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Pour terminer intelligemment les vacances, à Besançon, le Bastion organise quatre jours de découverte et d’initiation aux musiques actuelles et à la musique assistée par ordinateur. Encadré par une équipe d’intervenants en MAO, percussions, chant, guitare et design graphique, ce tour d’horizon des musiques actuelles se déroule sur une semaine et s’adresse aux enfants de 11 à 14 ans, musiciens ou non.

Rendez-vous du 23 au 27 août. Ce stage permettra à nos musiciens et musiciennes en herbe de découvrir les secrets de la création musicale d'aujourd'hui. De la composition à la création du visuel, en passant par la pratique instrumentale, l’enregistrement et le mixage : une véritable expérience en studio pro.

Lien de réservation : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Ce dimanche, Pontarlier, capitale mondiale de l’absinthe, accueille une nouvelle édition de la fête de l’Absinthe. Covid-19 oblige, cette manifestation biennale côté français proposera une jolie randonnée de 13 kilomètres, qui permettra aux participants de découvrir le patrimoine local lié à la Fée Verte. Au programme : musique, dégustations, sites historiques et superbes panoramas. Rappelons qu’en 1900, la capitale du Haut-Doubs comptait 25 distilleries et 150 bistrots. A cette époque, 15 millions de litres d’absinthe étaient produits par an.

Hier, jeudi, un groupe d’une dizaine de personnes s’est attaqué à sa cueillette sur un terrain de 3400 m2, situé au lieu-dit « La Rotonde », propriété d’un distillateur local. Ces participants, composés de passionnés et d’intérimaires, ont coupé la plante, dont seules les feuilles vertes et les inflorescences (terminaisons de chaque branche) ont un intérêt. Il y a ensuite l’étape du séchage dans un hangar. Complètement secs, les végétaux qui donneront toute sa saveur au breuvage, seront ensuite livrés au producteur, qui se chargera de la mise en alambic et de la distillation.

ABSINTHE CULTURE

 

La récolte

Comme pour la vigne avec le raisin, les spécialistes scrutent avec grande attention le bon stade de floraison de la plante. Quoiqu’il en soit, la récolte s’effectue entre le 20 et le 30 juillet. Cette année, il faut bien avouer que les fortes pluies de juillet n’ont pas été une très bonne nouvelle. « La météo a une influence énorme sur la qualité de la plante » explique Benoît Delory, Chef de cueille. Et de poursuivre : « la plante s’en sort mieux lorsqu’elle se développe sous un climat aride. Elle s’exprime mieux au niveau aromatique quand elle souffre ».

 

ABSINTHE CULTURE 2

La production

Suite à sa réhabilitation en 2001, après son interdiction en 1915, la fée verte a repris des couleurs. Il n’en reste pas moins que sa production est beaucoup moins importante que jadis « Il y a 70, voire 80 ans, nous parlions de centaines d’hectares d’absinthe, alors qu’aujourd’hui, les surfaces de production ont très nettement diminué » termine M. Delory.

L'interview de la rédcation / M. Delory

 

A compter de septembre prochain, le Musée des Maisons comtoises de Nancray entamera une longue phase de reconstruction. L’objectif étant de doter le site d’infrastructures, permettant une meilleure mise en valeur des collections et d’accueil du public et des conditions de travail et de conservation des collections.

Dans un premier temps, ce vaste chantier a pour but de répondre aux exigences du nouveau projet scientifique et culturel, initié par le ministère de la culture et la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), qui impose un cahier des charges technique et scientifique précis à remplir pour espérer conserver le label de musée de France. Une démarche déterminante pour l’avenir, mais pour laquelle les élus et les partenaires locaux ont souhaité associer le grand public. Ainsi, une réflexion autour de plusieurs axes de développement est lancée.

