Choix du secteur :
Se connecter :
 

Anna Falga, nouvelle présidente du Modem du Doubs, et Laurent Croizier, député du Doubs et ancien président départemental du parti, réagissent aux propos tenus par un élu du Rassemblement National lors de la dernière assemblée régionale à Dijon. Ils se disent atterrés par l’utilisation de cette expression « nazie ».

Rappelons que  l’élu en question  a lancé le mot « untermensch ». Ce qui signifie « sous homme » en français. « L’utilisation de cette expression empruntée au nazisme par le Rassemblement National en dit beaucoup de l’imposture de la dédiabolisation du parti de Madame Le Pen et de Monsieur Bardella, héritiers désignés de Jean-Marie Le Pen » terminent-ils.

Dans un communiqué de presse, le député du Doubs Laurent Croizier condamne « l’action militante menée par un collectif d’extrême droite lors du défilé du carnaval de Besançon, ce dimanche 7 avril ». « Cet acte raciste sous couvert de pseudo-féminisme, à l’occasion de cet événement populaire et familial, n’est que la mise en scène grotesque d’une idéologie haineuse » déclare le parlementaire.

Le Modem du Doubs a une nouvelle patronne. Après trois mandats à la tête du Mouvement, Laurent Croizier passe le relais à Anne Falga. « Anne Falga accompagne des entreprises industrielles de Franche-Comté dans leur développement et leurs implantations depuis plus de 15 ans » explique le communiqué de presse du parti.  La présidente du Modem du Doubs ne cache pas son intérêt pour l’Europe et fait savoir qu’elle mettra « toutes ses forces pour engager le Modem du Doubs » dans cette dynamique.

L’inscription de l’IVG dans la Constitution a été adoptée ce lundi soir avec 780 voix des parlementaires, réunis au Château de Versailles. 72 ont voté contre. En Franche-Comté, Laurent Croizier, le Député du Doubs, explique que ce vote « protège la loi portée par Simone Veil, 50 ans après son adoption ». Et de terminer : « Le combat pour le droit des femmes est un combat universaliste. Soyons fiers que la France devienne le premier pays du monde à faire figurer l’interruption volontaire de grossesse dans sa Constitution ».

Suite aux trois décès survenus dans la maison d’arrêt de Besançon, les 29 décembre et 5 janvier derniers, Laurent Croizier, le député de la majorité présidentielle, s’est rendu sur place. Durant six heures, il a rencontré les personnels de l’établissement et constaté les conditions de détention et de travail des surveillants. Suite à cette visite, le parlementaire transmettra un rapport au ministre de la Justice « sur la base des éléments et des témoignages recueillis ». Pour information, selon les chiffres du député bisontin, la maison d’arrêt compte 434 détenus pour une capacité de 272 places.

Dans un communiqué de presse,  Laurent Croizier, le député doubiste de la majorité présidentielle, a réagi à la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre. Pour le parlementaire franc-comtois, « l’Education nationale perd un excellent ministre, mais la France gagne un Premier ministre très prometteur ». Et de poursuivre : « j’ai travaillé à ses côtés ces six derniers mois et je sais que son dynamisme, son autorité et son franc-parler feront bouger les lignes ».

Eric Alauzet et Laurent Croizier, les députés doubistes de la majorité présidentielle viennent d’écrire à Bruno Le Maire pour l’informer de la situation des salariés de Besançon du groupe Casino, qui connaît actuellement une restructuration. Les deux parlementaires lui indiquent que 400 emplois directs sont concernés par cette situation. Ils lui demandent de porter un regard particulier sur la sauvegarde des emplois. Alertés par des salariés,  les deux élus anticipent une restructuration qui pourrait devenir  « une catastrophe sociale ».

Dans un communiqué de presse, le député Modem Laurent Croizier explique les raisons qui l’ont poussées à voter la loi sur l’immigration tant décriée. Selon lui, « c’était une attente forte de nos concitoyens et une avancée nécessaire pour notre pays ».

Il défend « un texte de grande fermeté et de justice ». Et de terminer : « Ce texte de loi est le fruit d’un compromis entre sénateurs et députés, hors extrêmes. Jamais, je ne mêlerai ma voix à l’extrême droite xénophobe, hostile aux étrangers par principe ».

Le député doubiste Laurent Croizier est très engagé dans la lutte contre le harcèlement scolaire. Dans le cadre de la loi de sécurisation et de régulation des espaces numériques, le parlementaire a formulé une demande de rapport afin de recenser toutes les actions de prévention et de sensibilisation mises en place dans les établissements scolaires, rendre annuellement obligatoire une session de sensibilisation aux enjeux de harcèlement et de cyberharcèlement en milieu scolaire et évaluer la façon dont le harcèlement est inclus dans la formation initiale et continue des professeurs et de l’ensemble des personnels de l’Education nationale.

Par ailleurs, il y a une semaine, lors de l’examen en séance des crédits enseignement scolaire du projet de loi de finances 2024, un amendement, déposé par les députés démocrates, dont le député Croizier, va permettre la création de « brigades anti-harcèlement » dans chaque académie. 40 millions d’euros sont dédiés à la création de ce dispositif, composé de fonctionnaires de l’Education nationale, formés à la lutte contre le harcèlement pour venir en soutien des équipes pédagogiques. «  Il y a une vraie ambition, à la fois des parlementaires et du ministre, pour améliorer grandement la lutte contre le harcèlement dans les  établissements scolaires » explique M. Croizier.

L'interview de la rédaction : Laurent Croizier

 

Les élus de Besançon Maintenant et Ensemble Bisontins ont quitté le conseil municipal hier soir. Ils attendent des excuses d’Anne Vignot. Ils lui reprochent de les avoir empêché d’exprimer leur condamnation concernant les actes antisémites qui gangrènent Besançon. Selon l’opposition, « Madame Vignot a délibérément coupé la parole du député Laurent Croizier au cours de son propos solennel et ensuite nié le rejet du nazisme du premier vice-président du département Ludovic Fagaut et des élus du groupe Besançon Maintenant ». « Dans des moments aussi graves, l’unité, au-delà des sensibilités politiques, devaient s’imposer » conclut le communiqué de presse.