Aloïs Girardet a tout d'une graine de champion. A 11 ans, le jeune pilote de kart de l'ASK de l'Enclos commence à faire parler de lui sur le circuit après ses dernières victoires en catégorie cadet.
En remportant la deuxième manche de la « National Series Karting » le week-end dernier, le jeune Aloïs Girardet a confirmé qu'il sera l'un des jeunes à suivre sur les prochaines courses. Avec un temps de référence de 59.8, resté inégalé tout au long du week-end, le jeune Aloïs a excellé tout au long de cette deuxième étape, qui se déroulait à Muret, en région Haute-Garonne. « C'est quelque chose d'assez fantastique. Il y a vraiment du niveau. Les gamins sont bien accompagnés en terme d'écurie et de team karting », témoigne Mickaël Girardet, l'oncle du jeune champion. Il faut dire que le jeune haut-doubiste réalise une excellente saison. Après une troisième place obtenue sur la première manche, qui s'est déroulé à Varennes sur Allier, Aloïs peut continuer de rester en tête de la compétition en cas d'une nouvelle bonne performance lors de la prochaine manche qui se déroulera en septembre à Angerville. « S'il reste bien placé sur toutes les manches, il devrait pouvoir remporter le NSK », confirme l'oncle du jeune champion. « C'est un trophée important dans le monde du karting. Le premier gagne une place pour la finale mondiale Rotax. »
Une enfance baignée dans le karting
L'avenir s'annonce donc prometteur pour Aloïs, qui n'a jamais été très loin d'un kart depuis son plus jeune âge. « Il a commencé le kart quand il avait quatre ans avec son père », raconte Mickaël Girardet. « C'est lui qui s'y est intéressé naturellement ». Il faut dire que le jeune haut-doubiste a pu commencer dans le meilleur des environnements. Son père, Jean-Pierre est un pilote qui a concouru dans de nombreuses courses. Il a notamment remporté les KZ2 Master en 2016. Pour Aloïs, qui espère sans doute suivre l'exemple familial, le prochain rendez-vous aura lieu le 10 juillet prochain à Soucy dans le cadre du championnat de France.
L'interview de la rédaction / Mickaël Girardet
Un choc frontal à forte cinétique est survenu en début d’après-midi à Villers-le-Lac. Une femme de 62 ans a été désincarcérée et un homme de 84 ans est en cours de bilan. La route est coupée. Un hélicoptère du SAMU s’est rendu sur place, tout comme la gendarmerie.
Depuis 2012, au collège André Malraux de Pontarlier, l'association “Y’a de l'électricité dans l’air” fait participer des classes de 4ème et de 3ème à des projets solidaires grâce au professeur de technologie Pascal Rubiloni, président de l’association. Dans ce cadre, déjà 4 éoliennes en tout ont pu être envoyées directement au Sénégal. Cette année, de nouveau, les élèves de PE2A, classes qui rassemblent des élèves primo-arrivants ou en difficultés, ainsi que d’autres élèves motivés, ont réussi la prouesse de construire la majeure partie d’une éolienne.
Un moment à part pour les élèves
Cette année, les vendredis pour les élèves de PE2A étaient souvent synonyme de réjouissance. C’est en effet ce jour en fin de semaine, “plus pratique car avec moins de cours à manquer” nous apprend Pascal Rubiloni, qui a été choisi pour construire cette partie d’éolienne, en plus de créneaux par groupes isolés de 5-6 le reste de la semaine. Durant 4 vendredis, l’association “Y’a de l'électricité dans l’air’ est intervenue pour aider les élèves à la réalisation en leur apprenant notamment la soudure bois. Dans le cadre de cette option "ouverture sur le monde”, les élèves, de 4ème et 3ème, ont donc pu réellement obtenir une formation technique, encore plus poussée qu’en cours de technologie. Théa, élève de 4ème1, nous apprend par exemple qu’elle a pu "apprendre à travailler le bois" et Angèle, camarade de classe de Théa, affirme quant à elle que “le temps passe bien plus vite” ces journées-là que pour les autres cours : “ça donne envie d'y retourner”. Le fait de se servir de ses mains, de réaliser quelque chose de concret était donc motif de grande motivation pour la plupart des élèves, un autre précise par exemple : “ça nous remotivait à travailler dans la semaine de savoir qu’il y avait ça à la fin”.
