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L’Urssaf Franche-Comté indique dans un communiqué de presse que le Conseil de la Protection Sociale des Travailleurs Indépendants de Bourgogne Franche-Comté déclenche le plan "Catastrophe et intempéries" pour la Franche-Comté.  Et ce, pour venir en aide aux indépendants victimes des intempéries qui ont touché les départements de la Franche-Comté ces jours-ci. L’aide financière exceptionnelle vise à soutenir les travailleurs indépendants actifs dans leurs besoins les plus urgents lorsque leurs locaux professionnels, leurs outils de production et/ou de leur domicile principal ont été atteints par les intempéries.

Ce jeudi matin, une vingtaine d’agents des métiers de l’animation et de l’éducation populaire  de la ville de Besançon et des Francas du Doubs se sont rassemblés sur l’esplanade des Droits de l’Homme à Besançon. Ils dénoncent la précarité de leur emploi et le manque de reconnaissance de leur profession et de l’action éducative qui l’accompagne.

Pour les participants, la situation a trop duré. Il est devenu urgent pour les collectivités et le monde associatif de prendre les dispositions qui s’imposent. La profession est désertée. La précarité y est bien réelle. Avec des salaires de 550 euros par mois, qui ne tiennent pas compte du temps de travail réel effectué et des horaires compliqués, répartis de façon illégale dans la journée, le métier ne séduit plus.

CGT ANIMATEUR

Ce jour, 25 centres périscolaires étaient impactés à Besançon. Demain, vendredi , une délégation de la CGT sera reçue en mairie. Le syndicat attend des réponses concrètes à ses interrogations. D’autant plus que la mairie de Besançon, entend accueillir davantage d’enfants, dès la rentrée prochaine, dans les centres périscolaires bisontins notamment durant la pause méridienne. Et ce, pour gérer le manque de place dans les restaurants scolaires de la ville.

L'interview de la rédaction / Stéphanie Rodriguez, responsable CGT des Francas du Doubs

Les nombreux partenaires de la CCI de Besançon avaient rendez-vous ce mardi 21 juin pour la remise du chèque Color Life. Plus de 110 000 euros ont été collecté au total pour cette 5e édition en faveur de la lutte contre le cancer, un record depuis sa création en 2015.

24 058 €. C’est le montant récolté par la CCI (chambre de commerce et d'industrie) de Besançon et l’école de commerce IMEA au profit de la ligue contre le cancer pour l’édition 2022 de la Color Life. À l’occasion de cette remise de chèque, tous les partenaires étaient conviés. L’événement qui a pour but de promouvoir le sport santé et de sensibiliser la jeunesse contre les dangers du tabagisme a connu un franc succès cette année encore. Organisée par une équipe d’étudiants et les bénévoles de la ligue contre le cancer dans le parc de la Gare d’Eau, la manifestation a réuni des centaines de personnes.

Un montant historique

Plus de 110 000 € cumulés. Les fonds récoltés vont permettre à l’association de faciliter la recherche nationale et locale. Cela permet aussi d’aider au mieux les personnes atteintes du cancer à travers un accompagnement financier et psychologique, notamment pour les enfants malades. Toutes les 3 semaines se tient une réunion où sont choisies les familles qui bénéficieront de cette aide. Un chèque est reversé directement aux concernés. L’organisation accompagne aussi les proches des malades après le deuil, le “service proximité cancer” est disponible à Besançon, Valdahon et Pontarlier.  

A Besançon, les agents des métiers de l’animation et de l’éducation populaire de la ville ont déposé un préavis de grève pour ce jeudi 30 juin à 10h30 sur l’esplanade des droits de l’homme. Les salaires, la précarité des emplois et les conditions de travail sont au cœur des revendications. Ils demandent une revalorisation salariale, une réelle reconnaissance de leurs métiers, la titularisation des animateurs actuellement contractuels ou encore un meilleur taux d’encadrement.

A Besançon, les représentants syndicaux de la société Safran, spécialisée dans l’aéronautique, mobilisée depuis mercredi, ont décidé de suspendre leur mouvement ce jeudi à l’issue d’une rencontre avec la direction. Les négociations restent néanmoins  insatisfaisantes. Cette dernière campe sur ses positions.

