’auteur a été interpellé et placé en garde à vue. Cette dernière est toujours d’actualité ce jeudi soir.

Suite à un grave accident survenu le 30 novembre dernier à Besançon, la police nationale lance un appel à témoins. Un piéton, qui traversait la route sur un passage protégé, et deux véhicules sont impliqués. Le drame s’est produit dans le secteur de la Bouloie, au 62 rue Laplace. Si vous avez des informations à communiquer, n’hésitez pas à contacter le commissariat de Besançon et de composer le 03.81.21.11.22

Le 29 février dernier, un jeune homme doubien de 20 ans abattait deux personnes en Suisse. Il souhaitait tromper des acheteurs de produits stupéfiants, et indique avoir paniqué lorsque ses clients ont découvert son stratagème. Il a été conduit en Suisse ce mardi pour participer à la reconstitution de la scène.  

 

De la résine de cannabis remplacée… par du savon

Le 29 février 2020, cet habitant de Pirey se rend à Grandson, en Suisse, où des hommes souhaitent acheter de la résine de cannabis. Il transporte 6 kg de marchandise, mais en ayant remplacé la drogue par du savon qu’il a emballé avec du plastique noir. La situation dégénère au moment où les clients se rendent compte que l’homme va les arnaquer. Il se saisit alors d’une arme et ouvre le feu six fois. Deux victimes meurent sur le coup, et deux autres vont être grièvement blessées. Le suspect prend la fuite, et sera interpellé quelques jours plus tard, par des hommes de la section de recherches de Besançon.

 

L’instruction touche à sa fin

Ce mardi, il était extrait de sa cellule et conduit à Lausanne pour participer à une reconstitution, dans un gymnase, ou l’appartement étroit a été reproduit à l’identique. Selon le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, l’homme indique « n’avoir jamais voulu attenter à la vie des personnes. Qu’il a vu une arme rangée dans un sac et qu’en constatant qu’il était démasqué, il a paniqué, s’est saisi du pistolet et a ouvert le feu ». Des déclarations qui vont à l’encontre des témoins survivants. Ils précisent que c’est ce dernier qui a amené et sorti ce 6,35 mm de sa poche, avant d’ouvrir le feu. L’instruction de ce dossier devrait toucher à sa fin dans les prochains mois avant un procès, prévu au cours de l’année 2022.

La photo publiée sur les réseaux sociaux par la judokate franc-comtoise Margaux Pinot suscite de nombreuses réactions. Visage tuméfié, elle accuse son compagnon Alain Schmitt de violences conjugales. Rappelons que ce dernier, qui est également son entraîneur, a été relaxé, pour manque de preuves,  par le tribunal de Bobigny. A la barre, le trentenaire a contesté ces accusations.

Suite à cette décision, le parquet de Bobigny a décidé de faire appel. Parmi les soutiens de l’athlète, le Champion Teddy Riner, qui s’est dit « profondément touché ». « Nous sommes tous profondément touchés par ce que vient de subir notre coéquipière Margaux Pinot et nous lui apportons tout notre soutien. Que faut-il faire pour que les victimes soientSPO entendues ? Que les agresseurs soient reconnus coupables ?" a-t-il réagi sur Twitter.