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Hier soir, à Besançon, une opération de police était menée dans le cadre de la lutte contre les stupéfiants. Elle a mobilisé, autour du Commandant Sylvain Leblanc, adjoint au Chef du Service de Voie Publique du commissariat de Besançon, des fonctionnaires de la police nationale et un agent des douanes, qui s’était déplacé avec son chien spécialisé dans la recherche de stupéfiants. Des agents de la société Ginko étaient également présents durant une partie de la soirée.

DOUANE POLICE DROGUE 5

Cette action s’inscrit dans le plan, récemment présenté par Yves Cellier, le directeur de la sécurité publique du Doubs. Le policier n’avait pas caché sa détermination pour mettre un coup d’arrêt au trafic de stupéfiants dans la cité comtoise. Cette collaboration entre la police nationale et les douanes est une première. Elle devrait en appeler d’autres.  Ainsi, les deux services entendent mettre leurs compétences et leur savoir-faire en commun. Précisons également que cette opération était soutenue par le  Parquet bisontin. Ce qui a permis aux  policiers de pouvoir mener des contrôles plus approfondis et dans le respect de la loi.

Uber shit

C’est ainsi que tous les modes de déplacement des consommateurs et dealers ont été ciblés. L’objectif principal étant de s’intéresser aux clients qui se fournissent dans le quartier Planoise et de lutter particulièrement contre l’ubérisation du trafic de drogue et les autres nouveaux modes de livraison des produits illicites,  qui se sont énormément développés durant cette crise sanitaire, et notamment durant les périodes de confinement successives. Dans un premier temps, des contrôles ont été effectués dans le tram. Ce qui a permis d’interpeller quelques individus en possession de stupéfiants. Rappelons que les contrevenants, en fonction de la quantité et du type de drogue découvert, peuvent faire l’objet d’une amende forfaitaire. Son montant est de 200 euros. Son paiement met fin aux poursuites judiciaires. Néanmoins, l’infraction est relevée et inscrite sur le casier journaliste

L'interview de la rédaction / le commandant Sylvain Leblanc et un fonctionnaire des services des douanes

 

 

DOUANE POLICE DROGUE CHIEN

En immersion dans le quartier

L’opération s’est ensuite déroulée dans le quartier Planoise. Les piétons, les deux roues et les voitures étaient contrôlés. Le trafic de drogue est une activité très lucrative. Certains individus ont développé un véritable business. Ils vivent confortablement grâce à cette démarche des plus illicites. Dernièrement, un individu, identifié et interpellé à Besançon., disposait d’un fichier de plus de 400 clients. Son revenu hebdomadaire fut estimé à 15.000 euros.

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Les trois protagonistes impliqués dans une rixe, le 5 octobre dernier, à  Pontarlier connaissent le sort que leur réserve la justice. La garde à vue du mineur a été levée ce mercredi après-midi, mais il devra s’expliquer en décembre prochain devant un juge des enfants.

Quant aux deux majeurs, ils seront présentés ce jeudi devant le Parquet bisontin. Rappelons que les deux frères ont pris à partie l’individu, alcoolisé, qui avait jeté une bouteille dans le Doubs et qui a vociféré contre une femme,  qui lui avait fait remarquer son geste. Concernant cet homme, lors de la rixe, il a donné un coup de rasoir à un opposant. Le blessant au visage. Il était également en possession d’une petite quantité de stupéfiants.

Le rapport de la Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’église fait grand bruit. En France, 216.000 personnes ont été victimes d’agressions et de violences sexuelles commises par des clercs ou des religieux catholiques, alors qu’elles étaient mineures, entre 1950 et 2020.

Dans un communiqué de presse, le diocèse de Besançon indique que la commission indépendante a pu consulter les archives diocésaines pour établir son rapport. Une quarantaine de victimes y apparaissent. Par ailleurs, depuis 2016, le diocèse s’est doté d’une cellule d’écoute et d’accueil pour les victimes. Cette dernière reste en place au 06.44.14.22.88. L’archevêque de Besançon précise qu’il a rencontré toutes les personnes victimes qui en faisaient la demande.

Hier, vers 16h30, sur la commune des Premiers Sapins, les sapeurs-pompiers du Doubs ont porté secours à un chien, qui se trouvait dans une cavité, après une chute d’une quinzaine de mètres. Une équipe du Grimp s’est rendue sur place. Elle a pu rejoindre l’animal et le remettre à son propriétaire. Ce dernier n’était pas blessé.

Un accident s’est produit hier, en fin d’après-midi, à Morteau, rue du Docteur Sauge. A la suite d’un malaise, un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture, qui a quitté la route et percuté le mur du lycée Edgar Faure. Grièvement blessée, la victime a été transportée sur les urgences de Pontarlier.

