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Un homme de 54 ans qui travaillait dans une entreprise locale de matériaux a été placé en garde à vue pour escroquerie. Cet individu avait notamment réclamé 4000€ pour la vente d’un tapis, en plus de voler de l’argent à sa société, dont une enveloppe récemment. Il n’a pas reconnu les faits, et s’est « perdu dans des explications farfelues Â» selon les forces de l’ordre. Il sera convoqué le 18 novembre.  

Hier soir, un individu a été placé en rétention administrative en vue d’une potentielle reconduite à la frontière. Très énervé par la décision de la préfecture et par son interpellation, cet homme de 26 ans a cassé la porte du local et dégradé une fenêtre, ce qui l’a conduit en garde à vue pour destruction de biens publics. N’ayant pas de place au centre de rétention, cet individu habitant Pontarlier a été laissé libre avec une convocation en justice pour le mois d’avril, ainsi qu’une obligation de quitter le territoire français.  

Les élèves de 1ère bac pro cuisine et restaurant travaillaient depuis septembre à la réalisation d’une marche gourmande à destination de leurs camarades du lycée.

C’est un jeu de piste qui a pris place au lycée Toussaint Louverture à Pontarlier jeudi dernier. Des groupes d’élèves en 1ère bac pro cuisine et restaurant ont réalisé une « Marche Gourmande Â» au sein de l’établissement. Le principe était de s’orienter sur différents stands tout au long de la marche, ces derniers ayant été travaillés et préparés par les élèves, et se déclinant en 4 thématiques : les différents régimes alimentaires, les bienfaits et intérêts de la pratique sportive, les différentes familles de produits et l’adaptabilité dans la restauration. Dans un premier temps, ils ont effectué des recherches, afin d’organiser leurs informations et pour créer des questionnaires. Ils ont également préparé des mets : barres de céréales, pizza, jus d’orange frais… qu’ils proposaient sur ces stands. Enfin, une dégustation en rapport avec le thème était prévue, et un indice était dévoilé afin de se rendre au stand suivant.

 

 

« L’objectif était de privilégier le travail de groupe. Ensuite de travailler le produit en lui-même, de montrer aux élèves que de réaliser une pizza c’est faisable, de privilégier un jus de fruit pressé maison tous les matins c’est faisable, et de préparer les barres céréales c’est assez simple. L’objectif était de montrer que les choses ne sont pas si difficiles, et de privilégier le produit en lui-même et non pas ces aliments déjà préfabriqués Â» Mélanie Grillet, professeure de restaurant et à l’initiative du projet.

L’idée de base était d’organiser cette marche sous la forme d’une randonnée, en dehors de l’établissement scolaire, projet qui n’a pu voir le jour à cause de diverses raisons. « L’aspect sportif est un peu minimisé parce qu’on est à l’intérieur du lycée donc ce n’est pas totalement une randonnée, c’est plus un jeu de piste Â» explique Manon Rive, professeure d’EPS, à l’initiative du projet. « Nous ce qu’on a voulu développer, c’est vraiment la mise en projet des élèves. Comment réaliser un projet, sa conception de A à Z. Les élèves ont tout réalisé eux-mêmes. De la fiche technique pour réaliser le produit, ils ont créé les énigmes, le questionnaire, tout ça a été mis en place par eux Â» poursuit-elle.

 

« Dans la démarche de projet qui s’est déroulée très rapidement, les élèves ont été actifs, et ils ont tout de suite adhéré. Et ce matin, sur la mise en place des stands, sur ce qu’ils devaient cuisiner, le travail en amont a fait que tout était prêt. Il n’y a eu aucun problème. Donc on espère réitérer cette marche gourmande l’an prochain, avec d’autres classes Â» se réjouit Manon Rive.

Des élèves qui ont également montré une attitude très positive lors de cette marche, en se prêtant pleinement au jeu. Une façon aussi de montrer aux autres lycéens de l’établissement, présents dans différentes filières, ce qu’ils sont capables de réaliser, et de quelle façon. Une démarche appréciée tout autant par les autres professeurs, trouvant ce projet cohérent et ludique. Une façon de développer de nombreuses compétences variées comme travailler en équipe, s’organiser, ou encore prendre la parole devant des groupes.  