Une première tranche de travaux

Dès l’automne prochain, une première tranche de travaux de 4 millions d’euros va pouvoir être lancée. Cette première opération consiste en la construction de réserves en lieu et place du lieu de stockage actuel des collections et d’une galerie d’exposition permanente qui permettra de présenter l’évolution du machinisme agricole. Il est également prévu l’extension de l’atelier des services techniques, la réhabilitation d’une ancienne ferme en salle d’accueil des scolaires et la transformation de la maison forestières de Levier en résidence pour l’accueil d’artistes. La livraison des travaux pourrait être effective à compter du mois de juin 2023.

 

MAISONS COMTOISES NANCRAY DD

D’autres tranches à finaliser

Financé à hauteur de 90%, pour le moment pour un montant de 4 millions d’euros, la suite de ce projet de réhabilitation de ce musée en plein air prévoit : la construction d’une nouvelle maison d’accueil qui abritera l’accueil, la boutique, un café, une salle d’exposition temporaire, une halle couverte pour des évènements, … . La requalification paysagère et scénographique du parc est également au programme. La réhabilitation du bâtiment d’accueil actuel en restaurant et celle du restaurant actuel en un programme mixte à destination de salles pédagogiques, de formations et de privatisations sont dans les cartons.

Le Musée des Maisons comtoises en chiffres

- Un parc de 15 hectares,
- 2 kilomètres de balade,
- 8 jardins thématiques,
- 21 salariés,
- 45.000 visiteurs par saison,
- 35 édifices et édicules franc-comtois.

L'interview de la rédation / Pierre Contoz, Maire de Montfaucon et président du syndicat mixte du Mudée

Fred K, artiste doubiste, également surveillant-éducateur dans un centre d’hébergement social, vient de sortir un titre et un clip qui ne passent pas inaperçus sur les réseaux sociaux. « Not Alone » raconte l’histoire de ces jeunes cabossés et violentés par la vie que Frédéric Kerbidi, alias Fred K., rencontre quotidiennement dans le cadre de son travail.

Le quarantenaire s’est beaucoup investi pour ce nouveau projet musical. « J’ai travaillé seul. Je suis l’auteur et le compositeur de ce titre » explique-t-il. A travers les paroles qu’il a lui-même posées sur une feuille blanche, l’artiste s’est questionné sur la difficile reconstruction que doit engager une personne après avoir vécu des situations personnelles difficiles, souvent violentes et dévalorisantes. Symboliquement, et pour donner encore plus de relief à cette création, il a souhaité associer une personne sourde, vivant avec ce handicap depuis sa naissance. La rencontre fut belle et fructueuse. Fred et Magali se sont rencontrés et, malgré les barrages de la communication, ont su unir leurs forces et leurs compétences. La voix, c’est Fred. L’interprétation visuelle de la chanson, c’est Magali. « Le fait qu’elle chante la chanson avec les mains lui donne une toute autre dimension. Je l’écoute différemment » réagit l’artiste.

Le maquillage pour jouer sur les expressions

D’un point du vue artistique, le batteur doubiste a voulu être le plus discret possible. Ces apparitions se font maquiller, tout comme sa comparse. L’objectif étant de donner une toute autre dimension à la prestation. Le résultat est bluffant et mérite vraiment que l’on s’y arrête. Ce jeu d’acteur est plaisant et assure, avec toute la mise en scène qui l’accompagne, un clip réussi et qui interpelle. En deux semaines seulement, « Not Alone » a déjà obtenu 40.000 vues.

L'interview de la rédaction

Pour le découvrir n’hésitez pas à vous rendre sur YouTube. Le titre devrait également figurer sur toutes les plateformes musicales de téléchargement dans les prochaines semaines.

Les acteurs du milieu de la culture ne dissimulent pas leur mécontentement face à la mise en place imminente du pass sanitaire. C’est le cas de Cédric Louvet, directeur du Mégarama Beaux-Arts à Besançon, déconcerté par l'arrivée précipitée de cette mesure.

 

"Comment va-t-on s'organiser ?"