Diaporama présenté par les élèves du collège Malraux
Une aventure solidaire
Ce projet est doublement formateur selon Pascal Rubiloni. En effet, en dehors d’initier les élèves à des pratiques techniques, cela les forme à la générosité, “à faire quelque chose pour les autres, c’est si rare dans les établissements scolaires”. Les élèves, dans leur diaporama présentée ce vendredi 24 juin, mettent aussi en avant la transdisciplinarité de l’aventure étant donné que ce projet n’est pas exclusif à la technologie et qu’il met en avant également des compétences mathématiques, de français, d’histoire mais aussi d’arts plastiques. Les élèves ayant même dessiné un lion, symbole du pays d’Afrique de l’Ouest, sur le safran en cèdre rouge.
Un projet bénéfique aux élèves mais pensé pour les habitants de Fafaco
Le 12 juillet prochain, la partie d’éolienne finalisée la semaine dernière par les élèves, prendra son envol pour l’île sénégalaise afin de fournir de l'électricité à une école. Par ce procédé, déjà 17 collèges et écoles ont été équipés depuis la création de l’association. En revanche, toute l’éolienne n’a pas été construite pour deux raisons : d’abord pour le transport, les pièces fabriquées par les classes de Malraux, c'est-à-dire le circuit électronique et les pales, pèsant “23 kilos, juste pour rentrer dans un sac”. Ensuite, l’idée, nous apprend Pascal Rubiloni, est aussi de “faire marcher les marchands de matériel sur place”.
Affiches présentant les actions de l'association "Y'a de l'électricté dans l'air" au Sénégal
Le professeur de technologie accompagné d’autres bénévoles de l’association “Y’a de l'électricité dans l’air” partira donc dans deux semaines installer le dispositif avec des sénégalais sur place. Ensuite, il rendra sa règle de professeur mais ne mettra pas pour autant un terme à ses actions au sein de l’association. Celle-ci a encore de nombreux projets en tête, notamment des vélos fabriquant de l’électricité, dans des collèges de Besançon et de Clairvaux-les-lacs l’année prochaine.
L'interview de la rédaction / Pascal Rubiloni, professeur de technologie et Théa et Angèle, élèves de 4ème1
La députée sortante de la 5ème circonscription du Doubs, Annie Genevard, s'impose sans trop de surprise devant le candidat de la majorité présidentielle Philippe Alpy. Elle était déjà arrivée largement en tête lors du premier tour. L'élue des Républicains totalise 72,06% des suffrages pour 27,94% du côté de son adversaire. Elle fait partie des élus qui ont le mieux réussi au niveau national. Son très bon ancrage sur son territoire et sa campagne dynamique ont payé. On écoute la députée au micro de la rédaction.
Annie Genevard :
Le paddle est un sport nautique de planche, qui nécessite un certain équilibre. Mais on peut tous s’y mettre quand on le souhaite, sans condition d’âge et pas besoin non plus d’être un ou une grande sportive. Le paddle est sport nautique ludique que l’on pratique en toute décontraction, pour se promener ou juste se déplacer sur un plan d’eau ou une rivière. Moyen de transport ou alternative au surf quand il n’y a pas de vague : le paddle a plusieurs fonctions et peut se pratiquer de différentes façons. Certains pratiquants s’adonnent plutôt au côté sportif alors que d’autres montent sur leur planche pour profiter du cadre naturel en toute tranquillité, afin d’observer la biodiversité, dénicher des coins de pêche autrement inatteignables, ou encore pour se retrouver à bavasser entre amis, assis sur sa planche au beau milieu d’un plan eau.
