L’Espace des Vallières accueillera les 28 et 29 novembre la 8ᵉ édition du Festi’Diff, le Festival des Différences. Un rendez-vous unique dans le Haut-Doubs, placé sous le signe du partage, de la création artistique et de la valorisation des singularités, qu’elles soient liées au handicap ou à la diversité sociale et culturelle.
L'interview de la rédaction : Aurélien Bouveret
Un festival porteur de sens
Créé pour mettre en lumière toutes les formes de différences — handicaps visibles ou invisibles, parcours de vie variés, origines et cultures diverses — le Festi’Diff est devenu un temps fort du territoire. « C’est un festival dédié au handicap, mais pas seulement : on parle de toutes les différences. L’idée est que, l’espace d’un week-end, chacun puisse se retrouver dans un moment de fête et de convivialité », explique Aurélien Bouveret, le programmateur de l’évènement. Porté par l’association Espace Mont d’Or, l’événement revendique « une vision ouverte, inclusive et joyeuse ». Le public y découvre chaque année des spectacles originaux, où artistes professionnels et personnes en situation de handicap se partagent la scène.
Une programmation singulière, faite de créations inédites
La force du Festi’Diff réside dans son approche artistique : une programmation construite chaque année sur mesure, en collaboration étroite avec des artistes locaux et plusieurs établissements médico-éducatifs. « L’association me laisse carte blanche pour proposer une programmation et imaginer des créations en partenariat avec des artistes de la région ou pas. Nous travaillons aussi avec différents IME », précise Aurélien Bouveret. Pour cette 8ᵉ édition, des jeunes des IME de Membray (Haute-Saône) et de Besançon monteront sur scène aux côtés de musiciens, danseurs ou comédiens professionnels. Ces créations collectives, conçues spécialement pour le festival, constituent de véritables temps forts. Parmi les têtes d’affiche cette année : Percujam, Nadamas, Mystically, Batukador, les Tontons Gênants, Picon Mon Amour et Sang d’Ancre. Cette année, Solène Lucaselli-Coquillon, de son nom de scène ENELOS, est la marraine de l’évènement.
L'interview de la rédaction : Aurélien Bouveret
Des moments exceptionnels sur scène
Le Festi’Diff offre une occasion rare à des jeunes et adultes qui n’ont pas l’habitude de se produire devant un public. « C’est une opportunité incroyable pour eux d’être sous les projecteurs, d’exprimer leurs talents et de partager des émotions fortes. Ces moments sont toujours exceptionnels », souligne Aurélien. Au-delà des performances artistiques, le festival se veut un espace de rencontre, de solidarité et de découverte. Habitants, familles, professionnels du secteur médico-social, curieux ou passionnés d’art se retrouvent à Labergement-Sainte-Marie pour célébrer la richesse de la diversité humaine.
L’équipe du Festi’Diff espère accueillir, cette année encore, un public nombreux pour cette nouvelle édition. Pour toute savoir sur l’évènement et la billetterie : www.festi-diff.fr
La Saline royale d’Arc-et-Senans accueillera deux concerts exceptionnels dans son demi-cercle historique, classé à l’UNESCO. Le 25 juillet, GIMS revisitera ses plus grands titres après une tournée record. Le 26 juillet, STING présentera son “ World Tour” aux côtés de Dominic Miller et Chris Maas. Un rendez-vous musical inédit entre patrimoine et scène internationale.
Du 7 au 9 novembre, Besançon accueille le Festival POTE (Playing On The Edge), dédié à la création musicale contemporaine et expérimentale. Ce rendez-vous atypique propose trois jours de concerts, performances, ateliers et rencontres, dans une ambiance ouverte à l’innovation et à la diversité des formes sonores.
Pensé comme un laboratoire artistique, le festival investit plusieurs lieux de la ville et met en lumière des artistes professionnels et amateurs, explorant les frontières entre musique, arts numériques et engagement citoyen. Gratuit et accessible à tous, POTE invite le public à découvrir des œuvres originales et à participer à des expériences collectives autour du son et de l’imaginaire.