 

« Nous ne sommes pas contre le pass sanitaire, bien au contraire. Cette mise en place est juste beaucoup trop hâtive. Les délais imposés sont difficilement tenables. Nous avons été prévenus lundi 12, que le pass sanitaire devra s’appliquer dès le 21 juillet. Une semaine plus tard. Comment va-t-on s’organiser ? » s’inquiète-t-il. « Le délai est trop court pour nous, pour se mettre en place. Cela va demander des moyens humains supplémentaires pour le contrôle, mais aussi un investissement dans du matériel, donc de nombreux coûts supplémentaires. Nous allons avoir des pertes financières, c'est sûr » déplore Cédric Louvet. Et même si aujourd’hui la vaccination apparaît comme la seule solution pour endiguer cette pandémie, il est désormais impossible pour une personne qui ne disposerait d’aucune des deux doses vaccinales, de se rendre dans un lieu imposant le pass sanitaire, avant plusieurs semaines. Et très contrariant de procéder à un test PCR tous les deux jours, en devant à chaque fois, envisager quelques jours auparavant son intention d’aller retrouver les salles de cinéma. D’autant plus qu’il arrive que cela se fasse de manière imprévue. « Parfois, des clients qui se trouvent en ville passent devant le cinéma, et prennent l’envie soudaine d’assister à une séance. Tout comme on peut se motiver à aller boire un coup dans un bar sur un coup de tête, ou manger au restaurant. Certaines choses se décident parfois dans le feu de l’action. Et avec la mise en place aussi soudaine du pass sanitaire, toutes ces choses seront désormais impossibles » regrette le directeur du cinéma.

 

Une jauge de 50 personnes

 

Effectivement, cette triste solution existe. Le pass sanitaire ne serait pas de mise pour les séances de moins de 50 personnes. Cette funeste issue est applicable pour les petites salles, mais des blockbusters sont en approche au Mégarama Beaux-Arts. Il paraît difficile et délicat, notamment vis-à-vis des distributeurs, d’accorder seulement une cinquantaine de place pour leurs productions. De plus, la mise en place du pass sanitaire intervient en plein festival de Cannes, cette période de l’année où le cinéma prend une place médiatique prépondérante, et convie les spectateurs à se rendre en salle. Et comme pour enfoncer le clou, la sortie de « Kaamelot - premier volet », tombe le jour fatidique de l’instauration du pass sanitaire. Un film tant attendu en France, suscitant l’euphorie et l’engouement des fans à travers tout le pays, affichant complet avec plus de 600 places vendues pour l’avant-première ce mardi soir. « Le milieu de la culture est mis à part, c’était déjà le cas pendant le confinement. On a été les premiers à fermer, et les derniers à rouvrir. On est une fois de plus mis de côté. Alors qu’on a toujours appliqué les protocoles sanitaires strictes. Et on n’a jamais vu de clusters apparaître dans les salles de cinéma » souligne Cédric Louvet.

 

Communiqué de presse : 

 

« Madame, Monsieur, bonjour,

Ce message pour vous faire part de notre stupéfaction dans la violence des décisions prises par le Président ce lundi, qui sans ménagement et sans concertation a décidé d’étendre le Pass Sanitaire à nos activités dès la semaine prochaine et avec des sanctions extrêmement lourdes en cas de non-contrôle alors même que nous nous relevons avec difficulté des mois de fermeture imposée.

Bien que nous soyons pleinement solidaires et mobilisés dans la lutte contre la Covid, nous sommes stupéfaits du très bref délai qui nous est alloué dans la mise en place du pass sanitaire.

La mise en œuvre de cette mesure se heurte à de nombreuses questions essentielles : responsabilité des salariés des salles de cinéma, responsabilité des entreprises et des spectateurs, sanctions applicables, mesures d’ordre public, statut des salariés, coût et processus opérationnel de vérification, etc. Sur tous ces points les autorités sont à ce stade silencieuses, alors que les cinémas ont moins d’une semaine pour mettre en œuvre cette obligation inédite et complexe.