Sur le lac de Saint-Point, les conditions étaient des plus agréables ce mercredi matin. Un lac limpide, des rayons de soleil se reflétant sur l’eau dans un décor scintillant, quelques tanches et brochets vadrouillant entre les herbiers, des grèbes huppées se laissant flotter au gré des vaguelettes et les libellules proposant des chorégraphies aériennes nuptiales endiablées. Le spectacle était au rendez-vous. Debout, à genoux ou même assis, la prise en main de la pagaie est rapide. Guidé par Julien, moniteur de paddle et de canoé-kayak depuis plus de dix ans, la promenade aquatique entre les nénuphars était des plus captivantes et apaisantes. Cette pratique permet à chacun de se l’approprier à sa façon. Bercés par les histoires de notre guide connaissant cet environnement sur le bout des doigts, la matinée était à la contemplation et à la rigolade, sur un plan d’eau sublime, le troisième plus grand lac naturel de France. Le paddle, c’est ça. Une excursion nautique sur une planche, avec mille façons de l’apprécier.
Vers midi les sapeurs-pompiers du Doubs ont été sollicités pour un incendie dans une maison d’habitation sur la commune de La Chaux. Trois lances ont été nécessaires pour éteindre le brasier qui rongeait la toiture. Les causes du sinistre ne sont pas déterminées. Les occupants vont être relogés dans la famille.
« Elle a commencé un peu plus tôt que prévu cette année car nous avons ouvert au premier mai » confie cette saisonnière travaillant dans la restauration à Saint-Point-Lac. De belles journées ensoleillées, un mercure qui flirte quotidiennement avec les 30°, des paysages à couper le souffle, des jours fériés et un cadre idyllique : toutes les conditions étaient réunies. De quoi satisfaire pleinement le monde du tourisme après deux années particulièrement compliquées.
Qu’ils soient restaurateurs, saisonniers, professionnels du tourisme, des sports nautiques ou dans bien d’autres domaines, tous sont unanimes : les conditions météorologiques seront déterminantes et décideront de la saison estivale. « C’est quelque chose qui joue énormément. Nous sommes à proximité du lac de Saint-Point, de nombreuses plages, nous proposons beaucoup d'activités nautiques mais aussi de de plein air. Si le beau temps est au rendez-vous, ça ne peut que motiver les touristes » nous affirme ce salarié de l’office du tourisme de Malbuisson. Même constat pour cette responsable d’une base nautique. « Si la météo peut être clémente, et le soleil de la partie, ce serait génial. Dans l’idéal il nous faut quelques rayons de soleil, un petit peu de vent pour ceux qui veulent faire de la voile, et puis on sera au top pour cette saison ! »
« Le premier week-end de mai, nous avons eu énormément de monde. C'est vrai que par rapport aux autres années, on sent une grosse différence au niveau de l'affluence » explique cette saisonnière dans la restauration. « C'est difficile d'envisager l'avenir, mais je pense que post COVID, les gens ont envie de ressortir. Et à mon avis, avec les températures qui seront assez élevées cet été, je pense qu' on peut s'attendre à avoir pas mal de monde. Il va falloir qu'on bosse un peu le recrutement parce qu’on va en avoir besoin ! » poursuit-elle. Si le début de la saison est une franche réussite pour le secteur de la restauration, c’est un peu plus timide du côté du sport nautique. « Pour l'instant, les week-ends sont plutôt calmes. On espère un peu plus sur le mois de juin. Cependant en semaine, nous sommes complets jusqu'à la fin du mois de juin pour tout ce qui est groupe. Tout le matériel a été préparé en amont de la saison, nous sommes prêts à accueillir tous les publics en juillet août ! Nous avons déjà pas mal de réservations sur juillet et août, il n’y a plus qu’à attendre la clientèle de vacances » souligne cette responsable de base nautique.
