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A partir du 29 janvier, dans les 67 communes péri-urbaines, la collecte des déchets ménagers incinérables (bacs gris) sera réalisée toutes les deux semaines, en alternance avec celle des emballages recyclables (bacs jaunes). Un service conforme aux nouvelles habitudes des usagers, qui présentent leurs bacs gris toutes les deux ou trois semaines en moyenne. Depuis la mise en place de la redevance incitative il y a 11 ans, le poids de la poubelle grise a en effet été réduit de plus d'un tiers. Ce nouveau rythme de collecte engendre également des changements de jours dans certaines communes. Pour savoir quand déposer leurs bacs, et éviter un possible délai de 3 semaines entre 2 collectes, il est conseillé aux usagers de consulter le nouveau calendrier des collectes disponible sur le site du Grand Besançon :

https://www.grandbesancon.fr/actualite/du-nouveau-pour-la-collecte-de-vos-dechets-en-2024

Ce vendredi, Besançon célèbrera le 14 juillet. Le défilé débutera à 19h30 sur l’Avenue d’Helvétie. Cette cérémonie sera présidée par Jean-François Colombet, préfet du Doubs, et placée sous l’autorité militaire du général de division Pierre-Yves Rondeau, commandant la 1ère division, commandant la base de défense de Besançon.

Elle comprendra une prise d’armes, avec revue des troupes et remise de décorations et sera suivie d’un défilé à pied et d’un défilé motorisé. Le défilé des troupes à pied sera composé du chef de corps du 6e régiment du Matériel (6e RMAT), de l’étendard et de sa garde, ainsi que d’une cinquantaine de militaires du 6e RMAT, d’une cinquantaine de miliaires du 19e régiment du génie (19e RG) et d’un détachement de 50 jeunes sapeurs-pompiers. Le défilé motorisé sera composé d’un détachement de deux motocyclistes de la gendarmerie, de la police nationale, des douanes, de la police municipale, d’une quinzaine de véhicules militaires du 6e RMAT et du 19e RG ainsi qu’une quinzaine de véhicules du corps des sapeurs-pompiers du Doubs.

Les autres rendez-vous

Après le défilé, à 20h45, la Ville de Besançon donne rendez-vous à la population locale afin de partager un moment convivial. Pour la seconde année, la fête nationale sera célébrée en musique sur la Place de la Révolution avec un nouveau grand concert.

A 21h, l’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté se produira sou la direction de Jean-François Verdier. A 21h45, Tomas Gubitsch (guitare électrique) rejoindra l’Orchestre Victor Hugo. A 22h45, reprise des concerts avec le groupe Tangomotan.

Entre deux temps scéniques, à 22h30, le public admirer le feu d’artifice tiré depuis la Tour Carré des Glacis.

Toute la programmation sur sortir.besancon.fr : https://sortir.besancon.fr/2023/07/04/14-juillet-demandez-le-programme/

Il y a quelques années, l’ancienne mandature du Grand Besançon Métropole se lançait un grand défi : celui de la rénovation de l’ensemble du site des lacs d’Osselle. La surface disponible et la présence de plusieurs plans d’eau, les aménagements de loisirs et le cadre du site en font un lieu de choix, mais la vétusté de certaines infrastructures et les attentes des grands bisontins ont conduit la collectivité à revoir cette base de loisirs très prisée.

Les infrastructures étaient devenues vieillissantes, et pour cette raison, la communauté urbaine a repris cet outil communal pour le placer aujourd’hui sous gestion communautaire afin de le réhabiliter. Les travaux ont débuté avec la démolition de certains baraquements très vétustes. Il ne reste déjà plus rien des anciens bâtiments de l’espace restauration, démolis cet hiver. Benoît Vuillemin, le vice-président en charge de l’attractivité, du rayonnement et du tourisme au Grand Besançon Métropole était sur les lieux il y a une dizaine de jours. « Le chantier avance bien, on est dans les délais. Cette rénovation va prendre quelques années, et tout ne sera pas effectif pour 2023. Bien évidemment, il sera possible d’accéder aux plages et aux lacs, mais il n’y aura encore pas tous les équipements à disposition » indique l’élu.

