Choix du secteur :
Se connecter :
 

Le Député Laurent Croizier indique qu’il est à l’initiative, auprès de l’Agence Régionale de Santé, d’une demande de création d’une maison médicale de garde à proximité immédiate de l’hôpital Jean Minjoz. Cette démarche fait suite aux importantes difficultés rencontrées par les urgences du CHU Minjoz.

Le parlementaire explique que « cette maison médicale de garde permettra de réorienter les patients relevant de la médecine générale pour prioriser les patients relevant de situations urgentes ou graves et, ainsi, réduire la saturation et l’attente excessive Â».

Dans un communiqué de presse, le député doubiste Laurent Croizier a réagi à la déclaration de politique générale du Premier ministre. Selon le parlementaire, « la maîtrise de la dette publique est un impératif pour préserver notre modèle social et l’avenir des nouvelles générations Â».

« La priorité immédiate est d’adopter un budget pour retrouver de la stabilité Â» ajoute-t-il. M. Croizier juge que « l’annonce d’une concertation avec les partenaires sociaux sur le sujet des retraites démontre la volonté d’une démocratie plus apaisée, plus participative Â».

Ce jeudi, dans l’affaire des viols de Mazan, la cour criminelle du Vaucluse a condamné Dominique Pelicot à  20 ans de réclusion criminelle, la peine maximale pour viols aggravés. Les 50 autres accusés sont reconnus coupables et écopent de peines allant de 3 ans à 15 ans de prison. Un verdict jugé trop clément par les enfants du couple.

Le député du Doubs Laurent Croizier a réagi sus ses réseaux sociaux. Il dit « apporter son soutien à Madame Pelicot et ses enfants. « Personne ne peut mesurer l’épreuve traversée par Gisèle Pelicot. Sa dignité et son courage forcent l’admiration et le respect Â» écrit le Parlementaire. Annie Genevard, ministre de l’Agriculture sortante, s’adresse directement à Gisèle Pelicot. « Vous êtes une femme courageuse et inspirante. Merci pour l’espoir et la fierté que vous donnez à toutes les femmes, en France comme ailleurs Â» écrit Mme Genevard.

Le Député Laurent Croizier assurera, en fin de semaine, deux permanences de proximité sur sa circonscription. Rendez-vous ce vendredi 29 novembre, le matin, sur le territoire de la commune de Burgille, en mairie, et l’après-midi, toujours en mairie, à Chemaudin-et-Vaux. Pour prendre rendez-vous : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 09.80.81.44.80

Le Député Laurent Croizier et le Sénateur Jean-François Longeot, qui ont mené une réflexion et un travail en faveur de la restriction du trafic de poids-lourds sur la RN 83 et son report vers l’autoroute, mènent actuellement des réunions publiques sur le territoire concerné. Ils entendent ainsi informer sur les actions mises en œuvre et leur avancée. Chaque jour plus de 2.500 camions traversent les villages via la RN83 avec des conséquences importantes pour la sécurité, l’environnement et le bien-être des riverains.

Les prochaines dates sont les suivantes

Le 4 novembre, à 20h, à la salle communale de Quingey (place d’Armes).

Le 8 novembre, à 20h, à Rennes-sur-Loue, à la salle communale (place du village).

Le 15 novembre, à 20h, à Chenecey-Buillon, à la salle communale (rue de l’église).

Le 25 novembre, à 20h, à Sansom, à la salle communale (3 rue du Bas).

Le 29 novembre, à 20h, à Larnod, à la salle communale (Esplanade Marthe Dagot).

Suite à la situation d’un étudiant bisontin, contraint au redoublement, après avoir été hospitalisé en urgence, le jour de ses épreuves écrites de BTS, le député Modem doubiste Laurent Croizier a déposé une proposition de loi instaurant des sessions de remplacement pour les candidats hospitalisés.

« Alors que les examens du baccalauréat, du certificat d’aptitude professionnelle, ou du brevet professionnel prévoient des sessions de remplacement, une absence à une épreuve du Brevet de Technicien Supérieur pour une cause de force majeure est sanctionnée par la note zéro Â» pointe le parlementaire. Cette proposition de loi transpartisane a été cosignée par 35 députés de 9 groupes différents.

Dans une missive, qu’il communique à la presse, le Bisontin Jean-Philippe Allenbach, président du Mouvement Franche-Comté, interpelle le député doubiste Modem Laurent Croizier, suite à son communiqué de presse sur la déclaration de politique générale de Michel Barnier.

En utilisant le « tu Â», l’ancien candidat aux municipales de Besançon demande au parlementaire s’il s’appliquerait, localement, à lui-même, sa conclusion : « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent Â».

