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A compter de ce lundi 26 septembre, la Ville de Morteau et son Centre Communal d’Action Sociale participent à la semaine bleue, ce rendez-vous annuel dont l’objectif est de valoriser la place des aînés dans la vie sociale.  Dans le Val de Morteau, cette action s’inscrit dans une série d’initiatives que le CCAS local et le monde associatif proposent tout au long de l’année. Ainsi, sur ce territoire, sont mises en place des actions spécifiques d’accompagnement comme l’aide à la réalisation de petits travaux, au déneigement et des ateliers, comme ceux sur l’utilisation d’internet par exemple.

Tisser du lien social

L’élue mortuacienne Marie Bonnet confirme que les seniors sont un public désireux de partager avec la population locale. « Les plus jeunes sont d’une très grande richesse. Ils sont demandeurs pour être bénévoles et s’investir auprès des plus fragiles Â» explique Mme Bonnet. « Quant aux plus âgés, ils ont besoin de cette solidarité là pour sortir un peu de chez eux et bénéficier d’une aide pour la réalisation de petits services Â».

Une semaine très animée

Le programme débutera ce lundi 26 septembre. A cette occasion, les personnes intéressées sont invitées à venir à 14 heures à l’Escale où une présentation de la semaine sera effectuée, en même temps que la tenue d’un forum, sur le thème du « bien vieillir Â», en présence d’associations et professionnels. Le CCAS de Morteau invite le plus grand nombre à participer à cette semaine thématique. Il y en aura pour tous les goûts : atelier cuisine intergénérationnel, sport adapté, révision du code de la route, yoga, sophrologie, marche urbaine,  remise en selle, …

L'interview de la rédaction / Marie Bonnet, vice-présidente du CCAS de Morteau

 

Le syndicat CGT fait savoir qu’un préavis de grève a été déposé pour ce jeudi 15 septembre pour l’ensemble des agents de l’animation du service « Ã©ducation Â» de la ville de Besançon. La mobilisation porte sur les salaires, la précarité des contrats, sans évolution du poste, des temps partiels imposés et les conditions de travail. Un rassemblement est prévu, à 11h30, sur l’esplanade des Droits de l’Homme. Une rencontre avec Anne Vignot est souhaitée par les manifestants. Des perturbations sont à prévoir.

Dans un communiqué de presse, la CGT informe sur les conditions de travail au sein de la structure loge.GBM. Le syndicat dénonce des faits de « harcèlement moral et d’ambiance carcérale Â». Les accusations visent « exclusivement Â» la directrice générale de cette structure, selon ses dires.

Il regrette que les signalements opérés auprès de Carine Michel, l’élue bisontine, présidente de cet établissement, et transmis au CSE de l’entreprise, à la médecine du travail et à l’inspection du travail, n’ait pas été suffisamment prise en compte par l’élue référente. La CGT attend des réponses précises à ses questions portant sur ces faits graves.

Par ailleurs, un rassemblement est programmé le 20 septembre devant les locaux de la structure pour dénoncer l’entretien préalable à licenciement avec mise à pied conservatoire d’un responsable syndicale et salarié de cet organisme.

Ce mardi, lors d’une conférence de presse, par la voix du Bisontin Christophe Lime, l’association des élus communistes et républicains du Doubs, n’exclut pas la possibilité d’appeler les collectivités locales à ne plus payer leurs factures d’électricité et de gaz face aux augmentations exponentielles. Ils craignent que,  dans ces conditions, ces dernières soient obligées de supprimer « des services indispensables à la population Â» et de recourir « Ã  l’augmentation des impôts locaux Â»

C’est la raison pour laquelle plusieurs solutions sont mises sur la table. Parmi lesquelles :  l’application d’un bouclier tarifaire pour les collectivités locales et les entreprises, comme peuvent en bénéficier actuellement les particuliers, et le retour en établissement public des deux grandes entreprises concernées que sont EDF et Engie. « Il faut quitter le marché Â» indique M. Lime.

L’inquiétude est grande. Ces hausses vertigineuses ont de terribles répercussions sur l’activité économique du pays. Christophe Lime et ses amis n’hésitent pas à évoquer « une catastrophe financière Â» qui s’annonce. Face à ces coûts exorbitants, certaines entreprises ont d’ores et déjà annoncé des mesures pour ralentir leur activité pour faire face à cette situation difficilement contrôlable.  

L'interview de la rédaction / Christophe Lime

Un rassemblement s’est tenu ce mardi, à la mi-journée, devant le lycée Claude Nicolas Ledoux à Besançon. Une manifestation à l’appel de Force Ouvrière pour dénoncer la souffrance au travail. Pour les manifestants, la coupe est pleine. Au lycée Claude Nicolas Ledoux, certains dénoncent le management de l’intendante. Ils évoquent un véritable harcèlement psychologique, un dénigrement régulier de leur travail et des accusations de vol infondées. Selon les agents présents,  Â« de nombreux arrêts de travail sont prononcés et les cas de burn-out sont une réalité Â». Ils déplorent « une terreur qui s’installe et les pressions subis par leurs collègues Â». Ce qui explique la faible mobilisation de ce matin.