 

Une refonte complète de la base de loisirs

Il faudra attendre 2024-2025 pour profiter de la rénovation complète. Elle comprendra notamment un bâtiment nouvelle génération de 820m² pour l’accueil du public, des nouveaux restaurants, de nouveaux vestiaires, et bien d’autres installations. Cette rénovation implique aussi la refonte complète des parkings, des voies de stationnement et des accès, ainsi que l’amélioration des emplacements de camping. Un renouvellement des plages est aussi projeté, avec l’installation de nouveaux jeux en plein air, et d’un nouveau poste de secours. Et puis, c’est aussi une deuxième phase qui arrivera plus tard, avec la création d’un sentier d’interprétation. Il s’agit d’une infrastructure touristique se présentant sous la forme d'un sentier équipé de panneaux d'informations. Il fera le tour des deux lacs, le lac Prost et le lac de la Corvée, avec tout un cheminement sur un ponton en bois, qui passera sur l’eau. « Une très belle promenade » se félicite Benoît Vuillemin. « On travaille d’ailleurs en lien avec les associations, comme la LPO, afin de rester dans une démarche d’éco-tourisme » ajoute l’élu.

 

Un lieu privilégié l’été

Le site des lacs d’Osselle est très prisé, surtout pendant toute la période estivale. « Il ne faut pas oublier que les derniers étés que nous avons vécu à Besançon et dans le Grand Besançon étaient très chauds. Ce lieu permet d’aller se rafraîchir en journée, dans les lacs, à l’ombre, et en pleine campagne » explique Benoît Vuillemin. Mais, deux éléments importants aux yeux des grands bisontins sont à prendre en compte : l’accès et le prix. S’il y a eu quelques problèmes de transports l’année dernière, l’élu promet une meilleure coordination cette année. « On améliorera les accès et les liaisons de transport, pour aller du centre-ville ou de la périphérie jusqu’à la base d’Osselle. On aura un outil très fonctionnel. Nous avons des liaisons de bus directes depuis Besançon, qui sont même doublées l’été. Ça permet dans un premier temps d’avoir un lieu de fraîcheur, de détente et de baignade pour l’ensemble des grands bisontins, pour peu cher. On peut passer des journées complètes sur le site pour des coûts très modiques. C’est moins de 10€. Et puis, c’est un lieu touristique. On a l’EuroVelo 6 (ndlr : une véloroute longue de 4 450 km, qui relie Saint-Brevin-les-Pins en France à Constanța en Roumanie) qui passe à côté, des emplacements de camping, les grottes d’Osselle pas très loin. Ça rentre dans notre démarche d’amélioration de l’accueil touristique sur le territoire du Grand Besançon, mais aussi d’amener des outils et des lieux de bien-être à nos concitoyens ».

 

Le site est actuellement fermé, mais sera bien ouvert lors de période estivale. Le coût de ce projet repose sur une base de 5.100.000€ hors taxe. Les travaux s’étaleront au moins jusqu’à 2025-2026.

 

Ce matin s’est tenue la très attendue troisième édition de la Classic Grand Besançon. Le rendez-vous avait été donné sur l’esplanade des Droits de l’Homme, pour la présentation des différentes équipes avant un départ fictif à 11h30. Jusqu’à 16h, les spectateurs ont pu supporter les coureurs sur les routes du Grand Besançon, avant de saluer la victoire de Victor Lafay à son arrivée, au belvédère de Montfaucon.  

C’est sous un soleil timide, en début de matinée, que de nombreux spectateurs sont venus ce matin, sur l’Esplanade des Droits de l’Homme , saluer la dernière prestation de Thibault Pinot sur cette course, en raison de sa retraite sportive en fin de saison. Après les chaleureuses présentations de toutes les équipes présentes, l’équipe tant attendue, Groupama – FDJ, dont fait partie le champion franc-comtois, s’est vue acclamer par le public,  peu avant le départ fictif.  

A 11h30, Abdel Ghezali,  élu en charge des sports, Anne Vignot, maire de Besançon,  ainsi que Thibault Pinot ont coupé le ruban, signant le départ de cette course effrénée ! Le public, au-delà du bord des routes, a pu suivre tout au long de la journée, l’évolution des coureurs en direct sur la chaine “l’ Équipe”.

Le reportage de la rédaction :

Le Grand Besançon Métropole a annoncé ce jeudi 13 avril la future acquisition de nouvelles rames de tramways, mises en place dès la rentrée scolaire de septembre 2025. Au nombre de cinq, elles viendront s’ajouter aux 19 autres, un changement qui viendra améliorer la fréquence de passage de ceux-ci ainsi que leur capacité de transport.   

Ce jeudi 13 avril s’est tenu un vote au Conseil communautaire au cours duquel l’entreprise ALSTOM s’est vu attribuer le marché d’acquisitions des nouvelles rames de tramway. La décision avait été prise par l'ensemble des élus du Grand Besançon Métropole en 2021, afin d’atténuer la saturation fréquente des lignes T1 et T2 aux heures de pointe. Après mûres réflexions, un choix de groupement de commandes avec d’autres collectivités fut avancé, en l’occurrence avec les villes de Brest et de Toulouse. C’est lors du second appel d’offre, que le candidat français ALSTOM a réussi à rafler la mise, en négociant efficacement 3,6 millions d’euros le prix d’une seule rame de tramway.  Bien plus que le prix des premières rames achetées lors des débuts du tramway bisontin, qui était à cette époque d’environ 2 millions d’euros. Une hausse importante due à l’inflation des prix des matières premières mais aussi, à la taille des nouvelles rames de tram qui est plus importante.  

