Ce week-end, les 23 et 24 août, le ciel de Besançon s’anime avec la 2ᵉ édition de Tout Besançon Vole, organisée par l’association Besançon Vol Libre sur le site emblématique de Port Douvot. L’événement, gratuit et ouvert à tous, invite petits et grands à découvrir les disciplines du vol libre dans une ambiance festive et conviviale.
Au programme :
Baptêmes biplace en parapente ou deltaplane
Simulation de vol en réalité virtuelle
Atelier boomerang
Massages bien-être
Nuit des Icares – projection gratuite samedi soir à la salle de la Malcombe
Buvette et glaces artisanales de la ferme d’Aissey
Les pilotes licenciés FFVL peuvent s’inscrire (places limitées à 40), avec réductions pour les bénévoles et biplaceurs associatifs. Un week-end aérien à ne pas manquer pour s’élever… et partager !
Le verdict est tombé ce vendredi 22 août lors de la 34e édition du Concours Interprofessionnel du Morbier, organisé dans la ville éponyme. Parmi les 32 fromageries en compétition, c’est la fromagerie de Grande-Rivière qui décroche la Médaille d’Or 2025, récompensée par un jury de 24 experts pour l’excellence de son fromage : aspect, croûtage, raie noire, texture et goût ont fait la différence.
Le palmarès complet :
• Or : Grande-Rivière
• Argent : Saint-Gorgon-Main
• Bronze : Lavigny
La remise des prix s’est tenue dans une ambiance festive, au cœur de la Fête du Morbier, qui a attiré plus de 3 000 visiteurs. Entre marché artisanal, démonstrations, dégustations et animations, le public a célébré avec enthousiasme ce fleuron du patrimoine fromager jurassien. La journée s’est conclue par une Morbiflette géante, partagée dans la convivialité.
Ce vendredi 22 août, Morbier ( 39) accueille son 34e concours interprofessionnel. Trente-quatre fromageries présentent leur fromage à un jury de 24 experts. Aspect, texture et goût sont évalués à l’aveugle pour désigner le meilleur morbier.
La Fête du morbier propose aussi dégustations, démonstrations et marché artisanal. Plus de 3 000 visiteurs sont attendus pour cette journée conviviale. L’affiche 2025 a été illustrée par Ines, élève de l’école primaire de Morbier. Un événement festif organisé par la mairie et le Syndicat du morbier.
Ce mercredi 20 août, une vache destinée à l’abattoir de Pontarlier s’est échappée et a déambulé plusieurs heures dans les rues de la ville. L’éleveur, originaire de Nods, a été blessé au bras en tentant de maîtriser l’animal, tandis que pompiers et policiers ont sécurisé le parcours pour éviter les incidents.
Le bovin, apeuré, a parcouru le centre-ville, provoquant quelques dégâts matériels et blessant légèrement deux personnes. Deux tentatives de sédation par un vétérinaire sont restées sans effet.
Après près de quatre heures de cavale, l’animal a finalement été abattu par les louvetiers à Houtaud, près de Pontarlier. Des images de cette improbable course-poursuite circulent largement sur les réseaux sociaux.
En raison des conditions météorologiques défavorables annoncées sur le Grand Besançon, le concert du groupe Atouboudchan prévu ce mardi soir à Montferrand-le-Château, dans le cadre des Mardi des Rives, est annulé. La navette bus au départ de Besançon ne sera donc pas assurée. Les organisateurs donnent rendez-vous au public pour la soirée de clôture du festival, mardi 26 août au Parc de la Rhodiacéta à Besançon, dès 18h30.
Malgré une édition 2025 saluée par le public et marquée par une affluence de 20.000 festivaliers, le Festival de la Paille se prépare à un virage stratégique. Eugénie Burnier, directrice de l’événement, explique pourquoi la réinvention est désormais au cœur de son projet.
