Pour aborder ce scrutin, Séverine Véziès, la candidate du Nouveau Front Populaire dans la 1ère circonscription du Doubs peut compter sur un comité de soutien de près de 130 personnes, composé d’élus locaux, responsables associatifs et citoyens engagés. Parmi ces personnes, on notera la présence de Marie-Guite Dufay, présidente socialiste du Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté, Anne Vignot, Maire écologiste de Besançon et son 1er adjoint Abdel Ghezali, l’ancienne députée Barbara Romagnan et Françoise Piaget, militante des droits humains.
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la deuxième circonscription du Doubs. Cinq candidats sont en lice. Tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Eric Alauzet, qui n’a pas souhaité repartir au combat, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale. Cette circonscription semble être très convoitée, puisque LR a décidé de positionner un des leurs, en l’occurrence Daniel Roy, adjoint au Maire de Malbrans. Il aura notamment sur sa route le maire de Saône Benoît Vuillemin, qui espère être le digne successeur d’Eric Alauzet. Sans oublier Eric Fusis du Rassemblement national et Dominique Voynet pour le Nouveau Front Populaire. Rencontre avec Brigitte Vuitton de Lutte Ouvrière.
Qui est Brigitte Vuitton ?
Agée de 68 ans, enseignante de formation, Brigitte Vuitton est candidate pour les élections législatives dans la deuxième circonscription du Doubs. Son militantisme a débuté dans les années 1970. Depuis plus de 50 ans, Mme Vuitton est restée fidèle à ses convictions et ses valeurs et n’a pas quitté Force Ouvrière.
Ses motivations ?
Brigitte Vuitton se présente pour « faire entendre le camp des travailleurs ». Elle veut porter une autre voix et inciter la classe ouvrière à prendre toute sa place dans le pays, « face à la grande bourgeoisie qui le dirige ». Selon la militante, « si le Rassemblement National arrive au pouvoir, il fera ce que la bourgeoisie lui demande de faire ». « On voit déjà qu’il rétropédale sur pas mal de sujets, tels que les retraites, la TVA pour les produits de première nécessité, … ». Mme Vuitton appelle à l’union entre les travailleurs. Elle les invite « à ne pas céder à la division et se défendre ».
Brigitte Vuitton demande également aux électeurs « de ne pas prendre pour argent comptant ce que lui dit le Nouveau Front Populaire ». « On a déjà vu la gauche au pouvoir. Elle a toujours trahi les travailleurs. On ne peut pas faire confiance à ces gens-là . Il va falloir que l’on fasse confiance aux luttes des travailleurs. Il n’y a qu’eux qui pourront changer la donne » avance-t-elle.
Les priorités
Le pouvoir d’achat et les salaires. « Les gens que nous rencontrons, nous disent qu’il leur faudrait au moins 2.000 euros pour vivre décemment. Avec moins d’argent, des choix s’imposent entre se chauffer en hiver et manger » explique Mme Vuitton, pointant « un appauvrissement général et des profits qui explosent ». « Les dividendes des actionnaires n’ont jamais été aussi élevés » argumente-t-elle. Et de conclure : « face à cela, nous devons augmenter les salaires, les pensions et les allocations et, surtout, les indexer sur l’inflation, sous le contrôle de travailleurs, qui doivent également avoir un regard sur les comptes des grandes entreprises ».
L’annulation de la réforme des retraites et des droits au chômage.
Des embauches massives, notamment dans le services publics (hôpital, poste, écoles).
La candidate appelle les électeurs à choisir le bulletin de vote Lutte Ouvrière. « Il va falloir imposer ces mesures par des grèves massives, tout en ne se faisant pas embrigader par les propagandes nées de la guerre ». Et de conclure : « les travailleurs doivent diriger la société. Voter pour Lutte Ouvrière, c’est choisir des hommes et des femmes qui nous ressemblent et sont dans le camp des travailleurs ».
L'interview de la rédaction : Brigitte Vuitton
Notre rédaction a été contactée par des électeurs. Des dysfonctionnements ont été constatés dans les enveloppes électorales qui ont été envoyées. Selon la préfecture du Doubs, les candidats, pour lesquels des bulletins de vote manque, n’auraient pas suffisamment fourni de documents. Il n’empêche que ces bulletins seront présents dans les lieux où le scrutin se déroulera dimanche. Ces dysfonctionnements concernent l’intégralité de la propagande électorale, qu’il s’agisse des professions de foi ou des bulletins de vote.
Certains électeurs nous ont également confirmé que des documents en double, concernant des candidats, ont été retrouvés dans la même enveloppe. Rappelons que pour des raisons financières, des postulants n’ont pu réaliser les impressions nécessaires.