Ce mercredi matin, L’Orchestre Victor Hugo Franche-Comté a présenté sa nouvelle saison, ses projets et sa stratégie budgétaire. Une conférence de presse dense, où la direction et les représentants des collectivités ont souligné l’équilibre subtil entre exigence artistique, mission publique et modèle économique vertueux.
L'interview de la rédaction : Jean-François Verdier, directeur artistique et musical
Aline Chassagne, présidente du syndicat mixte
Un orchestre de territoire au rayonnement international
Structure atypique dans le paysage culturel français, l’Orchestre Victor Hugo est un syndicat mixte réunissant la Région Bourgogne–Franche-Comté, les villes de Besançon et Montbéliard, et Pays de Montbéliard Agglomération. Ce modèle politique, rare dans le secteur culturel, garantit une stabilité financière et institutionnelle enviable : aucune baisse de subvention n’a été enregistrée malgré le contexte budgétaire tendu. Composé de 38 permanents (dont 30 musiciens à temps partiel), l’orchestre peut s’élargir jusqu’à 125 musiciens selon les productions. Son directeur musical, Jean-François Verdier, insiste :
« Ce sont des musiciens qui vivent ici, qui enseignent dans nos écoles de musique, et qui partagent la vie locale. Ce n’est pas un orchestre TGV. » Cet ancrage territorial se double d’un rayonnement national et international, notamment à travers les enregistrements, les collaborations et les invitations prestigieuses. L’ensemble se produira notamment au Théâtre des Champs-Élysées en février 2026 pour 14 représentations de “Roméo et Juliette”, une coproduction parisienne à coût nul pour les collectivités régionales.
L'interview de la rédaction : Jean-François Verdier, directeur artistique et musical
Aline Chassagne, présidente du syndicat mixte
Une mission culturelle et sociale assumée
Fidèle à son ADN, l’Orchestre Victor Hugo revendique une mission de service public : sensibiliser tous les publics à la musique symphonique. De la maternelle aux EHPAD, des hôpitaux aux quartiers populaires, les musiciens interviennent sur l’ensemble du territoire. «On prend aussi au sérieux un concert en EHPAD qu’un gala à Micropolis », souligne Verdier. Avec 69 concerts programmés cette saison, dont 20 à Besançon et un retour attendu à la Saline royale d’Arc-et-Senans, l’orchestre poursuit une politique d’accès large au symphonique. Le concert du Nouvel An à Planoise et Montbéliard rassemblera à lui seul près de 9 000 spectateurs, autour d’un programme 100 % français. L’orchestre mise également sur la jeunesse : l’Orchestre des Jeunes de la Région, projet éducatif estival, permet à des adolescents de retrouver confiance et cohésion à travers la pratique collective. « On voit arriver des jeunes en difficulté scolaire qui se reconstruisent par la musique », confie le chef.
Une programmation entre redécouverte et création
La saison 2025–2026 s’annonce foisonnante, avec une vingtaine de programmes mêlant grands classiques, créations contemporaines et projets participatifs. Jean-François Verdier revendique une ligne artistique claire : « Nous faisons ce que personne d’autre ne fait : redécouvrir, créer, et donner une voix à ceux que l’histoire a oubliés. »
Trois albums majeurs jalonneront la saison :
« America, Dream », redécouverte de deux compositrices injustement effacées de l’histoire musicale.
« La Cinquième saison », avec le mandoliniste Julien Martineau, mêlant Vivaldi et création contemporaine.
« Music on the Moon », œuvre inédite commandée pour une mission spatiale française : la seule musique destinée à être déposée sur la Lune en 2027.
Ces disques, diffusés à l’international, confortent le rôle de l’orchestre comme acteur de recherche et de mémoire musicale. « Redonner vie à des œuvres oubliées, c’est aussi corriger des injustices de l’histoire », souligne M. Verdier.
Un modèle économique exemplaire
Avec un budget stable de 2,6 millions d’euros, dont 1,9 million de subventions publiques, l’Orchestre Victor Hugo affiche une gestion vertueuse : 70 % de financements publics, 30 % de ressources propres (billetterie, ventes de disques, concerts et mécénat). « Nous avons le plus petit budget symphonique de France, mais un rapport qualité-prix unique », affirme la direction. L’équipe espère élargir prochainement son cercle de partenaires afin de renforcer l’action culturelle dans tout le territoire.