Cette mesure, prise avec effet quasi-immédiat et sans préavis informatif permettant à nos spectateurs d’anticiper la situation, vient briser la dynamique de reprise de notre activité et les perspectives économiques favorables du second semestre, indispensables après la longue fermeture des salles de cinéma. Elle fragilise fortement l’ensemble de l’exploitation cinématographique qui s’attelle pourtant depuis le début de la crise sanitaire à mettre en œuvre des protocoles sanitaires robustes et efficaces.

Nous le regrettons vivement. »

La Citadelle de Besançon présente actuellement une exposition baptisée « Canti, Vie remarquable des arbres et vie quotidienne ». Une exposition sensorielle à découvrir jusqu’au 19 septembre. « Si les arbres avaient des oreilles, qu’entendraient-ils ? ». Tel est le synoptique de cette réalisation. Réalisée par Intermèdes Géographiques, cette exposition sensorielle capte l’intimité de l’arbre, à savoir sa vie interne, organique et biologique. Cette installation visuelle et sonore confronte portraits d’arbres, vie quotidienne et son de la sève.

Deux artistes, Marc Cellier, photographe plasticien, et Olivier Toulemonde, artiste sonore, se sont associés pour imaginer un programme de rencontres avec 10 arbres remarquables de la région Bourgogne-Franche-Comté. Les arbres photographiés pour cette exposition sont à découvrir dans plusieurs communes : Besançon, Émagny, Arc-et-Senans, Fougerolles et sur le Mont Poupet.

En complément des photographies grands formats, les visiteurs pourront entendre l’environnement sonore de chacun des arbres, enregistré in situ. Composés de bruits de la nature, d’animaux ou d’activités humaines, ces paysages sonores sont le reflet de ce que les arbres pourraient entendre s’ils avaient des oreilles. A travers cette démarche artistique, Marc Cellier et Olivier Toulemonde ont souhaité capter l’intimité de l’arbre, à savoir sa vie interne, organique et biologique.

La ville de Besançon annonce le retour des soirées Granvelle. Du 23 juillet au 14 août, les vendredis et samedis soir, la Cour du Palais Granvelle se transforme en salle de spectacles à ciel ouvert. L’occasion pour le public et les artistes de se retrouver dans cet écrin du patrimoine bisontin, autour d’une programmation musicale éclectique (classique, blues, électro, chanson…) mais aussi de spectacles musicaux et théâtraux

En raison de la situation sanitaire, le format de cette édition est adapté. La jauge est limitée et le public devra réserver ses places gratuitement sur le www.sortir.besancon.f

La manifestation culturelle « les mardis des rives » revient pour une nouvelle édition cet été dans le Grand Besançon. Le premier concert gratuit a été donné le 6 juillet à Saint-Vit. Le prochain se tiendra le 13 juillet à Thise. D’autres sites ont été choisis : Avanne-Aveney (20/07), Roche-lez-Beaupré (27/07), Deluz (3/08), Novillars (10/08), Byans-sur-Doubs (17/08) et Montferrand-le-Château (24/08). Comme chaque année, la soirée de clôture aura lien à Besançon le 31 août.

Pour tout savoir sur cet évènement et réserver votre place : www.mardisdesrives.fr

Le Musée Courbet rouvre ses portes ce jeudi après plusieurs mois de travaux. À cette occasion, une exposition sur Courbet et Picasso nommée « Révolutions ! » est présentée au public jusqu’au 18 octobre.

C’est l'événement artistique de l’été à Ornans. Après de longs mois de travaux, le musée Courbet rouvre ses portes ce jeudi. À cette occasion, le directeur du musée Benjamin Foudral a vu les choses en grand. Une exposition sur Courbet et Picasso nommée « Révolutions ! » sera présentée aux visiteurs, et ce jusqu’au 18 octobre. Les amateurs d’arts pourront ainsi y découvrir une soixantaine d'œuvres réalisées par les deux peintres, grâce à un partenariat prestigieux avec le Musée d’Orsay, ou encore les Musées Picasso de Paris et Barcelone. Plus qu’une simple vitrine de leurs œuvres, l’exposition, et son commissaire scientifique Thierry Savatier, nous plongent directement au cœur de la vie de ces deux peintres de renom. Si leurs styles sont bien différents, l’exposition nous en apprend davantage sur leurs similitudes avec un parcours divisé en 5 thèmes distincts : « Jeux d’images », « Le faiseur de chair et le diseur de nu », « Liberté d’abord », « Misères », et « Picasso regarde Courbet ».

