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Il y a maintenant 8 mois, lors des élections législatives, Laurent Croizier, de la majorité présidentielle, s’imposait à 51% des voix devant La France Insoumise de Séverine Véziès, devenant ainsi député de la première circonscription du Doubs. Une nouvelle fonction pour le conseiller municipal et communautaire. La semaine dernière, à travers un document transmis aux habitants de sa circonscription, le député a dressé le bilan de ses 8 premiers mois en tant qu’élu de la République.

 

Ces derniers jours, les habitants de la première circonscription du Doubs ont reçu un courrier de leur député, Laurent Croizier. Une sorte de newsletter établissant un retour sur les huit premiers mois de son action de député au service des Français. Un objectif de transparence et d’information, « nécessaire » selon Laurent Croizier. « Il extrêmement important de montrer que la confiance apportée par les habitants est méritée » explique-t-il. Cette œuvre de transparence, permet de dévoiler à la population l'action menée par le député à travers sa nouvelle fonction. On peut y retrouver notamment le nombre d’amendements déposés et cosignés, les textes de loi cosignés ou encore le nombre d’interventions en commission. Mais aussi les actions menées au sein de l’hémicycle et en dehors, en montrant que derrière la fonction de député, « il y a beaucoup de travail, que ce soit à Paris, à l'Assemblée nationale, mais aussi en circonscription, auprès des habitants, des associations, ou encore des entreprises ». Le député de la première circonscription du Doubs pointe aussi le devoir d’information, primordial selon lui, pour un élu de la République. « Si pour un citoyen être informé est un droit, pour un élu rendre compte est un devoir » souligne-t-il. « C'est une phrase qui m'est chère, et que j'essaie d'appliquer depuis le premier jour de mes mandats politiques. Il extrêmement important d'informer les citoyens, pour traduire cette valeur de démocratie qui m'est chère, et puis de montrer qu’informer les citoyens est aussi un devoir pour un élu. C'est l'exigence que je porte, en tout cas, au mandat et à la fonction de député et d'élu de la République » poursuit Laurent Croizier.

 

Pérenniser ce bilan, et entretenir la proximité avec les habitants

Laurent Croizier souhaite rendre compte aux habitants de son action, à la fois à Paris et en circonscription, en transmettant tous les ans, au mois de février, ce document établissant un bilan de l'année écoulée. « Ce document fera un retour, à la fois de mon action législative à l'Assemblée nationale et au sein de la circonscription. Mes votes principalement, et puis mes actions en direction du territoire » détaille l’élu de la République. Parce qu’être député, implique aussi le rôle d’ambassadeur et de défenseur des intérêts de son territoire. « Mon travail est de porter politiquement les projets des territoires, des communes, du département, et de la région. Tous les enjeux absolument colossaux de ma circonscription » souligne Laurent Croizier. S’agissant de son premier mandat de député, le président du MoDem du Doubs se sent désormais envahit par un sentiment d’utilité et de satisfaction. « Je découvre cette nouvelle fonction. Et c’est une réelle satisfaction, celle de se sentir utile. J'ai le sentiment d’avoir la capacité d’aider les acteurs de mon territoire dans la construction de leur projet, en plus de porter aussi des projets politiques, d’aider à la construction de la loi, de l'amender et de l'améliorer » indique le député. Avant de pointer une proximité nécessaire avec les habitants. « Je souhaite être proche des habitants, de façon à pouvoir porter ce qu'ils me disent directement dans les textes de loi. J'ai à cœur d'entretenir ce dialogue direct, et je crois qu'on ne réconciliera les Français avec la politique seulement si on a cette notion de proximité ».

 

Il y a 8 mois, les élections législatives battaient leur plein dans l’Hexagone. Dans la première circonscription du Doubs, Laurent Croizier, de la majorité présidentielle, avait été élu à 51% des voix devant La France Insoumise de Séverine Véziès. Une nouvelle fonction pour le conseiller municipal et communautaire. A travers un document transmis aux habitants de Besançon, le député a fait le bilan de ces 8 premiers mois à siéger dans l’hémicycle. S’il en est fier et se dévoue corps et âme à sa nouvelle fonction, Laurent Croizier déplore les récentes passes d’armes autour du projet de loi de la réforme des retraites. Il regrette le comportement des élus de la NUPES qu’il juge indigne de l’Assemblée Nationale et de la démocratie.

Il a parfois eu honte. Honte d’être assimilé « à ce cirque et à cette mascarade de démocratie », indique le député de la première circonscription du Doubs, Laurent Croizier. S’il a beaucoup fait réagir en dehors de l’hémicycle en provoquant de nombreux mouvements sociaux, le projet de loi de réforme des retraites a aussi donné lieu à quinze jours de débats tumultueux au sein de l’Assemblée Nationale. Quinze jours d’échanges vifs et animés, conduisant même à de nombreuses reprises l’exclusion de députés en raison de leurs comportements et de l'outrance de leurs propos. Laurent Croizier, qui a « mal vécu ces deux semaines de débat dans l’hémicycle » condamne fermement ce climat de violence installé, selon lui, par les élus de gauche. « J’ai eu le sentiment que l’obstruction, les injures, qui fusaient de la part des députés de la NUPES, n’étaient pas à la hauteur du respect qu’on doit aux citoyens » a-t-il souligné. « On peut débattre, être en désaccord, tout en permettant au débat d’être à la hauteur des sujets » a poursuivi le député.

