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Un accident de la route s’est produit ce vendredi matin sur l’autoroute A36 à hauteur de Marchaux-Chaudefontaine, dans le sens Beaune-Mulhouse. Une seule voiture est en cause. Un jeune homme de 20 ans, légèrement blessé, a été pris en charge par les secours et transporté sur le CHU Minjoz à Besançon.

Ce jeudi, le département du Doubs a été placé en vigilance jaune pour risque de vents violents. Le centre de traitement de l’alerte a reçu près de 60 appels. Les sapeurs-pompiers sont intervenus à huit reprises, principalement pour des objets menaçants et des protections de biens. Une quarantaine d’interventions ont été assurées par les services départementaux, cinq par la DIR et quinze par les services techniques communaux pour des arbres couchés sur la voie publique. Aucun blessé n’est à déplorer.

Un incendie s’est déclaré ce jeudi 23 octobre au 9 rue du Quartier Neuf, à Villers-le-Lac. Les pompiers du Doubs sont intervenus dans un appartement totalement enfumé, au premier étage d’un immeuble de deux niveaux. L’origine du sinistre : des aliments oubliés sur le feu. L’intervention rapide a permis d’éviter toute propagation. Un chat a été retrouvé mort, deux autres animaux incommodés ont été pris en charge par la police municipale. Les locataires, absents au moment des faits, ont été relogés par la mairie.

La tempête Benjamin secoue  la Franche-Comté. Aucune victime n’est semble-t-il à déplorer. Des chutes d’arbres ont provoqué des coupures d’électricité : jusqu’à 13 000 foyers privés de courant au pic de l’événement en Franche-Comté. A midi, Enedis poursuivait les réparations pour 7 000 clients, dont 3 500 dans le Jura, 2 800 dans le Doubs et 700 en Haute-Saône.

Un accident matériel de la circulation routière s’est produit ce jeudi matin, peu après 9h, à Besançon, rue de Dole. Deux véhicules sont impliqués dans cette collision. Deux personnes sont concernées. Ne présentant pas de blessures, elles ont été laissées sur place. Les polices nationale et municipale ont assuré la circulation et mené les investigations nécessaires.

Le parquet de Besançon a ouvert une enquête pour viol après la diffusion d’une vidéo montrant un enfant de 8 ans agressant sexuellement un camarade de 9 ans en pleine rue. Les faits, filmés par un collégien de 13 ans, ont conduit à la mise en examen de ce dernier pour viol, complicité et enregistrement d’atteinte aux personnes. L’enfant auteur présumé ne peut être poursuivi en raison de son âge. Le rectorat a déclenché un dispositif d’accompagnement psychosocial dans les établissements concernés.

La tension monte dans les rues du centre-ville de Besançon. Face aux nuisances sonores nocturnes devenues insupportables, un collectif de riverains baptisé « CHUT », localisé dans le quartier Quai Vauban,  s’est constitué pour dénoncer le manque d’action des autorités et exiger le respect de la réglementation sur le bruit.

L'interview de la rédaction : Nathalie Bardey 

Un ras-le-bol des nuits blanches

« On n’arrive plus à dormir la nuit », confie Nathalie Bardey, membre du collectif CHUT, excédée. Depuis plusieurs années, ces habitants vivent au rythme des rassemblements nocturnes. Les terrasses des bars débordent sur l’espace public, et les clients, souvent massés dans la rue, transforment le quartier en vaste piste de fête. « On vit dans un quartier vivant, et c’est très bien. Mais quand toute la voie publique est occupée par des gens qui boivent et parlent fort jusque tard, on finit par craquer », résume Mme Bardey. Malgré des rendez-vous répétés à la mairie et à la préfecture, les riverains affirment que la situation reste inchangée. Fatigue, insomnies, tensions de voisinage : le malaise est profond.

L'interview de la rédaction : Nathalie Bardey 

Des mesures promises mais peu d’effets

Le collectif déplore l’absence de contrôle réel. Si la législation encadre les terrasses et les niveaux de bruit, elle est, selon eux, peu appliquée. « Les bars ont droit à des terrasses, bien sûr. Mais pas à occuper toute la rue. Ce sont des règles simples, qu’il faut faire respecter », martèle Nathalie Bardey. Le bruit ne se limite pas à un simple désagrément. À l’aide d’un sonomètre, certains habitants ont mesuré jusqu’à 75 décibels à l’intérieur de leur logement — l’équivalent d’un aspirateur en continu. Pour des personnes malades ou âgées, cette exposition répétée devient un problème de santé publique. « Le manque de sommeil accentue certaines pathologies, notamment cardiaques. C’est grave », alerte la porte-parole du collectif.

Des banderoles pour alerter l’opinion

Ce mercredi soir, les membres de CHUT ont installé plusieurs banderoles sur leurs façades : « On veut dormir ! » ou « Respectez la loi ! ». « L’idée, c’est de dire  . Quand il y a du bruit, on mettra nos banderoles. On ne veut pas interdire la fête, on veut juste pouvoir dormir », explique la Bisontine.

L'interview de la rédaction : Nathalie Bardey 

Un phénomène qui s’étend

Le problème dépasse leur seul quartier. D’autres zones du centre-ville, comme rue Bersot, Battant ou Square Saint-Amour, connaissent des situations similaires. « On parle de pollution sonore, parce qu’elle a de vrais effets délétères sur la santé. Ce n’est pas juste une question de confort », insiste la porte-parole.

L'interview de la rédaction : Nathalie Bardey 

Un appel aux pouvoirs publics

Face à la multiplication des plaintes, les habitants demandent une réaction rapide : plus de contrôles, une meilleure régulation des terrasses et un soutien des élus. Le collectif CHUT, désormais bien organisé, prévoit de maintenir la pression pour que le calme revienne enfin dans les rues bisontines. « Nous aimons notre ville, nous aimons ses cafés et sa vie nocturne Â» conclut Mme Bardet. « Mais il faut que tout cela cohabite avec le droit au sommeil. »

Mardi, vers 18h, un enfant de 6 ans, porteur de troubles autistiques, a chuté du 2ᵉ étage d’un immeuble situé au 34 rue de Ronchaux, à Besançon. La victime, grièvement blessée, a atterri sur un bidon d’acide nitrique, subissant des brûlures au visage et aux yeux. Pris en charge médicalisé, l’enfant a été transporté en urgence au CHU Minjoz, sous escorte policière.

Cette nuit, vers 2h, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus pour un feu d'appartement au 4ème étage d'un immeuble,  rue du comté de chardonnet à Pontarlier. Après reconnaissances, il s'agissait d'aliments restés sur le feu.  Huit personnes ont été évacuées. La locataire une femme de 93 ans, ainsi qu'une femme de 41 ans, ayant inhalé des fumées ont été  prises en charge et transportées sur le centre hospitalier de la ville. Aucun relogement n’a été nécessaire.

Ce mardi 21 octobre, vers 15h45, une conduite de gaz moyenne pression a été arrachée par un engin de chantier rue du Moulin à Grandfontaine. Les sapeurs-pompiers du Doubs ont évacué six personnes suite aux mesures explosimétriques, pratiquées aux abords de la fouille. GRDF prévoit une remise en service du réseau d’ici le 22 octobre au matin pour les 77 clients concernés.