Un orchestre au service du vivant
Entre créations, pédagogie et engagement social, l’Orchestre Victor Hugo continue de prouver qu’un orchestre régional peut être à la fois laboratoire d’innovation, acteur de cohésion sociale et ambassadeur culturel international. Comme le résume Jean-François Verdier : « Un orchestre symphonique n’est pas une relique du passé. C’est un outil vivant, au service de toutes les musiques et de tous les publics. »
Le Japonais Satoshi Yoneda, 29 ans, a remporté le Grand prix de direction du 59e Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Besançon, à l’issue d’une finale en conditions de concert avec le Deutsche Radio Philharmonie. Le jury, présidé par Michael SCHØNWANDT, a salué à l’unanimité la maîtrise du jeune chef, qui décroche une dotation de 12 000 €, un accompagnement professionnel et plusieurs engagements.
Le Chinois Tianyi XIE, 21 ans, benjamin du concours, reçoit une Mention spéciale pour son « talent incroyable et son immense potentiel ». Il remporte également le Coup de cœur du public et celui de l’orchestre.
Cette finale a clôturé le 78e Festival international de musique de Besançon. Prochains rendez-vous : septembre 2026 pour le Festival, et septembre 2027 pour la 60e édition du Concours.
Jusqu’au 27 septembre, la région vibre au son du 78ᵉ édition du prestigieux Festival international de musique Besançon Franche-Comté. Deux semaines de découvertes, de grands rendez-vous et de moments festifs où les territoires de Besançon, Dole, Arc-et-Senans, Vesoul se mettent au diapason.
Une programmation riche et variée
Plus de quarante concerts sont programmés cette année, offrant un large panorama musical : œuvres symphoniques, musique de chambre, créations contemporaines, mais aussi jazz et musiques du monde. Au cœur de cette édition, des compositeurs phares comme Ravel, Mahler, Schubert, Schumann ou Chostakovitch, mais aussi des pièces plus récentes, notamment celles du compositeur en résidence Régis Campo.
Le Concours de jeunes chefs d’orchestre, moment phare
Événement incontournable du festival, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre vivra en 2025 sa 59ᵉ édition. Les épreuves finales, prévues du 22 au 27 septembre, réuniront à Besançon des candidats venus du monde entier. Ce concours, unique par son exigence et sa transparence, a révélé par le passé de grands noms de la direction orchestrale.
Une fête pour tous
Le festival se déploie bien au-delà des grandes salles de spectacle. Concerts en plein air, représentations dans des lieux patrimoniaux, rencontres avec les artistes : autant d’occasions de rapprocher la musique du public. Une attention particulière est portée aux jeunes, avec des tarifs réduits — parfois dès 3 € pour les épreuves du concours — et des concerts spécialement pensés pour le public scolaire.
Les places sont disponibles auprès du festival et des points de vente partenaires.
Pour de plus amples informations : https://festival-besancon.com/programme
Après sept éditions marquées par l’émotion et la créativité, l’association Espace Mont d’Or relance l’aventure les 28 et 29 novembre 2025 à l’Espace des Vallières de Labergement-Sainte-Marie.
Ce festival unique célèbre la rencontre entre handicap et création artistique, en réunissant sur scène des personnes en situation de handicap et des artistes confirmés.
À l’affiche : Sang d’Ancre (rock celtique), Picon Mon Amour (chansons hybrides), les Francs-Comtois Nadamas et Mystically, mais aussi Percujam, Les Tontons Gênants et La Batukador. La chanteuse Enelos sera la marraine de cette édition.
Entre partage, sensibilisation et fête, le Festi’diff promet une nouvelle fois de bousculer les regards et de faire vibrer le public.
Le mythique festival des Eurockéennes de Belfort s’ouvre ce jeudi 3 juillet sur la presqu’île du Malsaucy pour quatre jours de musique, de fête et de découvertes. Pour cette 35ᵉ édition, les organisateurs promettent une programmation éclectique mêlant rock, électro, rap et pop, avec plus de 60 artistes à l’affiche jusqu’au dimanche 6 juillet. La soirée d’ouverture s’annonce déjà mémorable avec Iron Maiden en tête d’affiche sur la Grande Scène à 20h45.