À l'Assemblée nationale, les débats se sont achevés sans vote et dans la confusion dans la nuit du vendredi 17 au samedi 18 février dernier. Sans surprise au vu du nombre d'amendements restant, essentiellement des Insoumis, et de la date butoir fixée à minuit. Les débats se sont interrompus loin de l’article 7 sur le report de l'âge légal à 64 ans. Le texte est arrivé au Sénat la semaine dernière, le jeudi 2 mars, après un premier examen en commission.

Laurent Croizier, député de la première circonscription du Doubs : 

 

Comme il s’y était engagé, le député Laurent Croizier met en place des permanences de proximité dans les mairies des communes de sa circonscription. Les habitants sont invités à venir rencontrer l’élu et dialoguer avec lui.

Vendredi 24 février

Matin : mairie de Fourg

Après-midi ; mairie de Chenecey-Buillon

Vendredi 24 mars

Matin : maire de Boussières

Après-midi : mairie de Franois

Pour la prise de rendez-vous : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Tel : 09.80.81.44.80

Sur son compte twitter, Anne Vignot, la Maire de Besançon, fait savoir qu’elle a obtenu « une rencontre avec Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, pour traiter de la situation à Planoise ». Le député Laurent Croizier devrait également y assister. L’étude de faisabilité d’un commissariat de secteur « est lancée » annonce l’édile. Un projet qui sera mené sous une co-direction,  avec notamment Jean-François Colombet, le Préfet du Doubs.

Comme il s’y était engagé durant la campagne, Laurent Croizier, le Député de la majorité présidentielle du Doubs,  a ouvert sa permanence ce samedi dans le quartier de Planoise au 5A rue de Vigny. Pour l’occasion, 150 personnes ont répondu à l’invitation. On notera la présence  de Marc Fesneau, le ministre de l’Agriculture, du député Nicolas Pacquot, des sénateurs Annick Jacquemet et Jean-François Longeot et d'une vingtaine de maires de la circonscription.

Pour le parlementaire doubiste, il était important de s’installer dans ce territoire bisontin pour « être aux côtés des Planoisiens ». M. Croisier veut que sa permanence soit « un lieu de rencontre pour tous, qui dépasse les clivages politiques ».

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le député doubiste, portant les couleurs de la majorité présidentielle, se félicite de l’élection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée nationale. « Pour la première fois de l’histoire, une femme politique, accède à cette fonction et devient le quatrième personnage de l’Etat » écrit-il. Et de conclure : « Dans la configuration politique de la nouvelle Assemblée, son expérience et ses qualités de dialogue auront toute leur importance pour apaiser les débats et permettre aux groupes politiques de la majorité et de l’opposition de travailler ensemble avec sérénité, dans l’intérêt des Français ».

Dans un duel très serré, la 1ère circonscription du Doubs a été remportée par Laurent Croizier, le candidat de la Majorité Présidentielle. Il réalise le score de 51,8% des suffrages, contre 48,12% pour Séverine Véziès, qui portait les couleurs de la NUPES. Ce lundi, comme les 576 autres députés, il fera son entrée à l’Assemblée nationale.

LEGISLATIVES CROIZIER 2

Laurent Croizier ne cache pas sa satisfaction. « C’est une étape extrêmement importante. Je ne m’attendais pas en 2012, lorsque j’ai pris ma première carte politique, devenir député. Je pensais que c’était réservé à une certaine élite. Cette élection est la démonstration que si on s’engage, on va au contact des habitants, on est un élu de terrain, proche des habitants, le travail est reconnu et on peut rejoindre l’Assemblée nationale ».

L'interview de la rédaction / Laurent Croizier

Laurent Croizier sera le candidat de la majorité présidentielle dans la 1ère circonscription du Doubs. Sa suppléante est Laurence Cornier, élue à la ville de Saint-Vit, qui a quitté depuis peu Les Républicains.

Laurent Croizier, 47 ans   n’est plus à présenter. Il est un habitué des campagnes électorales et des combats politiques. Marié et père de deux enfants, le Bisontin est élu au conseil municipal de Besançon et à Grand Besançon Métropole depuis 2014. Il occupe également les responsabilités de président du MODEM du Doubs et du groupe des élus LREM et MODEM au conseil municipal de Besançon. C’est en raison de cette expérience d’élu local qu’il se présente pour une deuxième fois à ce scrutin. Il avait déjà tenté sa chance en 2017.