« Bouger les lignes » pour survivre
« Oui, c’est ça : il faut réinventer ce qu’est un festival de musique aujourd’hui », résume la responsable. Le constat est clair : si l’édition 2025 fut un succès populaire et artistique, l’équilibre financier reste fragile. Quatre mille billets payants manquaient cette année pour assurer la pérennité économique. Or, les coûts de production explosent : cachets artistiques en forte hausse, contraintes techniques et de sécurité incompressibles, et dépenses globales dopées par l’effet post-COVID. « Notre économie repose presque exclusivement sur la billetterie, les bars, la restauration et le merchandising », détaille la directrice. « Face à des recettes incertaines et à des charges exponentielles, l’équation devient impossible. »
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
Entre têtes d’affiche et culture émergente
Pour un festival indépendant et généraliste, la programmation est un exercice d’équilibriste. D’un côté, il faut proposer des têtes d’affiche capables d’attirer un large public. De l’autre, il faut honorer l’engagement de soutenir les artistes émergents. « C’est notre responsabilité, et c’est au cœur de notre ADN », insiste Eugénie Burnier. Certains artistes sont conscients de cette tension économique et agissent : Les Ogres de Barback ou encore La Rue Kétanou ont porté des messages de soutien à la scène indépendante. Mais la concurrence entre festivals reste rude, notamment face aux événements portés par de grands groupes privés, mieux armés financièrement.
Garder l’indépendance comme ligne rouge
Le Festival de la Paille, né il y a 25 ans d’une bande de copains, montant une scène dans un champ, revendique toujours son esprit bénévole et territorial. « C’est une aventure humaine avant tout. Cette indépendance fait partie de notre ADN », affirme la directrice. Elle observe, sans jugement, la concentration croissante du secteur : « Une cartographie récente du Syndicat des musiques actuelles montre bien le ruissellement vers des entreprises privées. » Mais pas question de « vendre son âme ».
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
2026 : une page blanche à écrire
La décision est prise : l’édition 2026 sera différente. « Ce ne sera pas ce que les festivaliers connaissent, mais ce sera toujours ensemble », annonce Eugénie Burnier. Les équipes réfléchissent à un nouveau format, dans un mélange d’excitation et de vertige. « Dire que le modèle actuel ne fonctionne plus est effrayant, mais la peur fige. Nous, nous voulons avancer », conclut-elle.
L'interview de la rédaction : Eugénie Burnier
Comme chaque année, la Fiesta des Fines Gueules s’installe à Sainte Colombe, près de Pontarlier, dans le Haut-Doubs, pour un grand week-end musical et festif. La 51ème édition se déroulera vendredi 11, samedi 12 et dimanche 13 juillet.
Trois jours de fête entre musique, gastronomie et spectacles
Tout au long de ces trois jours, tous les publics pourront y trouver leur compte. Les festivités débuteront vendredi, à partir de 19h, avec un repas sous chapiteau. Au menu : moules frites + café ou thé gourmand. Bien entendu, une restauration rapide reste possible si toutefois vous n’aimez pas les moules. Réservation fortement recommandée sur www.urlz.fr/uxqA . Entrée gratuite avant 22h et 10€ après 22h.
Pour accompagner ce repas, des groupes locaux se produirons dès 20h sur la scène : les Sapins Bleus, Kash, les Snails et Martin Cottez. Samedi, c’est l’événement habituel avec "Anonymes" dès 22h30 suivi par Let Dzur et DJ Tanguy pour enflammer le dancefloor. Entrée à 10€. Enfin, dimanche, on ressert les couverts le midi et le soir, avec des repas toujours sous chapiteau. La fête reprendra de plus belle l’après-midi. Au programme, un spectacle visuel à 15h avec Georges Christen, « l’homme le plus fort du monde ». Suivi à 17h de "Jérémy l’Artiste", qui émerveillera petits et grands avec son spectacle de magie et jonglerie. Dès 20h, place à la musique avec Les Splits, Spiders V2 et Martin Cottez. Entrée gratuite toute la journée.

La randonnée des Fines Gueules
Dimanche 13 juillet en matinée, les organisateurs invitent les marcheurs à participer à leur randonnée. En fonction de ses envies et capacités, le public pourra s’inscrire à l’un des deux parcours proposés. Un itinéraire de 14 kilomètres, avec un départ prévu à 8h30, et un autre de 9 kilomètres, avec un coup d’envoi à 9h30.

Toutes les infos sont en ligne sur les réseaux sociaux de l’évènement (Facebook et Instagram). Pour réserver votre place à la soirée moules-frites et/ ou à la rando, pensez à vous rendre sur www.urlz.fr/uxqA
Le 26 juillet, Villeneuve-d’Amont, près de Levier, dans le Haut-Doubs, vivra un véritable moment populaire et sportif, avec le passage du Tour de France. A cette occasion, une partie de ses habitants a décidé de se mobiliser pour que la fête soit la plus belle possible.
