Lundi, à la cour d’assises du Doubs, Frédéric Péchier a reconnu qu’un patient victime d’un arrêt cardiaque en 2009 avait bien été empoisonné. Mais l’ex-anesthésiste, jugé depuis six semaines, nie en être l’auteur. Il souligne qu’il était présent à la clinique ce jour-là , mais pas dans le bloc opératoire. C’est le quatrième cas pour lequel il admet la réalité d’un empoisonnement.