Une expérience d’élu local

Laurent Croizier veut poursuivre l’engagement qui est le sien aux côtés de la population locale. Le candidat veut « porter au plus haut les dossiers importants du territoire ». Il dit vouloir être « un véritable ambassadeur » et travailler au contact de la population, des entreprises et des associations « avec transparence et rigueur ». Selon lui, le département du Doubs doit s’affirmer davantage pour ne pas se faire oublier. L’écriture d’un blog et son dynamisme au sein des collectivités pour lesquels il est élu en font un élu très investi. « Depuis juin 2020, j’ai formulé plus de 120 propositions » rappelle M. Croizier.

Trouver une solution à la crise

Laurent Croizier ne le nie pas, « les Français connaissent une grave crise ». Et de poursuivre : « Nous devons nous mobiliser pour répondre aux défis qui nous attendent ». La hausse des prix de l’énergie, des matières premières et des produits de première nécessité, le pouvoir d’achat des Français, les retraites, avec une réflexion sur la possibilité de « relever l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans », l’emploi des jeunes, l’écologie, la réindustrialisation du pays … sont quelques-unes des problématiques sur lesquelles M. Croizier veut, avec la majorité présidentielle, travailler et appliquer des mesures pertinentes. Plus localement, il se battra notamment pour que le siège de l’Université de Bourgogne Franche-Comté soit à Besançon, la défense du CHU, ses filières et ses plateaux de haute technicité, sans oublier le soutien aux entreprises locales pour qu’elles puissent se développer et créer de l’emploi et l’aménagement de la RN57, entre Besançon et Micropolis.

Mélenchon : un danger colossal

Laurent Croizier ne peut envisager l’arrivée à Matignon de Jean-Luc Mélenchon. « Le risque est énorme s’il venait à obtenir la majorité à l’Assemblée Nationale » lance-t-il. Selon lui, les propositions formulées par l’homme de gauche ne sont pas « finançables ». C’est la raison pour laquelle, Laurent Croizier et son équipe iront défendre leurs idées auprès des habitants de leur territoire d’action. « Il faudra convaincre » explique-t-il. La tâche s’annonces des plus difficiles. D’autant plus qu’Emmanuel Macron n’a pas vraiment encore montré son désir de changement. C’est donc en organisant des réunions publiques, en visitant les quartiers et en faisant du porte-à-porte que le candidat de la majorité présidentielle espère rassembler un maximum de suffrages.

L'interview de la rédaction

Après avoir réuni suffisamment de votes pour terminer en tête du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron repart au travail. Une nouvelle campagne qui devra d’être parfaite s’il veut rester au pouvoir.

Un paradoxe redoutable

C’est la deuxième fois depuis 2017 que les candidats de La République en Marche et du Rassemblement National s’affrontent au deuxième tour d’une élection présidentielle. Et aujourd’hui plus qu’hier, Emmanuel Macron, toujours en tête des scrutins, ne s’attend pas à une victoire facile. Bien qu’ayant obtenu 2 points de plus sur Marine Le Pen que lors des précédentes élections, la méfiance est au rendez-vous. En effet, selon les estimations, l’écart entre les deux candidats se réduit de plus en plus. Les deux prochaines semaines ne seront donc pas de tout repos puisqu’il faudra pour Emmanuel Macron trouver les moyens de convaincre afin de s’assurer un nouveau quinquennat.

Le rassemblement contre la division

« Rien n’est joué », ce sont les mots de Laurent Croizier, Président du MoDem dans le Doubs, hier soir après les résultats du premier tour. Désormais, place à la deuxième campagne dans laquelle La République en Marche souhaite mettre en avant le choc des idées, la confrontation de projet entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Pour ce faire, le parti, se désignant au centre de l’échiquier politique, met en avant l’opposition entre son programme « démocratique » et le « populisme » du Rassemblement National. Une prise de position ambitieuse alors que la personnalité d’Emmanuel Macron est clivante et que  les Français n’ont pas caché leur opposition, à plusieurs reprises, à la politique d’Emmanuel Macron durant le dernier quinquennat.

L'interview de la rédaction / Laurent Croizier

 

Dans un communiqué de presse, Laurent Croizier, le président du groupe des élus La République en Marche -Modem à la ville de Besançon, exprime son mécontentement après le refus d’Anne Vignot, la Maire de Besançon, d’organiser le prochain conseil municipal à la CCI du Doubs, « afin de permettre à tous les élus de pouvoir siéger dans le respect des règles sanitaires », préférant de le maintenir à l’Hôtel de Ville.

Laurent Croizier et ses amis pointent « un manque de considération révélateur pour le bon fonctionnement démocratique du Conseil Municipal de Besançon et réaffirment leur demande publiquement ». Et de poursuivre : « nous sommes attachés à la bonne gestion de l'argent public. il y aurait bien d’autres mesures d’économies budgétaires à réaliser. Les économies ne se font pas sur la démocratie ». Précisons que le prochain conseil municipal bisontin se déroulera le 27 janvier prochain.