L'interview de la rédaction : Alain Grassa
Une mobilisation collective
Derrière cette initiative festive, c’est toute une collectif motivé qui s’est rassemblé. À l’origine du projet : l’association Vernicelloise, présidée par Alain Grassa, épaulée par plusieurs structures locales, notamment l’association des parents d’élèves et le club de football. Ensemble, elles ont uni leurs forces pour offrir au village une animation à la hauteur de l’événement. Depuis plus de trois mois, une poignée de bénévoles – une petite dizaine au départ – a répondu présent. Collecte de vieux vélos dans les greniers, remise en état, peinture colorée, décorations : le village s’est petit à petit métamorphosé aux couleurs de la Grande Boucle.
Un village décoré et fier
Parmi les créations les plus remarquées, deux vélos géants en bois trônent désormais à l’entrée du village, devant la fromagerie locale. Cette dernière participera elle aussi à sa manière, en exposant un comté monumental, clin d’œil savoureux au patrimoine gastronomique régional. Ces installations témoignent de l’investissement de tout un village. « C’est important de marquer le coup, d’autant plus que nous sommes la première commune du Doubs traversée cette année », explique M. Grassa. Villeneuve-d’Amont, qui compte à peine 200 habitants, espère ainsi montrer toute l’énergie des petites communes rurales.
Une journée de fête
Le 26 juillet, l’effervescence sera au rendez-vous. Dès 13h, la célèbre caravane publicitaire fera son entrée dans le village. Les coureurs, eux, sont attendus entre 15h30 et 16h. Pour l’occasion, des buvettes, de la restauration rapide, et des animations conviviales seront proposées tout au long de la journée. De nombreux bénévoles et habitants prêteront main-forte pour accueillir habitants, curieux et amateurs du Tour.
Un appel aux caméras de France Télévision
Du côté des bénévoles, un petit espoir subsiste : que les caméras de France Télévisions prennent le temps de filmer le village et ses décorations. « On aimerait bien que la publicité ne tombe pas au moment du passage des coureurs. Ce serait une belle reconnaissance pour tous ceux qui se sont investis », souffle Alain Grassa. Ce passage du Tour est aussi l’occasion pour Villeneuve-d’Amont de faire parler du Doubs, « un département souvent discret dans les grandes compétitions cyclistes, au profit du Jura voisin ».
L'interview de la rédaction : Alain Grassa
Un moment à ne pas manquer
Le Tour de France, c’est bien plus qu’une course : c’est une fête, un rendez-vous populaire, une vitrine pour les territoires. Et Villeneuve-d’Amont compte bien en profiter pleinement. Le 26 juillet, tout sera prêt pour accueillir chaleureusement les spectateurs et les coureurs. Une date à noter, un village à découvrir.
Du samedi 28 juin au dimanche 6 juillet, à Pontarlier, l’esplanade multi-activités René Pourny vibrera au rythme de la fête foraine de la Saint-Pierre. Petits et grands pourront profiter des manèges, des attractions et des stands de gourmandises tous les jours. Ouverture, les week-ends et le mercredi de 13h30 à 1h du matin, et du lundi au vendredi de 17h30 à minuit. Une ambiance festive à savourer en famille ou entre amis, au cœur de l’été pontissalie,n.
Du 25 juin au 13 juillet, « Ponta’Beach », la fête du sport s’installe au Grand Cours pour trois semaines d’animations gratuites, sportives et culturelles. Escrime, basket, canoë-kayak, badminton, beach-wrestling, danse ou encore bal des pompiers et feu d’artifice viendront rythmer ce début été dans une ambiance conviviale et festive. Petits et grands y trouveront leur bonheur avec jeux en bois, mini-golf, structures gonflables, animations petite enfance, expositions et bien plus encore. Un vrai cocktail d’activités à savourer en famille ou entre amis pour célébrer l’été… et les 10 ans de Ponta’Beach en beauté !
La Grande Boucle à Pontarlier
L’exposition "La Grande Boucle à Pontarlier, plus d’un siècle d’histoire" vous invite à une plongée passionnante dans l’épopée du Tour de France à Pontarlier, de 1911 à 2009. Organisée par les Archives municipales, elle dévoile des photographies inédites et anecdotes marquantes retraçant les passages de la célèbre course cycliste dans la ville. À découvrir tous les jours du 25 juin au 10 juillet à la Ponta’Beach, puis du 11 juillet au 31 août au parc Jeanine Dessay. Une belle occasion de mêler sport, mémoire et patrimoine local !