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Dans une tribune, Sévérine Véziès, responsable de la France Insoumise à Besançon, a réagi au choix de Laurent Croizier, le député doubiste centriste,  de se prononcer « en faveur de la motion de rejet adoptée à l’Assemblée nationale, « empêchant ainsi tout débat sur le projet de loi encadrant l’usage des pesticides dans l’agriculture Â».  La Bisontine Insoumise y voit  «  une concession aux lobbies de l’agriculture industrielle et un recul dans la protection de la biodiversité Â».

Les opposants, dans leur majorité, dénoncent « une remise en cause des études scientifiques sur l’impact des pesticides, notamment des néonicotinoïdes, tout en soulignant l’absence de discussion sur les revenus des agriculteurs et la nécessité d’un modèle plus durable Â». Cette décision renforce les tensions autour des choix environnementaux et agricoles du gouvernement.

Face à la montée « de l’insécurité dans le quartier Battant à Besançon Â», le député Laurent Croizier a saisi le préfet du Doubs. Il dénonce « l’inaction de la municipalité malgré les témoignages alarmants des habitants et commerçants, confrontés à une recrudescence des trafics, des violences et des dégradations Â». Estimant que la situation requiert des mesures urgentes pour restaurer l’ordre et garantir la tranquillité publique, le député appelle « Ã  une réponse ferme des autorités. Les riverains, se sentant abandonnés, espèrent des actions concrètes pour améliorer leur quotidien Â».

Dans un communiqué de presse, le député Modem doubiste Laurent Croizier appuie la demande des boulangers et fleuristes d’ouvrir leurs commerces le jour du 1er mai, tout en préservant « le caractère férié de cette journée Â». Il plaide pour la liberté des salariés de travailler et d’être rémunérés, dénonçant « des interdictions qu’il juge déconnectées du terrain Â». M. Croizier met en avant l’importance de « valoriser le travail et soutient l’évolution de la loi proposée par la ministre du Travail Â».

Dans un communiqué de presse, le député Laurent Croizier réagit aux décisions prises lors du dernier conseil communautaire, concernant la gratuité partielle des transports en commun. Le parlementaire rappelle que « la gratuité n’existe pas, il y a toujours quelqu’un qui paie ! ». Selon l’élu, le coût de cette décision s’élève  « Ã  2,7 millions d’euros Â». Il regrette qu’ Â« aucune étude ne confirme une demande de gratuité de la part des usagers Â». Selon lui, Â« Le coût de cette décision politique  devra être supporté, soit par les usagers, soit par les ménages, soit par les entreprises via la taxe « versement mobilité ». Il juge « ce coût irraisonnable, alors que le contexte est déjà difficile Â».

Mr Croizier a fait les calculs. « Ce seront 2,5 millions d’€ de taxes supplémentaires prélevées sur les entreprises, 450.000€ sur l’hôpital Minjoz, 170.000€ sur l’université Louis et Marie Pasteur, 100.000€ sur la ville de Besançon, 38.000€ sur l’association Addsea qui intervient dans le domaine de la protection de l’enfance, 42.000€ sur la Poste qui a déjà des difficultés à maintenir ses bureaux de poste dans les communes Â».

Laurent Croizier indique qu’il « ne partage pas cette vision politique qui consiste à proposer toujours plus de dépenses, toujours plus de gratuité, financés par toujours plus de taxes et toujours plus d’impôts Â». Et de poursuivre : « La seule dépense utile, sociale et environnementale était d’investir dans l’offre de service au plus près des modes de vie et des habitudes de déplacement des Grands Bisontins Â».

Ce jeudi 27 mars, le député doubiste Laurent Croizier a été nommé rapporteur de la mission parlementaire qu’il a sollicitée sur l’évaluation de l’accompagnement des élèves à la découverte des métiers et à l’orientation. L’objectif est d’établir un état des lieux et d’évaluer les dispositifs d’accompagnement des élèves dans l’élaboration de leur projet d’orientation tout au long de leur scolarité. Près d’une trentaine d’auditions sont déjà en cours d’organisation. L’objectif est de formuler des préconisations et des propositions concrètes afin d’améliorer le parcours d’orientation des élèves.

Dans un communiqué de presse, le Député du Doubs Laurent Croizier se félicite du soutien de l'Agence Régionale de Santé à sa demande de création d'une maison médicale de garde à proximité immédiate du CHU de Besançon. Selon le parlementaire, « ce projet est  une réponse concrète à l’engorgement des urgences et aux besoins de la population Â» . Il demande désormais à l’ARS que « ce projet aboutisse le plus rapidement possible Â».

Le député Laurent Croizier a été élu secrétaire de la commission d’enquête parlementaire visant à établir les freins à la réindustrialisation de la France lors de la réunion constitutive qui s’est tenue le 5 mars dernier. Cette commission, présidée par le député Charles Rodwell, sera chargée d’analyser les freins rencontrés par les acteurs industriels et d’élaborer des propositions concrètes pour accélérer la réindustrialisation de la France.

Le Député Laurent Croizier indique qu’il est à l’initiative, auprès de l’Agence Régionale de Santé, d’une demande de création d’une maison médicale de garde à proximité immédiate de l’hôpital Jean Minjoz. Cette démarche fait suite aux importantes difficultés rencontrées par les urgences du CHU Minjoz.

Le parlementaire explique que « cette maison médicale de garde permettra de réorienter les patients relevant de la médecine générale pour prioriser les patients relevant de situations urgentes ou graves et, ainsi, réduire la saturation et l’attente excessive Â».

Dans un communiqué de presse, le député doubiste Laurent Croizier a réagi à la déclaration de politique générale du Premier ministre. Selon le parlementaire, « la maîtrise de la dette publique est un impératif pour préserver notre modèle social et l’avenir des nouvelles générations Â».

« La priorité immédiate est d’adopter un budget pour retrouver de la stabilité Â» ajoute-t-il. M. Croizier juge que « l’annonce d’une concertation avec les partenaires sociaux sur le sujet des retraites démontre la volonté d’une démocratie plus apaisée, plus participative Â».

Ce jeudi, dans l’affaire des viols de Mazan, la cour criminelle du Vaucluse a condamné Dominique Pelicot à  20 ans de réclusion criminelle, la peine maximale pour viols aggravés. Les 50 autres accusés sont reconnus coupables et écopent de peines allant de 3 ans à 15 ans de prison. Un verdict jugé trop clément par les enfants du couple.

Le député du Doubs Laurent Croizier a réagi sus ses réseaux sociaux. Il dit « apporter son soutien à Madame Pelicot et ses enfants. « Personne ne peut mesurer l’épreuve traversée par Gisèle Pelicot. Sa dignité et son courage forcent l’admiration et le respect Â» écrit le Parlementaire. Annie Genevard, ministre de l’Agriculture sortante, s’adresse directement à Gisèle Pelicot. « Vous êtes une femme courageuse et inspirante. Merci pour l’espoir et la fierté que vous donnez à toutes les femmes, en France comme ailleurs Â» écrit Mme Genevard.