Jusqu’au 29 décembre, le Musée du Temps accueille Le Temps qui pose, exposition de restitution d’un projet mené avec des personnes détenues à la maison d’arrêt de Besançon. À l’initiative de l’artiste photographe Marianne Boiral, sept hommes livrent leur perception du temps carcéral à travers un triptyque sensible : un objet du musée, un portrait, une parole.
Entre immobilité, routine et espoir, ces fragments d’humanité interrogent notre rapport au temps et à l’enfermement. Une immersion rare dans un espace-temps suspendu, soutenue par les ministères de la Culture et de la Justice dans le cadre du dispositif Culture – Justice.