Si l’effort consenti de 62 euros brut devrait se confirmer en juillet prochain, la demande de 60 euros supplémentaires, que les salariés justifient par une valorisation de leur savoir-faire, n’a pas trouvé d’écho favorable pour le moment. De nouvelles discussions seront possibles en octobre prochain. D’ici là, les revendications demeurent et de nouvelles mobilisations surprises ont été annoncées à la direction.

La traditionnelle fête de la maison de quartier des Pareuses se déroulera ce samedi 18 juin à partir de 14h30 à Pontarlier. A cette occasion, de nombreuses activités et animations seront proposées. Au programme : balade à poney, kermesse, atelier de maquillage, tournoi de foot et château gonflable. Un lâcher de ballons est prévu à 17h30. A 18h, spectacle des jeunes et jeux sur podium. Enfin, à 19h, soirée dansante. Possibilité de se restaurer sur place. Pour de plus amples informations : www.maisondequartierdespareuses.com

Ce mercredi 15 juin, c’est la journée de lutte contre la maltraitance des personnes âgées. Dans ce cadre-là, et profitant des élections législatives, l’association ALMA Franche-Comté, implantée à Besançon, a adressé un courrier aux candidats pour attirer leur attention sur les conditions de vie des personnes âgées et handicapées.

Cette association recueille les alertes et témoignages de maltraitance. Cette mobilisation fait écho notamment aux affaires qui touchent des groupes et structures privés, qui mènent une mission de prise en charge de nos aînés. L’association franc-comtoise constate également une nette augmentation des signalements de maltraitance en établissement et à domicile. Dans son courrier, elle demande aux futurs législateurs de donner les moyens financiers et humains nécessaires pour un meilleur accompagnement de ce public.

Un mouvement de psychologues est prévu ce vendredi 10 mai, à 14h, devant l’Agence Régionale de Santé à Besançon. Parmi les revendications énoncées : un arrêt immédiat de la politique de démantèlement des institutions, le renfort de l’offre de soins, la revalorisation salariale de la profession et l’abandon des plateformes « visant  à organiser le tri des patients ».

Ce vendredi matin, dans ses locaux de la rue Battant, la CGT du Doubs recevait les candidats à la députation qui avaient répondu favorablement à leur invitation, suite à un courrier qui leur avait été envoyé. Quatre candidats ont répondu favorablement à cette missive : Séverine Véziès, Virginie Dayet, Nicole Friess et Martine Ludi, tous portant des valeurs sociales et de gauche. Seuls les candidats de l’extrême droite n’avaient pas été conviés à ce temps d’échange et de rencontre.

« Nous avions besoin de faire connaître nos revendications » explique José Avilès, le secrétaire départemental du syndicat. Selon lui, ces rencontres avec les futurs possibles législateurs sont importantes car ce sont bien eux qui sont à l’initiative des lois qui régissent la politique nationale.

Ce matin, les échanges ont porté sur les salaires, la sécurité sociale, la santé, la retraite, l’urgence sociale et environnementale et les services publiques. José Avilès est clair sur les enjeux à venir : «  quel que soit la nouvelle majorité, de gauche ou de droite, à l’assemblée nationale, le syndicat jouera pleinement son rôle ». « Il y a une véritable attente dans le domaine du social. Une meilleure répartition des richesses est attendue » conclut le responsable syndical, qui aimerait ne plus revoir certaines images qui prouvent « qu’une grande précarité s’est installée dans le pays ».

L'interview de la rédaction / José Avilès

Ce mardi, le secteur social et médico-social s’est mobilisé une nouvelle fois encore pour dénoncer ses conditions de travail et les salaires. L’exclusion d’une partie de ces professionnels du Ségur de la santé fait également partie des revendications. « Soit un tiers de cette branche » explique le communiqué de presse. Deux journées d’action sont prévues : ce mardi et ce mercredi 1er juin. Ce jour, un rassemblement s’est tenu à 10h30, à Besançon, sur l’esplanade des droits de l’Homme. Ce ne sont pas des promesses que ces militants attendent, mais de réelles prises de décision.

L'interview de la rédaction / Pascal Descamps, délégué syndical CGT pour l'ADDSEA