Ce dimanche à 18h45 dans une rue pontissalienne, un homme a été interpellé par une patrouille de police. Après un contrôle, il s’est avéré que le conducteur présentait un taux d’alcool de 1.28g par litre de sang. Le véhicule  a été immobilisé et son permis de conduire a été suspendu.

Dimanche matin, une femme a été interpellée à Pontarlier au volant de son véhicule. Après avoir été contrôlée à l’éthylomètre, celle-ci présentait un taux d’alcool de 0,94g par litre de sang. Son véhicule a été immobilisé. Elle sera reconvoquée ultérieurement au commissariat de police.

Hier à 12h40, une femme a été interpellée à l’Hyper U de Pontarlier en train de voler à l’étalage. La valeur de son butin était estimée à 184€. La marchandise a été récupérée en bon état. Cette dame a reconnu les faits, puis a été placée en garde à vue.

Ce mercredi, le comité départemental UFOLEP du Doubs et le collectif Parloncap ont mené l’opération « Ufo street Â» au gymnase du bas du lycée à Pontarlier. Il s’agit d’un événement ayant pour but d’initier des jeunes à la pratique de nombreuses activités sportives en lien avec le monde des cultures urbaines et artistiques.

« Le but est de faire découvrir à ces jeunes toutes ces activités en leur faisant plaisir. Mais aussi de faire connaître les différentes associations Â» Justin Bonnet, animateur ado à la MJC des Capucins depuis 7 ans.

Au programme de cette journée, une initiation à plusieurs activités sportives en lien avec les cultures urbaines et artistiques a été proposée aux jeunes participants. Entre le crossfit (musculation), chase tag (jeu du chat en version sportive), hip-hop, panna (foot de rue), football et basket, le choix est varié. « L’idée c’est la mixité au niveau des enfants et des jeunes de quartiers. Ils grandissent ensemble, et apprennent à se connaître à travers des projets. L’idée vraiment, c’est de développer des nouvelles actions et des nouvelles propositions au niveau de la jeunesse Â» précise Eric Louvrier, animateur coordinateur de Parloncap. Des propos soutenus par Florian Martin, délégué départemental UFOLEP du Doubs. « On souhaite développer ce genre d’événement un peu partout dans le département. Si vous êtes une structure associative, en recherche d’activités à proposer aux jeunes, n’hésitez pas à nous contacter. Pour les jeunes, notre volonté c’est qu’il n’y ait pas de barrière financière ou autre. Ça ne coûte rien. On a aussi tendance à se déplacer dans les quartiers prioritaires où l’offre sportive est faible. Notre volonté est qu’un maximum de jeunes puissent bénéficier de ces dispositifs sportifs Â».

 

Retour sur cet événement en photo :

 

Justin Bonnet, animateur ado à la MJC des Capucins, et Florian Martin, délégué départemental UFOLEP du Doubs : 

 

 

Hier aux alentours de 13h, une femme de 53 ans a quitté l’hôpital de Pontarlier contre l’avis médical. Elle s’est ensuite rendue aux abords du Doubs pour se suicider. Elle a été retenue par une jeune fille de 15 ans qui l’a empêché d’accomplir son geste. Elle a ensuite été replacée au sein du centre hospitalier.

Le 28 janvier dernier, un jeune mineur au volant du véhicule de sa mère avait refusé d’obtempérer devant les forces de l’ordre en prenant la fuite, et en leur rentrant dedans par la suite. Interpellé tout de même, sa garde à vue avait été levée puisque le jeune homme né en 2005 était malade de la Covid-19. Il a été convoqué hier soir et placé à nouveau en garde à vue. Il a reconnu les faits, sauf ceux des violences sur les forces de l’ordre. Il sera convoqué devant la direction de la Protection judiciaire de la jeunesse en février et se présentera devant la justice au mois de mars devant le tribunal des enfants.

Le 24 janvier, un homme de 67 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Pontarlier. La victime, sa femme, avait portée plainte le 4 novembre pour harcèlement moral. La sexagénaire, qui a déclaré être régulièrement outragée, a entamé une procédure de divorce depuis le mois de mai. Elle souhaiterait quitter le domicile conjugal. Le couple évoque des problèmes « intimes Â» et des difficultés depuis 2014. L’homme avait déjà été condamné pour des outrages à répétition, mais a expliqué cette fois que les tords sont partagés pour les insultes, et que sa femme profiterait de son statut d’épouse pour obtenir plus de patrimoine.