Se projetant déjà sur 2026, il aimerait savoir si Laurent Croizier assumerait une union « Macron-Modem-LR Â» pour remporter la ville de Besançon. Il lui renvoie, ainsi qu’à son adversaire Ludovic Fagaut, « N’oubliez pas que les Bisontines et les Bisontins vous regardent Â». Affaire à suivre.

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, député Modem du Doubs, représentant l’opposition municipale à Besançon, réagit à l’installation de sept caméras de vidéoprotection dans la cité comtoise. Il regrette qu’Anne Vignot, la maire écologiste,  n’ait pas « entendu plus tôt les demandes de l’opposition municipale et celles de la police nationale et de la justice Â».

Il invite la municipalité à changer "de braquet en matière de politique de sécurité : poursuivre l’installation de nouvelles caméras, recruter les 18 policiers municipaux manquants depuis 2020, armer la police municipale et créer une brigade de soirée au sein de la police municipale Â».

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député Modem du Doubs, réagit à la Déclaration de politique générale de Michel Barnier, effectuée mardi à l’Assemblée nationale. Selon lui, « le Premier ministre à la hauteur sur le ton et sur le fond Â». Tout en expliquant que le chef du gouvernement « a déroulé une feuille de route en phase avec les attentes des Français Â». « Il est temps de dépasser les divisions et les querelles, les Français nous regardent Â» termine le parlementaire.

Avant de traiter ce genre d’affaire, il est toujours bon de se rappeler que le journalisme se base sur des faits, et que seuls les faits sont indiscutables. Cette approche déontologique est encore plus vraie en politique. Elle évite les incompréhensions et les influences éventuelles. Chaque décision n’est jamais anodine et mérite d’être recontextualisée, tout en essayant de comprendre  le pourquoi du comment. Les réactions politiques et syndicales,  qui ont suivi le courrier de la Ville de Besançon, suite à une démarche anonyme, après de prétendus vols dans un immeuble du quartier de Trépillot, demandent  cette approche.

Rappelons les faits. En avril dernier, la cité comtoise reçoit un courrier anonyme. Maladroitement, une élue de la majorité s’engage dans une réponse écrite, dans laquelle on demande aux concernés de dénoncer les agents municipaux, qui pourraient être à l’origine de ces vols. Lors du dernier conseil municipal, l’élu LR Ludovic Fagaut brandit le courrier, pointe la décision et quitte théâtralement la salle, en compagnie du député Modem Laurent Croizier, et leurs soutiens. Ce mercredi, l’intersyndicale de la Ville et de Grand Besançon Métropole est montée au créneau à son tour et menace de faire grève pour dénoncer  l’initiative municipale.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

Une enquête administrative

Anne Vignot reconnaît « une erreur Â» dans la manière avec laquelle la Ville de Besançon et son adjointe ont traité le problème. « Cela ne se fait pas Â» explique l'édile, qui exprime clairement son désaccord par rapport à l’écrit et son contenu. Elle rappelle néanmoins qu’une enquête administrative, qui a pris du retard, a été lancée en juillet dernier. Elle a été réactivée cet été et fait suite  Ã  plusieurs dénonciations de ce type, survenues déjà durant l’année 2023. Pour la Maire et présidente de Grand Besançon Métropole, « il n’était pas question de rendre publique cette enquête administrative. Elle rappelle que ce choix s’est effectué dans le respect des convenances et pour ne pas jeter l’opprobre sur les agents bisontins. Elle le redira demain aux syndicats, qui ont demandé à la rencontrer.

« Une manipulation politique Â»

Anne Vignot n’est pas dupe. La réaction théâtrale de l’opposition municipale s’inscrit dans la visée des élections municipales de 2026. « Une chose est certaine. Ils ont bien l’intention de mener une campagne des municipales qui ne sera pas sur le fond, mais qui cherchera à égratigner mon image et celle de mon équipe. Quoiqu’il en soit, je serai toujours sereine, droite et intègre. Je le démontrerai en permanence Â».

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

Un soutien au pouvoir d’achat des agents

Anne Vignot rappelle que le pouvoir d’achat des agents et la lutte contre la précarisation  ont toujours été une préoccupation durant ce mandat. Elle rappelle les décisions importantes qui ont été prises ces dernières années. « 300 agents supplémentaires ont basculé d’un CDD à un CDI, la moitié d’entre eux bénéficient désormais d’une grille indiciaire plus favorable et  2,8 millions d’euros ont été budgétisés pour l’amélioration de leur pouvoir d’achat. Soit une augmentation de 600 à 800 euros pour 2.400 agents Â». Selon  Mme Vignot, « de telles décisions n’avaient pas été prises depuis plusieurs décennies’.