Mobilisation depuis quatre jours à Baume-les-Dames

FO LYCEE LEDOUX

 

Des agents de Baume-les-Dames ont également rejoint la mobilisation bisontine. Ils pointent le comportement « zélé Â» d’un personnel de direction, également élu de la commune, qui « outrepasserait ses fonctions Â». A Baume-les-Dames, cela fait quatre jours que les agents sont en grève. Pour Frédéric Vuillaume, secrétaire général du syndicat Force Ouvrière au Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, « la présidente de Région doit protéger les agents et améliorer leurs conditions de travail Â». « Il est intolérable que les agents viennent travailler avec la peur au ventre Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction / Frédéric Vuillaume, secrétaire général du syndicat Force Ouvrière au Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté

 

 

Le mouvement s’est achevé ce mercredi après-midi chez NP Jura à Dole et Foucherans. Un accord a été signé entre la direction et les salariés. Une prime de 700 euros, versée en deux fois, leur a été accordée. Dans un premier temps, la somme de 800 euros était souhaitée par les manifestants.

La direction ne voulait leur octroyer que 600 euros. Un consensus a donc été trouvé. La mobilisation avait vu le jour en juillet dernier pour dénoncer les salaires et les conditions de travail. Le rachat de la firme par un fonds d’investissement américain était également dénoncé par les salariés, qui se jugent lésés dans cette transaction. Les deux parties se sont donnés rendez-vous dans les prochains jours pour évoquer d’autres problématiques sociales.

L'interview de la rédaction / Pedro Da Rocha délégué syndical CGT

 

Dans le Jura, les salariés de NP Jura ont décidé de reprendre la mobilisation ce lundi à Dole et Foucherans. L’ultimatum fixé à la direction n’a rien donné. La prime de 800 euros n’a pas été obtenue. 600 euros ont été accordés. Ce que les salariés jugent insuffisants compte tenu des bénéfices que réalisent la firme. Depuis ce lundi, le service des expéditions a rejoint le mouvement. Ce qui perturbe encore davantage le fonctionnement des deux sites.

Pour l’heure, la situation est au point mort. Aucune nouvelle négociation n’est envisagée. Rappelons que cette action s’inscrit dans le cadre d’autres mécontentements liés aux salaires, aux conditions de travail et au rachat de la firme par un fonds de pension américain avec des actionnaires qui devraient largement bénéficiés de cette transaction.

L'interview de la rédaction  / Pedro Da Rocha, délégué syndical CGT

Les salariés de NP Jura ne lâchent rien. Jeudi, ils ont de nouveau rencontré leur direction pour échanger sur les problématiques du moment. A savoir : les salaires et les conditions de travail. Un nouvel ultimatum a été fixé. Les manifestants ont donné quelques jours supplémentaires à leurs interlocuteurs pour réfléchir à la situation. Sans quoi, le travail cessera dès lundi matin. La colère est montée en juillet dernier. Désormais, depuis près d’un mois, la grogne  a gagné les rangs des salariés des sites de Dole et de Foucherans.

Entre le 15 et le 30 août, le secours populaire français organise sa traditionnelle journée des vacances. Un enfant sur trois ne part pas en vacances. Cette année encore, grâce à cette association, des dizaines de milliers de bambins ont la possibilité de participer à une journée exceptionnelle à la mer, dans un parc d’attractions, au zoo, … et de partager des moments solidaires. Ce mercredi matin, à 5h, ce sont 500 enfants de Bourgogne-Franche-Comté, dont 70 petits jurassiens, âgés entre 6 et 12 ans, qui ont pris la route pour Paris. Au programme : la visite du Musée du Quai Branly, une balade en bateau mouche sur la Seine et pique-nique sur le champ de mars.

Pour ces enfants, le plaisir est grand. Ainsi, ils auront des choses à raconter en classe, devant leurs copains de classe, la semaine prochaine. La quasi-totalité de cette opération est prise en charge par le Secours Populaire. Néanmoins, trois euros sont demandés aux familles. Une démarche volontariste qui permet de responsabiliser les adultes et de conférer de la dignité à celles et ceux qui permettent à leurs enfants de s’évader le temps de cette journée.

L'interview de la rédaction / Marianne de la fédération départementale du Secours Populaire du Jura

 

Dans un communiqué de presse, l’Urssaf Franche-Comté indique qu’elle active des mesures d’urgence pour accompagner les usagers dont l’activité a été affectée par les récents feux de forêts dans la région.  Ainsi, les entreprises et travailleurs indépendants pourront solliciter l’organisme afin de bénéficier d’un délai de paiement, et d’un report de leurs cotisations et contributions sociales.  Par ailleurs, les travailleurs indépendants et auto-entrepreneurs victimes de ces incendies pourront demander l’aide financière du Fonds Catastrophe et Intempéries de l’action sociale du Conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI).

Pour effectuer une demande pour un délai ou un report :  

  • urssaf.fr : « Une formalité déclarative » ; « Déclarer une situation exceptionnelle (catastrophe naturelle, incendie… »
  • autoentrepreneur.urssaf.fr : « Gestion quotidienne de mon auto-entreprise » ; « Je déclare une situation exceptionnelle (catastrophe naturelle, incendie…)

Pour les travailleurs indépendants :

Ceux dont l’activité économique est affectée par les conséquences d’un incendie pourront demander l’aide aux cotisants en difficulté (ACED) permettant la prise en charge de leurs cotisations voire une aide financière exceptionnelle (AFE) – Demander une aide - www.secu.independants.fr  

Pour en bénéficier, les indépendants et employeurs devront en faire la demande auprès de leur Urssaf en la contactant par courriel via les messageries sécurisées www.urssaf.fr  ou, pour les auto-entrepreneurs, sur www.autoentrepreneur.urssaf.fr , et par téléphone au 3957 (employeur) et 3698 (travailleurs indépendants). Les appels et messages portant sur ces situations seront identifiés et traités en priorité.