Le temps, c'est de l’argent 


Ces nouvelles rames françaises et éco-conçues, livrées entre mars 2025 et juin 2025, seront bien plus performantes que celles déjà en service. Celles-ci mesurant 24 mètres environ et pouvant transporter 150 voyageurs au maximum, les nouvelles rames de tramway feront elles, 32 mètres de long avec une capacité de transport de plus de 200 voyageurs. À terme, cette acquisition va ainsi permettre de passer d’un tram toutes les 12 minutes à un tram toutes les 10 minutes sur chaque ligne, raccourcissant le temps d’attente maximum des usagers à 5 minutes sur le tronc commun des Hauts du Chazal jusqu’à Parc Micaud. 

Pas de nouvelles infrastructures pour l’instant mais de nouvelles rames dont les matériaux sont français. En effet, les moteurs seront fabriqués à Ornans, les bogies et amortisseurs au Creusot, les transformateurs et système de traction à Petit-Quevilly, la chaine de traction électrique à Tarbes, l’électronique ferroviaire à Villeurbanne, l’assemblage des rames et l’intégration des équipements se feront à La Rochelle. Par ailleurs, ALSTOM prend également en compte l’empreinte environnementale de son nouveau matériel roulant dès sa conception pour la minimiser. Notamment grâce à des éclairages 100% LED, l’intégration de 25% de matériaux recyclés ainsi qu’une réduction de la consommation globale de traction de 33%. 

L'interview de la rédaction : Marie Zehaf, en charge des transports à Grand Besançon Métropole

Forte du succès de la première édition, la commune donne rendez-vous le samedi 3 décembre, de 11h à 22h, au Centre Polyvalent pour une nouvelle édition du Marché de Noël. Une trentaine d’artisans et producteurs locaux seront présents pour faire découvrir leurs produits. L’entrée est gratuite. Les buvettes et restaurations sont tenues par les associations du village, avec au programme : vin chaud, jus de pomme chaud, bière, soupe, gaufres ou encore marrons chauds !

Un diagnostic complet du ruisseau de la Mouillère à Besançon devrait être réalisé dans les prochains mois. Cela afin d’évaluer les différentes possibilités d’aménagement pour atteindre le bon état écologique du cours d’eau. Les conclusions des études permettront à la collectivité d’arrêter son choix sur une façon d’aménager et d’engager les travaux nécessaires à sa réalisation.

La restauration du ruisseau de la Mouillère à Besançon est inscrite au plan d’actions du contrat de rivière « Vallée du Doubs et territoires associés ». Cette opération est portée par Grand Besançon Métropole, dans le cadre de sa compétence « Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations » (GEMAPI). Le but est de restaurer ce ruisseau qui présente de nombreuses qualités. Il est de type vauclusien (une source karstique, rivière souterraine venant au jour, à la façon des eaux de la Fontaine de Vaucluse), d’une profondeur de 50m. C’est un ruisseau caractéristique de ce type de résurgence. Il s'étend sur 350 mètres, en partie dans le quartier Battant à Besançon, longeant la rue Isenbart, pour se jeter dans le Doubs sur le quai de Strasbourg, au niveau de la Tour de la Pelote.

Ce cours d’eau, « semi-enterré », est sujet à la pollution car exposé au milieu urbain, ce qui ne favorise pas sa biodiversité, notamment à cause des activités humaines, de la route à proximité, et des eaux pluviales qui peuvent apporter leur lot de pollution. « On confie une étude à un bureau qu’on va sélectionner après mise en concurrence, et on lui demande de faire un diagnostic complet sur le ruisseau, y compris le bassin versant. En fonction des possibilités qui nous seront offertes, on choisira un scénario qui pourra aboutir à plusieurs choses » confie Gilles Ory, conseiller communautaire délégué à la GEMAPI, à la qualité de l'air et aux zones humides. Cela pourrait être par exemple de « déterrer » certaines parties du cours d'eau, et de les « restaurer artificiellement » en les faisant passer ailleurs. A ce stade, ce ne sont encore que des hypothèses, sachant que ce ruisseau chemine dans un secteur classé.

