Le 30 mai, la BAC a mis en place une surveillance sur un point de deal avenue de Montrapon. Trois individus ont été interpellés après une transaction suspecte. La perquisition menée dans un appartement a permis la saisie de plusieurs kilos de cannabis, cocaïne et ecstasy, ainsi que plus de 9 000 euros en liquide. L’un des suspects, âgé de 22 ans, a été condamné à un an de prison, dont six mois fermes aménageables. Les deux autres sont en détention provisoire en attente de leur jugement.
Le 31 mai, vers 18h, à Besançon, une patrouille anti-criminalité est intervenue rue des Saulniers après un signalement de vente de stupéfiants. Un individu, surpris en train de fumer un joint, a proposé de la résine de cannabis aux policiers et a été immédiatement interpellé.
La perquisition menée dans son appartement a révélé 36 grammes de résine et 16 grammes d’herbe de cannabis, conditionnés pour la revente, ainsi que 930 euros. Placé en garde à vue, le suspect de 25 ans a reconnu les faits et a été condamné le 1er juin à huit mois de prison aménageable devant le tribunal judiciaire de Besançon.
Présenté ce jour à un juge d'instruction dans le cadre d’une information judiciaire, un homme de 20 ans a été mis en examen pour assassinat, avant que le juge des libertés et de la détention ne décide de son placement en détention provisoire.
Le 28 mai 2025, aux environs de 6 h du matin, il aurait tiré un coup de feu avec une arme de chasse, atteignant mortellement un jeune homme de 21 ans à la tête, sur la voie publique à proximité de son domicile.
D’abord retranché chez lui après les faits, il s’était finalement rendu aux forces de l’ordre. Bien qu’il ait reconnu être l’auteur du tir, il affirme ne pas avoir voulu tuer la victime. Déjà connu des services judiciaires pour plusieurs condamnations et incarcérations, il reste en détention tandis que l’enquête se poursuit.
Le juge des référés du tribunal administratif de Besançon a rejeté le recours en urgence introduit par plusieurs associations contre les travaux de réfection des pistes de l’aéroport de Dole-Tavaux, lancés le 26 mai 2025.
Les associations « Serre Vivante », « Les amis de la Terre Côte-d’Or », « France Nature Environnement Bourgogne Franche-Comté » et « Agir pour l’environnement » demandaient la suspension des travaux, dénonçant « leur impact potentiel sur l’environnement et la santé publique. Elles arguaient notamment du non-respect de l’obligation d’étude d’impact ».
Le juge a rejeté la requête, considérant que « les travaux ne portaient pas une atteinte grave et manifestement illégale au droit fondamental de vivre dans un environnement équilibré ». Il a également estimé que « l’urgence à suspendre les travaux n’était pas avérée. Les réfections visent uniquement la mise aux normes et la sécurisation des pistes existantes, sans modification de l’activité aéroportuaire ».
Cette décision valide la poursuite du chantier engagé par le département du Jura, propriétaire de l’aéroport.
Dans la nuit du 25 mai, à Besançon, 35 avenue du soixantième TRI, un homme de 22 ans a refusé de se soumettre aux vérifications lors d’un contrôle routier, invoquant un précédent contrôle dans la journée. Malgré les avertissements des policiers, il a persisté, avant d’être interpellé, opposant une résistance sans violences.
Au commissariat, il a continué à refuser les tests d’alcoolémie et de dépistage de stupéfiants, ainsi que de donner son identité. Son véhicule, dont l’immatriculation n’était pas en règle, a été immobilisé. Placé en garde à vue, il s’est vu remettre une convocation pour se présenter devant le délégué du procureur le 1er octobre.
Le 29 avril dernier, un médecin du CHRU Besançon a porté plainte pour usurpation de titre et usage de faux documents après la découverte d’un arrêt de travail falsifié à son nom, émis via un site internet. Un salarié avait obtenu plusieurs avis d’arrêt frauduleux, payés en ligne, et les avait transmis à son employeur. Convoqué et placé en garde à vue, l’homme de 26 ans a affirmé avoir agi de bonne foi, pensant utiliser un service légitime. Après authentification des documents par les médecins concernés, tous ont été déclarés faux, entraînant plusieurs plaintes. La garde à vue a été levée, et l’individu est convoqué devant France Victimes 25 le 9 septembre pour une contribution citoyenne.
L’ancien arbitre international Michel Vautrot a enfin récupéré son médaillon en or, en forme de sifflet, qu’il portait depuis son adolescence. Dérobé en mars dernier lors d’une agression à Saint-Vit (Doubs), le bijou a été retrouvé grâce à la réactivité de la gendarmerie et à l’attention d’un négociant en or, alerté par un article de presse. Un suspect a été placé en garde à vue. Le colonel James, commandant du groupement départemental de la gendarmerie du Doubs, a officiellement remis le pendentif à son propriétaire, clôturant ainsi cette affaire marquante.
Le 17 mai, à 19h15, à Besançon, rue Boisot, une patrouille anti-criminalité a interpellé un individu dont le comportement suspect avait attiré l’attention des policiers. Lors du contrôle, l’homme a remis un sachet contenant 12 grammes de cocaïne ainsi que 1920 euros en liquide.
Le suspect, âgé de 21 ans, a été placé en garde à vue et son véhicule saisi pour les besoins de l’enquête. Lors de son audition, il a reconnu la détention et le transport de stupéfiants. Sa garde à vue a pris fin le 18 mai. Il sera convoqué en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) le 13 novembre 2025 et devra se présenter à une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) le 25 mars 2026. Son véhicule a été placé en fourrière sous l’autorité préfectorale.
Le 15 mai, à 23h00, rue Fresnel, à Besançon, le gérant d’une entreprise de boissons a alerté le commissariat de police qu’un vol par effraction était en cours dans son établissement. Grâce à l’alarme et aux caméras thermiques, il a détecté la présence de deux individus.
Les patrouilles dépêchées sur place ont rapidement interpellé un homme de 56 ans, trouvé en possession d’un jerrican rempli aux trois quarts de carburant siphonné dans un camion. L’individu a été placé en garde à vue. Les recherches effectuées aux abords du site n’ont pas permis de retrouver le second suspect. La victime a déclaré, dans sa plainte, n’avoir aperçu qu’un seul individu au moment des faits. À l’issue de la garde à vue, le mis en cause s’est vu remettre une convocation, pour comparaitre devant la justice le 13 novembre.
Le 15 mai, à 20h15, rue Battant, à Besançon, une personne a alerté les forces de l’ordre, déclarant être suivie par un homme armé d’un couteau. Une patrouille est rapidement intervenue et a procédé au contrôle d’un individu correspondant au signalement. Lors de la palpation de sécurité, les policiers ont découvert un couteau et un aérosol lacrymogène en sa possession. L’homme, âgé de 34 ans, a été interpellé et placé en garde à vue.
L’enquête a révélé un différend entre le mis en cause et la victime, un jeune homme de 19 ans. Alors que le suspect a affirmé avoir été confronté à des insultes et s’être senti en danger face à trois personnes, la victime a déclaré avoir été menacée avec un couteau avant de prendre la fuite, poursuivie par l’agresseur. À l’issue de la garde à vue, le mis en cause a été convoqué devant le délégué du procureur le 1er octobre prochain.