Même si de nombreux cas sont encore à déplorer dans l’hexagone et par-delà ses frontières, peut-on enfin émettre que la crise sanitaire de la Covid-19 est désormais derrière nous ? En tout cas, tout reprend petit à petit, et de nombreux acteurs y participent activement. « Suite à cette période très difficile, il commence à y avoir de plus en plus d'événements qui sont préparés, ça bouge plutôt bien, nous avons pas mal d'activités notamment dans le cadre des longs week-ends avec les différents jours fériés » se félicite ce professionnel du tourisme. « C’est vrai que nous avons eu une très bonne année juste après la Covid, ça nous a fait extrêmement de bien. Mais malheureusement, l'année dernière, le temps était très moyen tout l’été, ce qui nous a remis un petit coup de blues ». Comme on pouvait s’y attendre, même si toutes les conditions sont réunies, la météo risque une nouvelle fois de dicter le tempo estival.
L'interview de la rédaction :
La police de Pontarlier recherche activement Mr Jérôme Desprez, un homme de 40 ans qui a disparu depuis le 14 mai. Sa famille et ses amis, inquiets, ont contacté les forces de l’ordre pour signaler cette disparition. Il s’agit d’un homme de type européen, aux yeux marrons, avec une corpulence mince et mesurant 1m85. Au moment de son départ, il était vêtu d’un short noir, d’un t-shirt de la même couleur et d’un sac-à-dos. Comme signe distinctif, son avant-bras gauche est coloré.
En cas de découverte, veuillez contacter le commissariat de Pontarlier au 03.81.38.51.10
« C’est un projet d’une bande de potes » explique simplement Jordan Pavy, président du Pop’Cornes festival, et chargé de la programmation. « L’objectif était de faire découvrir différents styles de musique à un public très varié, avec des soirées à thèmes. Une soirée électro/rap plutôt destinée aux jeunes, une soirée rock/métal fidèle à nos valeurs, et un dimanche plus familial avec des groupes de variété française » poursuit Jordan. « On a pris confiance en nous au fil des années, on a été rassuré par les événements que l’on a organisés, on a trouvé nos marques, chacun sa place. On est une association de 19 personnes, chacun joue un rôle bien défini, ce qui nous permet d’avoir une organisation au top. On s’est lancé dans un événement plus grand, et jusqu’à aujourd’hui ça se passe très bien ». Si les éditions 2020 et 2021 n’ont pas eu lieu en raison du contexte sanitaire, les organisateurs ont tout de même souhaité garder la main en proposant « le Grain de Pop », un petit évènement qui a eu lieu à la fin du mois d’août de l’année dernière, pour témoigner de leur présence malgré une situation délicate.
Du côté de la programmation, vendredi sera dédié à une soirée électro/rap avec notamment la présence de The Avener, Soso Maness, Rim’K, et Aloïse Sauvage, « une touche féminine toujours sympa » comme le souligne Jordan Pavy. Samedi les deux gros artistes de la soirée seront Superbus et Jean-Baptiste Guégan. Les organisateurs tenaient aussi à proposer plusieurs groupes de métal, le thème des années précédentes, avec la présence de Lofofora, Sidilarsen, Black Bomb A. Et comme la variété avait plutôt bien fonctionné lors de l’édition 2019 avec les venues de Jennifer et Jérémy Frérot, dimanche ce seront Christophe Maé et les Négresses Vertes qui monteront sur scène.
Plus de 5000 personnes sont attendues chaque jour sur le site du Russey. C’est en tout cas ce que souhaitent les organisateurs. « Ce serait vraiment le top. C’est ce qu’on peut accueillir sur le site » détaille Jordan Pavy. Mais hors programmation, de nombreux critères seront déterminants dans le succès de cet événement. On pense évidemment aux conditions météorologiques, qui étaient venues perturber l’édition 2019. Petit changement cette année : une partie de la grande scène sera couverte, en cas de mauvais temps et abritera une partie du public. « On espère vraiment que ce sera une réussite, et croyez-moi, on se donne vraiment de la peine pour la bonne tenue de cet événement, et pour arriver à ces 5000 personnes par jour. Toute l’équipe est vraiment motivée à l’idée de repartir, tout le monde a envie de faire un bel événement cette année, pour faire encore de plus belles choses par la suite » clame le président du Pop’Cornes Festival.
