Un individu devra s’expliquer le 25 septembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis un vol dans une habitation. Il a été interpellé le 6 avril dernier au niveau de l’arrêt de tramway Quai Viel Picard à Besançon. Il était en possession d’un sac à main de femme, contenant un passeport à la victime. Il possédait également un vélo. Devant les policiers, il reconnut immédiatement les deux larcins. Le VTT a été remisé aux objets trouvés de la mairie.
Un individu de 27 ans a été interpellé, le 5 avril dernier, vers 20h15, faubourg Tarragnoz à Besançon. Les policiers le surveillaient alors qu’il se faisait remettre, à l’intérieur d’un véhicule, des billets. Dans cette voiture, les fonctionnaires découvrirent six boulettes de cocaïne, achetés pour 150 euros. Il était également porteur de la somme de 160 euros.
Lors de sa garde à vue, le vendeur présumé n’a pas reconnu les faits, se déclarant simple consommateur. Auditionnés librement les deux acheteurs se sont vu remettre une convocation pour une composition pénale, agendée le 20 juin. Quant au suspect, lors de sa remise en liberté, le 7 avril, une convocation pour comparaître devant le tribunal correctionnel lui a été donnée pour le 16 octobre prochain.
Un homme de 34 ans devra s’expliquer en septembre et novembre prochains devant la justice. Le 5 avril dernier, lors d'un contrôle, il est apparu qu’il était en possession, dans son véhicule, d’un sac, dans lequel se trouvaient des produits stupéfiants : 50 grammes d’herbe de cannabis, 280 grammes de résine de cannabis, 88 grammes de cocaïne et 20 grammes d’ecstasy. Il possédait également la somme de 710 euros. Les forces de l’ordre ont été surprises par l’odeur qui se dégageait de son véhicule. Une voiture dont il était le seul occupant.
Le 4 avril dernier, à Besançon, suite à un contrôle de bus, mené à hauteur de la cité Viotte, un jeune homme de 18 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Le chien stup a marqué l’arrêt à sa hauteur. Effectivement, il était en possession de près de 100 grammes de résine de cannabis. Sa garde à vue a été levée le lendemain après-midi. Il s’expliquera les 25 septembre et 26 novembre prochains devant la justice.
Un homme de 44 ans devra s’expliquer le 30 janvier prochain devant la justice. Le 4 avril, les douanes mettaient à la disposition de la police bisontine, un homme de 44 ans, qui détenait des stupéfiants à son domicile. Lors de la perquisition, autorisée par les autorités judiciaires, près de 2,5 kilos de résine de cannabis, plus de 250 grammes de cocaïne et 352 cachets d’ecstasy ont été découverts. Le quadragénaire a été placé en garde à vue. Cette dernière a été levée le lendemain, à la mi-journée.
Un homme de 33 ans, domicilié à Boujailles, près de Levier, a été interpellé à son domicile le 3 avril. Il est soupçonné d’avoir indument perçu un ordinateur, une remorque et une imprimante, appartenant à l’association bisontine Hand’Ensemble (HEB) et usurpé l’identité d’un médecin généraliste pour obtenir deux faux certificats médicaux. Entendus, les membres de l’ancien bureau du club bisontin ont reconnu l’irrégularité du don, dont le préjudice s’élève à 7.500 euros. Précisons que l’audit lancé par le nouveau bureau laisse apparaître d’autres irrégularités. Parr ailleurs, le médecin usurpé a également déposé plainte. Entendu, le trentenaire nie les premiers faits qui lui sont reprochés.
Le parquet bisontin a demandé la restitution des biens. La femme de l’individu est poursuivie pour recel et abus de confiance et faux. L’affaire sera classée, sous condition de régularisation d’indemnisation du dommage.
Lors d’une surveillance menée sur un point de deal dans le quartier de Planoise, rue Léonard de Vinci, deux individus, une vendeuse de 18 ans et un acheteur de 33 ans, ont été interpellés le 2 avril dernier à Besançon. Le sac remis au trentenaire contenait 35 grammes de résine de cannabis, 2,5 grammes de cocaïne et une somme de 130 euros.
Le duo a été placé en garde à vue. La jeune vendeuse a reconnu se livrer à de la vente de stupéfiants et être consommatrice. L’homme ne reconnaît pas être venu pour acheter des stupéfiants, mais admet être usager. Seule la femme fait l’objet de poursuites. Ses huit mois de prison ferme seront aménagés. Elle fait également l’objet d’un contrôle judiciaire pour une durée de trois mois.
La cinquantaine de salariés de l’entreprise Ynsect, basée à Damparis, dans le Jura, va devoir, comme ses collègues de Poulainville, dans la Somme, patienter encore pour connaître son avenir. La période d’observation de la structure, placée en redressement judiciaire, a été prolongée hier, lundi 7 avril. Une décision qui va lui permettre de poursuivre ses contacts pour trouver un repreneur. La prochaine audience de suivi se tiendra à la fin du mis de mai.
Un individu devra s’expliquer en juin prochain devant le délégué du Procureur de la République de Besançon. Le 1er avril dernier, rue du Muguet, dans la cité comtoise, dans le tram, il transportait dans un sac à dos un couteau de chasseur, disposant d’une lame de 18 centimètres. Il présentait également un taux de plus d’1 gramme d’alcool dans le sang. Interpellé par les forces de l’ordre, il a été placé en garde à vue différé.
Le 30 mars dernier, pour apparemment une dette de 500 euros, un individu a jeté, à deux reprises, un colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. A la vue des policiers, il a tenté de prendre la fuite. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Le paquet en question contenait de la viande. Il s’expliquera ultérieurement devant le tribunal judiciaire de Vesoul.