Un homme de 57 ans a vu sa garde à vue être prolongée ce mercredi, avant d’être sans doute conduit à la maison d’arrêt de Besancon jeudi. Ce matin, à Besançon, rue de la Madeleine, une patrouille de police a croisé et reconnu un homme au volant qui n’était pas titulaire du permis de conduire.
Les policiers ont procédé à son contrôle et l’ont placé au garde à vue. Au cours de son audition, il est apparu qu’il faisait également l’objet d’un non-respect de son contrôle judiciaire, l’interdisant de conduire tous véhicules à moteur immatriculés.
Le 3 août dernier, vers 19h15, une femme a menacé avec un couteau de cuisine une personne, à hauteur de la rue de la Corvée à Besançon. Elle a déclaré « petite pute, je vais te tuer, je vais de tuer ». La victime est une fonctionnaire de police bisontine, qui n’avait pas fait état de sa qualité. Elle n’a pas été blessée.
La mise en cause avait quitté les lieux avant l’arrivée de la patrouille, mais un signalement précis a permis de l’identifier et de l’interpeller. Il s’agissait d’une personne présentant des troubles psychologiques, bien connue des forces de l’ordre.
Après une visite infructueuse à son appartement, les fonctionnaires ont finalement interpellé la déséquilibrée rue de Belfort. Et ce, grâce au visionnage des caméras de vidéosurveillance, qui permirent de l’apercevoir déambuler avec un couteau à la main. Elle a été placée en garde à vue, en attente des résultats de l’expertise psychiatrique.
Relâchée depuis, elle s'expliquera le 3 janvier prochain devant la justice.
Ce jeudi, l’individu de 50 ans, défavorablement connu des services de police, soupçonné d'avoir décroché mardi la photographie d’Emmanuel Macron à l’hôtel de ville de Besançon, avant de la découper et de la jeter au sol, comparaîtra ce jeudi 5 août devant la justice. Cet homme, présenté comme une figure de l’ultra gauche, a été interpellé ce mercredi matin à Nancy à l’occasion d’une manifestation. Il a été placé en garde à vue.
Rappelons qu’il avait remplacé la photo présidentielle par un QR code en forme de doigt d’honneur, avec l’inscription « non au pass sanitaire ». Ce dernier avait également essayé de pénétrer sans succès à l’intérieur du palais de justice de Besançon.
La gendarmerie du Jura vient de publier les chiffres de la sécurité routière pour les sept derniers jours dans le département. Entre le 27 juillet et le 3 août, les forces de l’ordre ont enregistré : 68 excès de vitesse, 18 conduites addictives, 2 accidents, 4 défauts de permis, 30 téléphones au volant et 14 fautes de priorité.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus hier, vers 18h, à Saône, pour une surchauffe de fourrage dans un hangar de 200 m2. Les bottes de foin, d’une température de 90°, ont été sorties par le propriétaire sous la surveillance des soldats du feu, équipés d’une lance à incendie. Environ 200 tonnes sur les 2000 contenues dans le bâtiment ont été évacuées.
Ce mardi 3 août, vers 12h15, à Besançon, un homme d’une quarantaine d’années, qui était en train de se débarrasser de deux bonbonnes de cocaïne et d’héroïne, a été interpellé Avenue Île de France par une équipe du groupe de sécurité de proximité. Il a été placé en garde à vue. Il sera présenté demain matin à la justice dans le cadre d’une Comparution sur Reconnaissance Préalable de Culpabilité (CRPC).
A Pontarlier, un homme, bien connu pour des faits similaires, devra s’expliquer le 3 janvier prochain devant la justice pour avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de ses voisins. Ces derniers ont déposé une main courante, connaissant la situation de cet individu, sur lequel les soins médicaux provoquent de l’agressivité.
En plus de son vocabulaire outrageant, ce dernier a également lancé des pétards dans le jardin de ses victimes. Il a été placé en garde à vue. Le Pontissalien nie les menaces de mort, mais il reconnait avoir lancé des pétards.
En attendant de répondre de ses actes devant la justice, une expertise psychiatrique a été demandée.
Un homme de 80 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences sur sa compagne, âgée de 75 ans.
Ce couple est bien connu des services de police pontissaliens. Les deux protagonistes ont déjà dû s’expliquer pour des faits similaires. A chaque fois, aucune ITT n’est prononcée.
C’est en entendant la victime appelée au secours qu’un passant a appelé le commissariat de police. Une patrouille s’est rendue sur place.
Une affaire de violences conjugales a été gérée par les policiers pontissaliens. Dans la nuit du 30 au 31 juillet, les forces de l’ordre ont pris en charge une femme alcoolisée qui se trouvait sur la chaussée. Elle a été transportée à l’hôpital. Elle a fait état de violences commises par son ex-compagnon depuis plusieurs années, quatre ans au moins.
L’agresseur présumé a été interpellé à son retour du travail et placé en garde à vue. Il a été présenté cet après-midi à la justice. Il s’est vu remettre une convocation pour comparaître à une date ultérieure.
Un accident de la route s’est produit à la mi-journée, vers 12h30, sur l’A39 sur la commune de Ruffey-sur-Seille (39). Une voiture est en cause. On déplore un blessé léger. Trois autres personnes, indemnes, sont concernées. Quatre engins et dix sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.