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Après 17 ans d’attente, le nouveau jardin des sciences de Besançon sera bientôt une réalité. Son ouverture pourrait être effective à compter de septembre 2024. Le coût de ce projet s’élève à 4,2 millions d’euros HT. Il est soutenu par la région, l’université de Franche-Comté, l’Union Européenne, la Ville de Besançon et le département du Doubs.

Rappelons tout d’abord que ce projet fait partie du plan global de transformation du campus de la Bouloie. Dans un premier temps, les premiers coups de pelle ont eu lieu sur le site qui accueillera les futures serres botaniques, qui d’ailleurs verront leur superficie doubler par rapport à l’ancien site de la place Leclerc. Reparti sur deux niveaux, le nouvel espace se déclinera en une serre tempérée de 140 m2, d’une serre tropicale humide de 600 m2, de deux bassins de plantes aquatiques incluant une passerelle, de serres techniques et de conservation biologiques de 100 m2, d’un espace pédagogique et d’un espace d’exposition temporaire de projets étudiants et lieu de vie et de bureaux et ateliers techniques. Il est présenté comme un lieu conçu dans le respect de l’environnement. L’université de Franche-Comté veut en faire un outil de recherche et d’étude pour comprendre les enjeux d’aujourd’hui et de demain, d’apprentissage, de découverte et d’exposition pour tous les publics

Le futur parc du jardin des sciences

Le futur parc du jardin des sciences de Grand Besançon Métropole s’étendra sur une très large superficie qui comprendra : une piste cyclable et des linéaires de déambulations piétonnières, des espaces botaniques pédagogiques, composés de différentes espèces de plantes, soit environ 3.000 m2 de parterres, des reconstitutions de milieux boisés régionaux et l’installation de bancs, zones de détentes et fontaines.

L'interview de la rédaction / Arnaud Moly, directeur du jardin des sciences

Le magazine l’Etudiant vient de classer les masters de droit et sciences politiques de l’université de Franche-Comté au 9è rang d’un palmarès national. La qualité des enseignements et le taux de réussite des étudiants dans ces filières ont été reconnus. Christophe Lang, le directeur de l’UFR SJEPG ne cache pas sa satisfaction.

« Ce classement est une belle reconnaissance des efforts fournis par l’équipe pédagogique. C’est aussi le résultat d’un long travail collectif qui permet de proposer des formations de haute qualité sur nos deux principaux campus Â» a-t-il déclaré.

Selon une étude menée par des étudiants de l’université de Franche-Comté, en 2è  année de licence en géographie, le nombre de cyclistes a augmenté à Besançon. Depuis le premier confinement, en mars 2020, 31% de pratiquants supplémentaires a été constaté dans la cité comtoise. Par ailleurs, selon plus de 3000 observations réalisées, il semblerait que les (18-35 ans) respectent moins le code de la route que les plus âgés. Il en serait de même pour les hommes par rapport aux femmes.

C’est en substance, ce qu’ont voulu nous signifier ces étudiants en 2è année de licence  management du sport à la faculté des sports de l’université de Besançon. Dans le cadre de cette formation, ils apprennent à organiser des évènements. L’approche est complète puisque ces jeunes acquièrent des savoirs pratiques et théoriques dans les domaines de l’animation, de la communication, de la logistique, …. . Autant de champs de compétences indispensables pour proposer des séjours touristiques et/ou sportifs à différents publics dans un cadre professionnel.

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Le projet Rouss’trip : un stage zéro empreinte carbone

C’est le nom que ces neuf étudiants ont donné à leur projet collectif. Leur mission : organiser un séjour de deux jours dans le massif du Jura à la rencontre de la flore et de la flaune  locales, tout en transmettant des valeurs liées à la protection de l’environnement. C’est donc à partir de ce cahier des charges précis, donnés par leurs enseignants, que le groupe a pensé et réfléchi ce séjour. Le public était tout trouvé puisque ce sont les autres étudiants de la promo qui ont joué les participants. Les activités ont été savamment choisies, tout comme l’organisation de la vie collective. Au menu ; ski alternatif, balade en raquettes, biathlon mais aussi interdiction d’utiliser les remontées mécaniques, les téléphones portables, les voitures, … . Un effort a également été consenti au niveau du tri des déchets et de l’utilisation des emballages. Un compost a même été produit. Les jeunes le reconnaissent, en plus d’avoir

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Le reportage de la rédaction

Le campus du XXIè siècle se prépare à Besançon. Ce lundi après-midi, les élus ont symboliquement posé la première pierre de ce qui sera le futur campus Bouloie/Temis. A travers ce projet de 80 millions d’euros, les différents partenaires ont voulu donner naissance à un site  Â« Ã  haute qualité environnementale, sociale et économique Â».

Formation, recherche, vie étudiante, culture, solidarité, mobilité. Tous les aspects ont été pris en compte. Cette transformation est née « d’une volonté politique très forte Â» a rappelé Anne Vignot, la présidente de Grand Besançon Métropole. Renouvellement des espaces verts et des bâtiments, mobilités douces, learning center, en lieu et place de l’actuelle  bibliothèque universitaire sciences et sports, nouveau lieu de vie, nouveaux espaces pédagogiques et laboratoires, … Les projets ne manquent pas. La fin des travaux est prévue en 2024-2025.

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Des investissements modernes

Des innovations pédagogiques : un learning center intégrant un openlab et une salle de réalité virtuelle, l’Area Sport avec des parcours acrobatiques adaptés et une piste finlandaise, un amphithéâtre modulable unique en région.

Des innovations sociales : un nouveau lieu de vie étudiant, baptisé le (Li)VE, qui accueillera une épicerie solidaire, des espaces associatifs et de convivialité ainsi qu’un atelier de customisation.