Le Docteur Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Il s’est jeté d’une fenêtre au domicile de ses parents, dans la banlieue de Poitiers. Il est placé sous contrôle judiciaire, depuis 2019, à cet endroit. Rappelons que l’anesthésiste bisontin a été mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels. Il est soupçonné d’avoir pollué les poches de perfusion de personnes hospitalisées, âgées de 4 à 80 ans, provoquant « des évènements indésirables graves ». Le spécialiste intervenait ensuite pour sauver les victimes. Frédéric Péchier se trouve actuellement en service de réanimation à l’hôpital de Poitiers, où son état est jugé « stationnaire », selon un de ses avocats. La rédaction a contacté Randall Schwerdorffer, un de ses avocats.

La piste d’une défenestration semble être actée. Pouvez-vous nous la confirmer ?

Une enquête a été menée très rapidement. Cela s’est passé dans le cadre de la maison familiale. Il s’agit bien d’une défenestration volontaire de la part du  docteur Péchier.

On peut supposer que le docteur Péchier n’allait pas bien. Quelle était sa situation personnelle ?

Pour être franc, il allait extrêmement mal. Psychologiquement, cela fait plusieurs mois que c’est très difficile. C’est très difficile depuis le départ d’ailleurs. L’accusation est très lourde. On lui interdit d’exercer son métier. On lui a interdit d’habiter dans la région. Il a dû quitter le domicile conjugal. Il a dû s’installer chez ses parents. Il n’a plus de revenu. Après bientôt 5 ans de procédure, il est dans une situation catastrophique. D’un point de vue humain, on peut comprendre que c’est un homme qui, parfois, traverse des périodes de désespoir extrêmement profonde. Cela faisait plusieurs mois qu’il ne se passait rien. Il n’y a plus d’audition depuis 30 mois dans son dossier. C’est un combat d’expertises et de contre-expertises. Sachant que les expertises favorables ont fait l’objet de contre-expertises. On est sur une période d’érosion psychique qui faisait que, jour après jour, c’était  de plus en plus dur. Les choses devenaient de plus en plus sombres. Là, nous sommes vraiment sur un geste de désespoir.

Ce geste, vous-a-t-il surpris ?

Non. Il aurait pu intervenir plus tôt. Cela fait très longtemps qu’il ne va pas bien. Même si c’est un battant, c’est vrai qu’il souffre beaucoup. Je m’attendais à cette nouvelle d’un jour à l’autre.

Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon devrait prendre la parole demain après-midi, que va-t-il se passer ?

Depuis un certain temps, nous travaillons pour déposer des nouvelles demandes. Demande de modification du contrôle judiciaire pour l’autoriser à travailler, demande de revenir s’installer dans la région et demande de démise en examen. C’est quand même un homme qui est présumé innocent, on a trop tendance à l’oublier. Il a le droit d’avoir une vie sociale. Ce n’est pas quelqu’un qui a été condamné. Tout cela va être déposé dans les prochains jours. J’attends de voir ce que va dire Mr le Procureur de la République lors de son allocution. Je pense que le Parquet va aussi s’intéresser à la sévérité de la procédure. Tout le monde a conscience que cela dure depuis trop longtemps Il y a un moment, soit on renvoie ce dossier pour être jugé, soit on prononce un non-lieu.

Un incendie s’est déclaré dans les combles d’une habitation cet après-midi à Balanod (39). L’action rapide des sapeurs-pompiers a permis d’éviter la propagation des flammes à l’ensemble du bâtiment. Six véhicules et quatorze sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

Le Docteur Frédéric Péchier a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Il s’est jeté d’une fenêtre au domicile de ses parents, dans la banlieue de Poitiers. Il est placé sous contrôle judiciaire, depuis 2019, à cet endroit.

Rappelons que l’anesthésiste bisontin a été mis en examen pour 24 empoisonnements de patients, dont neuf mortels. Il est soupçonné d’avoir pollué les poches de perfusion de personnes hospitalisées, âgées de 4 à 80 ans, provoquant « des évènements indésirables graves ». Le spécialiste intervenait ensuite pour sauver les victimes.

Frédéric Péchier se trouve actuellement en service de réanimation à l’hôpital de Poitiers, où son état est jugé « stationnaire », selon un de ses avocats.

Un grave accident de la route s’est produit hier soir Avenue Edgar Faure à Besançon. Deux voitures sont impliquées. On déplore quatre blessés. Deux femmes, âgées de 19 et 24 ans étaient piégées dans leur voiture. La seconde est plus grièvement touchée. Dans le second véhicule, deux jeunes hommes, âgés de 21 et 24 ans, présentent des blessures légères. Les victimes ont été dirigées sur le centre hospitalier de Besançon.

Un grave accident de la route s’est produit hier soir place Battant à Besançon. On déplore quatre blessés.