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Pouilley-les-Vignes, parmi les villages où il fait bon vivre

Publié le 01 Mar. 2023 à 07:03
Tags: vie locale |
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Pouilley-les-Vignes, parmi les villages où il fait bon vivre Photo : commune de Pouilley-les-Vignes

Le week-end dernier, le JDD, le Journal Du Dimanche, publiait le top 500 des villes et villages de France. Là, où il fait bon vivre. 198 critères ont été définis pour départager les 35.000 communes françaises. Qualité de vie, sécurité, santé, transports et loisirs, commerces, protection de l’environnement, … ont été passés au crible. Dans le Doubs, Chalezeule, Pouilley-les-Vignes et Nommay apparaissent dans le palmarès des villages labellisés. Dans le Jura, on notera la présence de Perrigny, Choisey, Messia-sur-Sorne, Macornay, l’Etoile et Le Pin.

Jean-Marc Bousset, le maire de Pouilley-les-Vignes,, explique cette reconnaissance par la présence sur le territoire de la commune « d’une multitude de services pour la population ». « Les gens ont tout sur place. Ils évitent dans la mesure du possible de se rendre sur Besançon. Le cadre de vie est également agréable. On n’est pas tout à fait à la campagne mais presque. Tout concourt à ce que Pouilley-les-Vignes soit un village où il fait bon vivre » argumente l’édile.

S’installer à la périphérie de Besançon

Cette commune périphérique de la capitale comtoise, qui compte 2.200 habitants, connaît un regain d’intérêts depuis plusieurs années. Des lotissements, émanant du privé, sont sortis de terre. D’autres sont encore en projet. M. le Maire reconnaît que les demandes d’installation se multiplient. L’envie de devenir propriétaire, de posséder son chez soi, à la campagne, trouve écho dans cette société. « On recherche des petites parcelles, proches de Besançon, pour s’y installer » explique M. Bousset.

Ne pas devenir un village dortoir

L’édile se bat au quotidien pour conserver cette qualité de vie. Le contexte financier actuel oblige les communes à faire des choix. Il faut également être aussi en capacité de proposer des initiatives favorisant le vivre ensemble. Autrement dit, faire en sorte que ces communes ne deviennent pas des cités dortoirs. Le maintien de cet état d’esprit est parfois fragile, tant, depuis le covid-19, l’engagement associatif est devenu moindre.

L'interview de la rédaction : Jean Marc Bousset

 

Dernière modification le mercredi, 01 mars 2023 07:43