Le festival est dans l’attente d’au moins 400 bénévoles et un appel a été lancé la semaine dernière. Des rôles bien différents sont à pourvoir au sein de l’événement. « Cela va de la restauration au bar, de la billetterie aux entrées, de la gestion au transport des artistes, de la gestion écologique, parce qu’on a décidé de mettre un point sur fort là-dessus cette année, comme par exemple avec une équipe qui fait le tri sur le site. Enfin il y a vraiment beaucoup de pôles différents, et chacun peut trouver sa place dans cet événement » explique Jordan Pavy.
« Tout sera situé au même endroit, c’est la grande force qu’on a cette année par rapport à 2019 où nous étions éparpillés un peu partout » explique le président du festival. Le site verra le jour à côté du stade des Butiques, à la sortie du Russey en direction de Morteau. Un parking sera disponible à cet endroit, tout comme un camping gratuit, avec de la restauration de prévue : un brunch le matin, et une buvette l’après-midi ! Le tout juste à côté du site, pour que tout soit à disposition des festivaliers. Les places sont à retrouver directement sur le site internet du Pop’Cornes Festival mais également auprès des différents partenaires comme la FNAC. Au niveau des tarifs : 34€ pour le Pass 1 jour, 63€ pour le Pass 2 jours, et 92€ pour le Pass 3 jours. Un tarif réduit est proposé pour les moins de 14 ans.
Non aux éoliennes. C’est ce que défend le collectif « Sauvons nos Crêts d’Usiers », qui milite afin d’empêcher l’implantation de ces mastodontes d’acier sur les communes de Sombacour, Bians les Usiers, Goux les Usiers, Septfontaines et ses environs.
Des habitants en colère
Le conseil municipal a pris cette décision et a signé un bail emphytéotique le 4 décembre 2020, sans trop concerter les habitants regrette Maryse Jeannin, ancienne maire du village et membre du collectif. L’ancienne édile reproche la non prise en compte de l’avis général sur le projet éolien et le manque de cohésion au sein du conseil municipal. « La population n’a été informée qu’un an après la signature du bail. C’est triste, le conseil aurait dû concerter la population. La population est vraiment remontée et en colère. Et le ressenti que j’en ai aujourd’hui, c’est que nos villageois ne sont pas pour » souligne Maryse Jeannin. Aujourd’hui, ce sont plus de 650 signatures qui ont été récoltées par ce collectif, afin d’empêcher la création de ce parc éolien « qui serait bâti sur des parcelles boisées qui devront être rasées, et se ferait au mépris des biens immobiliers, du patrimoine paysager, et de la biodiversité » déplore le collectif.
Un rassemblement public
Une réunion se tiendra le 26 février à la salle des fêtes de Sombacour afin de sensibiliser les habitants du secteur à ma face caché de l’éolien. Parmi les figures qui seront au rendez-vous, Antoine Waechter, homme politique écologiste, candidat des Verts à l’élection président de 1988, ingénieur écologue, interviendra et répondra aux interrogations des habitants, tout comme Marie-Christine Chanez, présidente du Crecep (Collectif Régional d’Experts et de Citoyens pour l’Environnement et le Patrimoine). Cette réunion devrait permettre aux personnes indécises sur ce sujet de pouvoir se forger un avis concernant le projet éolien prévu sur la commune de Sombacour, et offrira une autre ersion de l’éolien que celle présentée en décembre dernier par les promoteurs éolien et la mairie de Sombacour.
Maryse Jeannin, habitante de Sombacour, ancien maire de Sombacour, et membre du collectif « Sauvons nos Crêts d’Usiers » :