Notre rédaction a été contactée par des électeurs. Des dysfonctionnements soient constatés dans les enveloppes électorales qui leur sont parvenues. Ce que nous a confirmé Lucas Boillot, le candidat dans la cinquième circonscription du Doubs. De nombreux mails lui ont été envoyés pour déplorer l’absence de bulletins de vote, et, en l’occurrence le sien. Dans certaines enveloppes figurent, par exemple, deux bulletins appartenant au même candidat. Pour d’autres, des professions de foi ou des bulletins de vote sont manquants.
Dans la 1ère circonscription, les documents du Rassemblement National seraient absents, mais cela semble davantage être les conséquences d’un manquement en interne. Du côté de la Préfecture, il est expliqué que les publications en question n’ont pas été reçues dans les délais impartis. Il n’empêche que les contenus des enveloppes diffèrent aussi d’une boite aux lettres à l’autre.
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la deuxième circonscription du Doubs. Cinq candidats sont en lice. Tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Eric Alauzet, qui n’a pas souhaité repartir au combat, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale. Cette circonscription semble être très convoitée, puisque LR a décidé de positionner en des leurs, en l’occurrence Daniel Roy, adjoint au Maire de Malbrans. Il aura notamment sur sa route le maire de Saône Benoît Vuillemin, qui espère être le digne successeur d’Eric Alauzet. Sans oublier Eric Fusis du Rassemblement national et Dominique Voynet pour le Nouveau Front Populaire. Rencontre avec Daniel Roy, le candidat Les Républicains
Qui est Daniel Roy ?
Mr Roy a 50 ans. Marié, il a deux enfants. Depuis 1995, il est élu au sein du conseil municipal de Malbrans. Actuellement, et depuis 2001, il occupe la fonction de 1ère adjoint de sa commune. Daniel Roy a notamment été responsable des jeunes RPR, avant de devenir délégué de circonscription à l’époque de l’UMP. La droite républicaine n’a jamais quitté ses convictions politiques.
Pourquoi cet engagement dans ces législatives ?
Les résultats des dernières élections européennes ont poussé Daniel Roy à se lancer dans cette aventure électorale. « Je ne pouvais pas imaginer que notre circonscription soit représentée par un élu soutenu par l’extrême droite ou par une élue, parachutée, soutenue par l’extrême gauche » explique-t-il. Selon lui, il était important que cette circonscription « majoritairement centre droite » puisse proposer un candidat représentant ces valeurs.
Les priorités
Le pouvoir d’achat. Cela se traduira par « une baisse des charges sur la partie électricité, gaz et carburant ».
La transformation d’une partie des charges sur les salaires en revenu pour le salarié. « Que les charges entre 1.000 et 1500 euros, au lieu d’être reversées à l’Etat, soient accordées au salarié » explique M. Roy. Une mesure qui, selon le candidat, ne se traduira par aucune charge supplémentaire pour les entreprises et augmentera le pouvoir d’achat des salariés. L’élu doubiste explique « qu’il ne faut surtout pas augmenter le coût du travail en France, si l’on veut rester compétitif ».
Redonner sens au mot respect pour les forces de l’ordre et les enseignants. Les jeunes et les parents sont ciblés.
La mise en place du certificat des savoirs fondamentaux à la sortie du primaire, « pour éviter le décrochage scolaire au collège ». « L’élève, sortant du CM2, doit savoir lire, écrire et compter » ajoute-t-il.
La transmission du savoir-faire français, en remettant l’apprentissage au goût du jour.
L’environnement, avec la protection des rivières, en accordant une « incitation financière importante aux familles, aux exploitants agricoles et aux entreprises pour l’achat d’un système de récupération d’eau pour minimiser l’impact sur les nappes phréatiques l’été».
Les transports, avec la mise en 2X2 voies impératives de la totalité des Mercureaux pour faciliter l’accès à Besançon et relancer l’activité économique sur la 2è circonscription du Doubs.
L'interview de la rédaction
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la deuxième circonscription du Doubs. Cinq candidats sont en lice. Tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Eric Alauzet, qui n’a pas souhaité repartir au combat, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale. Cette circonscription semble être très convoitée, puisque LR a décidé de positionner un des leurs, en l’occurrence Daniel Roy, adjoint au Maire de Malbrans. Il aura notamment sur sa route le maire de Saône Benoît Vuillemin, qui espère être le digne successeur d’Eric Alauzet. Sans oublier Eric Fusis du Rassemblement national et Dominique Voynet pour le Nouveau Front Populaire. Rencontre avec Benoît Vuillemin, le candidat de la majorité présidentielle.
Qui est Benoît Vuillemin ?