 

Gilles Ory, conseiller communautaire délégué à la GEMAPI : 

 

 

 

Le collège Victor Hugo de Besançon vient de se doter d’une boite à livres, un projet de partage de la lecture qui a trouvé écho auprès des adultes de l’établissement. A l’initiative de ce projet, une motivation commune entre une élève et Mr Minary, professeur de technologie. La réalisation de la structure a été confiée aux élèves de la classe UPE2A, un dispositif d’aide à l’apprentissage du français pour les jeunes nouvellement arrivés en France et Allophone.

Le concept est très intéressant. Il est basé sur la participation et la collaboration des élèves de l’établissement scolaire. Le principe ? Les collégiens sont invités à venir déposer des livres, accompagnés d’un commentaire du lecteur. L’ouvrage circule ainsi entre les jeunes. Un véritable temps de partage et d’échange autour de la littérature. A travers cette initiative, l’établissement scolaire bisontin répond une nouvelle fois encore favorablement à une proposition émanant de son jeune public.

Le reportage de Faïz, élève de 4è du collège Victor Hugo

Depuis le début de la démolition de l’immeuble rue de Chaillot entreprise au printemps 2021, la confédération nationale du logement (CNL) continue de se battre aux cotés des locataires.

C’est 32 foyers qui ont été expulsés de l’immeuble rue du Chaillot et qui ont dû l’être relogés et c’est en tout 48 appartements qui vont disparaître. Michel Boutonnet, militant de la CNL, a mené et mène encore un long combat depuis l’annonce de la démolition qui date de 2015 : « Nous devons continuer à dire à la municipalité que ce n’est pas une façon de traiter les êtres humains, que de décider de les déplacer comme des pions sur un échiquier ». Cela représente un gaspillage énorme en ce qui concerne le vie des habitants car, l’immeuble comptait beaucoup de personnes âgées, malades et aux faibles revenus. Un gaspillage financier est aussi à prendre compte car le coût de la démolition est estimé à plus de 2 millions d’euros.

 

Des anciens locataires en colère

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Michel et Monique, anciens locataires de l’immeuble rue de Chaillot ont vécu pendant 10 ans dans ce dernier pour aujourd’hui se retrouver un peu plus loin rue de Vesoul, avec un logement plus petit et plus cher (64m2 contre 50 aujourd’hui). Michel est très attristé de voir son ancien immeuble en cours de démolition : « C’est la misère, ça fait mal au cœur parce que on s’est assez battu pour le garder », Monique elle déplore avec tristesse le choix de la municipalité : « On préfère détruire plutôt que réparer » avant d’ajouter : « Maintenant on vit dans des cages à lapin ». Une réhabilitation a pourtant été proposée à tous les locataires mais entrainant pour eux une augmentation des loyers, ils ont refusé cette réhabilitation.

 

1100 logements en danger à Planoise

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Les décideurs ont maintenant pour projet la démolition de 1100 logements à Planoise avec « les mêmes dégâts humains, écologiques et économiques » regrette Michel Boutonnet avant d’ajouter que tout cela se fait « sans aucune concertation sans tenir compte de ce que veulent les gens, on va les déplacer, les enlever de toute leur vie ». Ce programme de destruction doit s’étaler sur 10 ans et la CNL est présente pour s’opposer à cette démolition qui représente 23 fois celle de l’immeuble rue de Chaillot.

Même si Emmanuel Macron n’a pas encore clairement fait connaître ses intentions pour l’élection présidentielle de l’année prochaine, dans le Grand Besançon, un comité de soutien à l’action du Président de la République a été lancé le 16 septembre dernier. Pour Karima Rochdi, une des personnes à l’initiative de la création de ce collectif, « l’objectif est de préparer l’avenir ». Pour ce faire, l’élue Bisontine appelle les citoyens, les élus locaux et tous les acteurs de la société civile, de toutes sensibilités, à les rejoindre. « Nous voulons construire avec le plus grand nombre un nouveau projet de société ».  Le collectif veut recueillir « la parole citoyenne et politique » locale.

Des réunions publiques

Pour ce faire, d’ici l’échéance du printemps prochain, des réunions publiques, des temps forts, des témoignages, … seront organisés. Chacun est invité à venir communiquer ses idées, formuler ses problèmes, ses critiques et ses besoins. Le comité de soutien veut également échanger autour des politiques publiques déclinées par le gouvernement et leur impact sur le territoire.

Contact

Les personnes qui souhaiteraient rejoindre le collectif, composé d’ores et déjà par Karima Rochdi, Arnaud Grosperrin (ancien maire de Roset-Fluans), Valentin Lamielle (chef d’entreprise), Christian Wernert (ancien responsable de départements à l’agence régionale de santé- Franche-Comté), Robert Dard (ancien directeur  d'établissement spécialisé pour enfants et adolescents handicapés) et Leila Hanouni (infirmière libérale), peuvent envoyer un mail à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.