Des outils pédagogiques : un nouveau bâtiment sera construit par l’ISIFC, école d’ingénieurs en génie biomédical, qui pourra ainsi doubler ses effectifs dans les années à venir.

La Haute qualité environnementale sera une exigence. Toutes les rénovations et toutes les constructions prendront en compte cette évolution. La production d’énergie solaire est programmée en toiture de certains bâtiments.

L’ouverture au grand public avec le Jardin des Sciences et ses serres botaniques ouvertes à tous , les réaménagements des espaces urbains sur plus de 65.000 m2 et 2,7 km de pistes piétonnes et cyclables, l’installation d’une Å“uvre de l’artiste Olivier Vadrot qui a imaginé une place du XXIè siècle « pour une vie meilleure sur le campus et dans la ville Â».

L'interview de la rédaction / Macha Woronoff, présidente de l'université de Franche-Comté

Après 25 ans de fuite, de réelles perturbations dans la dispense des enseignements et pour la sécurité des étudiants, la toiture du gymnase de l’UFR STAPS de Besançon a enfin été réparée. « Notre budget serpillère va pouvoir diminuer Â» a lancé avec ironie le directeur de l’établissement. Effectivement, ce dernier a dû menacer de fermer l’infrastructure pour obtenir un écho favorable à sa demande. Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté, le promet d’autres toitures subiront le même sort. Une cure de jouvence avant l’existence, d’ici deux ans, d’un campus flambant neuf à la Bouloie.

Comme un bonheur n’arrive jamais seul, l’établissement vient également de se doter d’un PIMS, un Pôle d’Initiation à la Métrologie Sportive. Cet outil sert à former les étudiants en master et doctorat dans le domaine de la mesure de la performance sportive. Cet équipement se décline en plusieurs appareils de mesure. Ainsi, vitesse de pédalage, hauteur, longueur, activités cérébrale et cardiaque sont évaluées. D’autres innovations technologiques sont également désormais à la disposition des étudiants comme le système de capture de mouvement sur fond vert et la réalité virtuelle, avec la simulation d’environnements divers et variés lors d’un effort.

L'interview de la rédaction / Syndney Grosprêtre

 

L’université de Franche-Comté s’engage à accompagner les victimes de violences sexuelles et sexistes, de discrimination, de harcèlement ou de toute autre forme de violence. Le dispositif s’adresse à l’ensemble de la communauté universitaire : personnels, étudiants, intervenants extérieurs, … . Toutes les personnes s’estimant victimes ou témoins de toute forme de violences peuvent se signaler sur la plateforme mise en ligne : sos.univ-fcomte.fr. Son ouverture s’inscrit dans la volonté de Macha Woronoff, présidente de l’université de Franche-Comté, « d’édifier une université de valeurs, basée sur des principes universels et humanistes Â».

Lorsqu’un signalement est déposé, la personne reçoit un mail de confirmation et sera contactée par téléphone par un des cinq intervenants de la cellule SOS afin de fixer un rendez-vous, « dans un lieu neutre Â». Ce premier entretien a pour objectif d’entendre la personne témoin ou victime, de hiérarchiser les faits et de proposer l’accompagnement adéquat. Sur la plateforme, un répertoire de  numéro d’urgence dans les domaines de la justice, du social et du médical est également proposé.

L'interview de la rédaction / Macha Woronoff

Après la conférence de la presse du Procureur de la République de Besançon, au cours de laquelle il a annoncé l’ouverture d’une enquête préliminaire pour harcèlement au sein du centre de formation universitaire d’orthophonie de Besançon, Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté, s’exprime à son tour. Elle explique qu’elle a reçu les étudiants et pris conscience de leur souffrance. Des démarches ont été entreprises en interne et auprès de la justice et des autorités de tutelle pour faire toute la lumière sur cette affaire. La présidente de l’université de Franche-Comté entend continuer « Ã  entendre les étudiants et les protéger Â».  

Jeudi et vendredi pour les scolaires et tout au long du week-end pour le grand public, l’université de Franche-Comté organise « la fête de la science Â» sur le campus de la Bouloie à Besançon. A travers cette manifestation, l’organisateur veut démocratiser les sciences pour les rendre le plus accessible possible.

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Les chercheurs et autres intervenants rendent ces domaines, qui parfois peuvent paraître élitistes, accessibles au plus grand nombre. La biologie, la chimie, la physique, les mathématiques, les langues, les sciences humaines, … . Le spectre est large et chacun peut découvrir, toucher, pratiquer, sentir,…. . Jérémy Querenet, médiateur scientifique à l’université de Franche-Comté, explique que ‘l’important n’est pas de tout comprendre et de maîtriser Â», mais « d’ouvrir tous les esprits à ces domaines qui animent notre quotidien Â». Mr Querenet reconnaît la capacité d’adaptation des intervenants, qui savent s’adresser à leur public, qu’il s’agisse d’enfants, d’adolescents, d’adultes néophytes ou disposant de connaissances.

L'interview de la rédaction

 

Pour tout savoir sur cet évènement : https://www.fetedelascience.fr/venez-faire-le-plein-de-science-besancon

FETE SCIENCE 1

L’université de Franche-Comté met tout en Å“uvre pour aider et soutenir la communauté universitaire afghane, notamment grâce au programme PAUSE. Ce programme a pour objectif d'accueillir et de protéger des chercheurs originaires de pays où la situation politique met leurs travaux et leurs familles en danger. L’établissement bisontin indique que «  ce programme est ouvert à tous les membres de la communauté universitaire afghane qui en feraient la demande Â».