Deux « révolutionnaires » dans l’art

Tout au long de l’exposition, on apprend de quelle manière Courbet et Picasso sont, chacun à leur manière, des « révolutionnaires », des artistes ayant marqué une rupture avec l’art conventionnel de leur temps. Il s’agit par exemple d’une rupture avec l’idéal, notamment dans la représentation des corps féminins. Les deux maîtres de la peinture rompent avec les œuvres sans défauts de leur temps et souhaitent montrer les corps « tels qu’ils sont réellement ». Courbet peint par exemple les femmes avec une pilosité pubienne et des formes généreuses, ce qui faisait scandale à l’époque au sein de l’habituel académique. Picasso s’en inspire grandement en effectuant plusieurs peintures montrant le nu de manière crue et dérangeante (Les Demoiselles d’Avignon - 1907), symbole de sa liberté de création.

Demoiselles de la SeinePIcasso

Les Demoiselles des bords de la Seine, Gustave Courbet (1857) : Tous droits réservés au Musée des Beaux-Arts de Paris et au Musée Courbet d'Ornans

Les Demoiselles des bords de la Seine, Pablo Picasso (1950) : Tous droits réservés au Kunstmuseum de Bâle (Suisse) et au Musée Courbet d'Ornans

Des artistes engagés

Un autre point commun partagé par Gustave Courbet et Pablo Picasso est l’engagement politique et social. Chacun vit au cours de sa vie plusieurs mutations politiques importantes, mais tous deux font front à leur manière aux figures d’autorités. Courbet s’oppose à Napoléon III, quand Picasso, lui, se confronte à Franco, dictateur espagnol du XXème siècle. Concernant leur rapport aux mutations sociales, l’essor industriel dans l’Europe du XIXème donne naissance au prolétariat, et la misère qui en découle marque particulièrement les deux artistes. Courbet montre la réalité que les élites refusaient de voir dans sa série « Les Grands Chemins », quand Picasso peint la misère dans sa « période bleue » via des portraits de paysans, prostituées, ou autres ouvriers, dans des tons bleutés.

Bohémienne

 

La Bohémienne et ses enfants, Gustave Courbet (1853-1854) : Tous droits réservés à la collection privée de Hong Kong, et au Musée Courbet d'Ornans

Le Musée Courbet fait peau neuve

Outre la grande exposition « Révolutions ! » qui sera bien évidemment son attraction majeure du ces trois prochains mois, le Musée Courbet fait peau neuve pour cette réouverture. L’éclairage, la décoration, le placement des œuvres… Tout ou presque a été amélioré afin de plonger en immersion totale les visiteurs, et afin de mettre en valeur les œuvres inestimables mises en avant. Aux côtés du département, le musée prend également ses responsabilités en termes d’écologie. Le système d’éclairage ainsi que la méthode de conservation des œuvres sont désormais plus respectueux de l’environnement.

Malgré le contexte sanitaire du moment, « Livres dans la Boucle », la grande manifestation littéraire bisontine se prépare. Du 17 au 19 septembre prochain, elle rassemblera 20à auteurs. Plus de 70 rencontres, lectures, concerts et performances sont au programme.

Le public pourra également retrouver ceux qui seront au cœur de l’actualité et feront parler d’eux à l’occasion de la rentrée littéraire. Il faut encore patienter un peu, mais toutes les informations pour s’inscrire à tous les évènements prévus seront disponibles d’ici fin août. Après Alice Zeniter, la présidence de cette 6è édition a été confiée à l’auteure Cécile Coulon.