Benoît Vuillemin a baigné dans la chose publique dès son plus jeune âge. Rappelons que son père a occupé la fonction de Premier Magistrat de la commune de Saône. Il fait également partie des élus qui ont contribué à la naissance de la communauté d’agglomération du Grand Besançon. A 16 ans, Benoît Vuillemin chemine déjà dans le petit landernau de la politique locale, aux côtés de Michel Jacquemin, ancien député centriste du Doubs. Jean-Louis Fousseret, ancien maire de Besançon, fut également sur son parcours. En 2012, Benoît Vuillemin se lance dans les législatives, en tentant de rassembler largement de la droite républicaine à la gauche sociale-démocrate. Ensuite, il rejoint Emmanuel Macron. « Je fus un des premiers fondateurs du mouvement En Marche, devenu Renaissance, puis Ensemble ! » explique-t-il.
Quelles sont ses motivations ?
Face à l’inquiétude, qu’a suscité en lui les résultats des élections européennes, Benoît Vuillemin accepte de se lancer dans la bataille des législatives. Il dit « avoir entendu le signal lancé par les Français » et veut, tout au long de la campagne, « les écouter » pour faire remonter leurs doléances au plus haut sommet de l’état et à l’Assemblée nationale.
Ses priorités ?
Benoît Vuillemin veut permettre à Gabriel Attal de retrouver son poste de Premier ministre à Matignon. Dans un second temps, localement, il souhaite mettre en œuvre un certain nombre d’initiatives dans les domaines des mobilités, du pouvoir d’achat, sur la fiscalité ou encore la sécurité. « J’ai des propositions à faire sur ces points » complète-t-il.
Selon M. Vuillemin, « l’arrivée aux responsabilités de l’extrême gauche se traduirait par un véritable KO économique ». Il juge également que l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite serait « un KO social sans précédent ». « Si l’on veut garantir nos systèmes de santé et de sécurité, nos services publics, ou encore garantir la transition climatique et énergétique essentielle à notre avenir, il faut un système économique stable, prospère et qui génère de la croissance ». Et de conclure : « J’assume être le candidat de l’économie ». « Sans ce système économique prospère, fiable et avec de la croissance, on ne pourra plus rien faire dans ce pays. Soyons vigilants. J’en appelle à la raison de nos concitoyens ».
L'interview de la rédaction
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la deuxième circonscription du Doubs. Cinq candidats sont en lice. Tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Eric Alauzet, qui n’a pas souhaité repartir au combat, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale. Cette circonscription semble être très convoitée, puisque LR a décidé de positionner un des leurs, en l’occurrence Daniel Roy, adjoint au Maire de Malbrans. Il aura notamment sur sa route le maire de Saône Benoît Vuillemin, qui espère être le digne successeur d’Eric Alauzet. Sans oublier Eric Fusis du Rassemblement national et Dominique Voynet pour le Nouveau Front Populaire. Rencontre ave Dominique Voynet.
Qui est Dominique Voynet ?
Agée de 65 ans, Dominique Voynet est maman de deux enfants. Elle a également trois petits enfants. Mme Voynet est médecin de formation. Elle a effectué ses études à Besançon. Elle a également travaillé dans les hôpitaux Saint-Jacques et Jean Minjoz. « L’amour m’a ensuite emmenée à Dole » explique-t-elle. Dominique Voynet a également travaillé au sein de l’hôpital dolois. Elle a toujours été « engagée dans le milieu écologiste ». Parmi ses combats, on rappellera son opposition au projet de canal à grand gabarit Rhin-Rhône, qui s’est conclu par une victoire, lorsqu’elle a été nommée ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement par Lionel Jospin en 1997. Elue maire de Montreuil en 2007, elle est nommée en 2019 à la tête de l’ARS de Mayotte. Dominique Voynet a également exercé des fonctions au niveau départemental et régional. Elle est aujourd’hui secrétaire régionale des écologistes en Franche-Comté.
Pourquoi cet engagement ?
La présence de l’extrême droite aux portes du pouvoir a été déterminante dans le choix de Dominique Voynet de s’engager dans ces législatives. « Tout doit être fait pour protéger les valeurs de la démocratie et le vivre ensemble » explique-t-elle. Pour l’ancienne ministre de Lionel Jospin, « le jeunisme a vécu et les citoyens, qui lui ont accordé leur confiance à Besançon, ont exprimé l’envie de soutenir une élue expérimentée, sage et responsable ».
Les points clés du programme ?
Réduire les inégalités.
Revenir sur l’allongement de la durée de travail pour obtenir une retraite à taux plein.
Revaloriser les petites retraites, les très bas salaires et l’allocation adulte handicapé.
Dominique Voynet ne se définit comme une candidate de l’extrême gauche. Elle rappelle que le Nouveau Front Populaire est composé d’idées diverses. Elle ne cautionne pas les prises de position radicales « de quelques-uns ». Elle balaie également d’un revers de la main les idées antisémites que l’on pourrait prêter à son groupe. Elle se souvient de la gauche plurielle de Lionel Jospin qui a permis, en 1997, de former un groupe fort et unique lors de la cohabitation avec la droite de Jacques Chirac.
L'interview de la rédaction
Dans ce contexte politique si particulier, et à quelques jours du 1er tour des élections législatives, Michel Vienet, le directeur de campagne de Daniel Roy, le candidat de la droite républicaine dans la deuxième circonscription du Doubs, vient d’annoncer qu’il venait de déposer une plainte au commissariat de police de Besançon après la découverte d’inscriptions et injures nauséabondes sur les affiches électorales du candidat devant le bureau de vote du Kursaal à Besançon.
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la deuxième circonscription du Doubs. Cinq candidats sont en lice. Tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Eric Alauzet, qui n’a pas souhaité repartir au combat, suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale. Cette circonscription semble être très convoitée, puisque LR a décidé de positionner un des leurs, en l’occurrence Daniel Roy, adjoint au Maire de Malbrans. Il aura notamment sur sa route le maire de Saône Benoît Vuillemin, qui espère être le digne successeur d’Eric Alauzet. Sans oublier Eric Fusis du Rassemblement national et Dominique Voynet pour le Nouveau Front Populaire. Rencontre avec Eric Fusis.
Qui est Eric Fusis ?
Eric Fusis, âgé de 66 ans, est marié et père de deux enfants. Il a trois petits enfants. Il a porté l’uniforme pendant 40 ans. Il a œuvré durant 36 ans dans la grande muette, avant de rejoindre les rangs de la gendarmerie pour terminer sa carrière. Il est actuellement responsable de la 2è circonscription du Doubs au sein du Rassemblement National. En parallèle, il officie au sein du département protection et sécurité du Rassemblement National.
Ses motivations ?
Eric Fusis s’engage « pour sauver la France et les Français ». Le militant veut aider Jordan Bardella à obtenir un maximum de sièges à l’Assemblée nationale et pouvoir dérouler son programme.
Ses priorités ?
« Défendre le pouvoir d’achat des Français », « en baissant le prix de l’électricité et les taxes sur les combustibles, le gaz et les carburants ».
« La sécurité », en arrêtant « ce laxisme judiciaire ».
« Réduite drastiquement les flux migratoires » et « expulser les migrants et les étrangers délinquants criminels ».
L'interview de la rédaction
A la veille des élections législatives, Plein Air fait le point sur la situation politique dans la première circonscription du Doubs. Sept candidats sont en lice, avec des motivations différentes quant à l’issue du scrutin, mais tous veulent en finir avec le Macronisme. Rappelons que la circonscription a été remportée, en 2022, par le centriste Laurent Croizier. Contrairement à d’autres territoires doubistes, LR n’a pas souhaité opposer un candidat au parlementaire sortant, qui devra, cependant, convaincre face à des candidats redoutables, issus de l’extrême droite et du Nouveau Front Populaire. Rencontre avec Nicole Friess de Lutte Ouvrière
Qui est Nicole Friess ?
Agée de 71 ans, Nicole Friess repart pour une nouvelle lutte électorale. Mme Friess a exercé son activité professionnelle au sein des urgences de l’hôpital de Besançon, où elle était agent administratif. Elle rejoint Lutte Ouvrière en 1972. Son premier engagement public remonte en 1974, lorsqu’Arlette Laguiller s’est présentée à la présidentielle.
Ses motivations
Mener une politique dénonçant « la précarité des classes populaires, les guerres et le sort que l’on réserve aux migrants et aux femmes, à travers le monde ». Autrement dit, contribuer « à faire changer ce monde barbare ».
Ses priorités ?
La lutte pour une augmentation des salaires et des pensions. Une précarité qui engendre « des difficultés pour se nourrir, se loger, se chauffer ». Alors que « les gros groupes capitalistes amassent des fortunes et concentrent les pouvoirs ». « Ce sont eux qui gouvernent. Ce sont eux qui sont au pouvoir » explique Nicole Friess.
Que les travailleurs retrouvent la confiance en leur propre force. « On est des millions. On fait tout marcher dans la société, à l’échelle du monde. Il faudra, tôt au tard, renverser ce système capitaliste » ajoute la militante. Selon Mme Friess, l’atteinte de ces objectifs passent par « la création d’un parti politique qui représente et défend » les travailleuses et les travailleurs.
L'interview de la rédaction