Créé en 1989, le festival est devenu l’un des plus grands rendez-vous musicaux de France, attirant chaque année des dizaines de milliers de festivaliers. Cette édition 2025 s’annonce comme un cru exceptionnel, avec notamment DJ Snake, Clara Luciani, Justice, Damso, Last Train ou encore Kéziah Jones et Theodora dans les jours à venir.
Le festival « Détonation », désormais à sa 12e édition, revient pour la deuxième année consécutive avec une nouvelle formule autour de La Rodia, qui avait fait ses preuves en 2024. Plus qu’un simple événement musical, il se veut un rendez-vous qui met en avant l’inclusion, l’égalité et le soutien aux artistes émergents et à la scène locale. Avec une programmation diversifiée et une ouverture à toutes les cultures, il s’affirme comme un rendez-vous convivial, accessible et audacieux artistiquement.
L'interview de la rédaction : Aline Chassagne, élue en charge de la culture à la Ville de Besançon
Une formule renouvelée
Depuis 2024, le festival s’est orienté vers un nouveau ton, qui a séduit les spectateurs. Alors qu’il était menacé, l’évènement a ébauché une nouvelle dynamique, grâce à une réflexion collective, qui a associé de nombreux acteurs culturels et citoyens. Pour cette nouvelle édition, les 26 et 27 septembre prochains, 45 groupes répartis, mêlant artistes locaux et talents internationaux, seront au rendez-vous. « C’est un festival très humain, très convivial, et en même temps très ambitieux sur le plan artistique », explique David Demange, le directeur de la Rodia. La programmation mise à la fois sur la scène locale dynamique — particulièrement forte dans les musiques électroniques, le jazz et le rock — et sur des artistes venus d’Europe et d’ailleurs. Cet automne, la scène irlandaise sera à l’honneur.
L'interview de la rédaction : David Demange, le directeur de la Rodia
Une scène locale mise en lumière
La moitié des artistes programmés viennent de Besançon, illustrant la volonté du festival d’être un véritable tremplin pour la scène locale. Le festival travaille tout au long de l’année avec des associations et des artistes de la région, organisant des actions culturelles variées destinées à différents publics. « Détonation » est aussi une vitrine de ces initiatives.
L'interview de la rédaction : David Demange, le directeur de la Rodia
Une programmation ouverte et engagée
La programmation musicale reflète la diversité et l’ouverture du festival. Outre un fort ancrage dans le rock anglo-saxon et les musiques électroniques, cette édition met un accent particulier sur les scènes sud-américaine et irlandaise. « Détonation » défend des valeurs fortes : égalité femmes-hommes (avec six femmes parmi les dix artistes principaux), soutien aux artistes émergents, et inclusion des publics. Cette année, un concert traduit en langue des signes en direct, avec l’artiste Malik Djoudi, apportera une dimension atypique et inclusive à l’événement. Associé à la mise à disposition de gilets vibrants, ce concert permettra une expérience augmentée pour le public sourd et malentendant.
Une expérience immersive et festive
Au-delà de la musique, « Détonation » transforme La Rodia et ses alentours en un véritable espace festif et artistique. Deux bals de 400 places, plusieurs scènes en plein air, et différents bars émailleront le festival, offrant une expérience complète et conviviale. La danse jouera un rôle majeur, avec le collectif de danse bisontin, 100% féminin », « La Meute ». La troupe prépare activement ses représentations et performances, qui se déclineront à travers le site.
L'interview de la rédaction : Aline Chassagne, élue en charge de la culture à la Ville de Besançon
Un festival accessible et soutenu
Malgré la montée des coûts dans l’organisation des festivals, « Détonation » réussit à rester accessible avec un pass deux jours à 50 €, soit environ 25 € par jour. Ce maintien est rendu possible grâce au soutien des collectivités publiques et à l’engagement des festivaliers. Les organisateurs insistent également sur l’importance de trouver des financements spécifiques pour les projets innovants, comme la traduction en langue des signes et les performances de danse, afin d’offrir des expériences hors du commun.
Un rendez-vous incontournable pour Besançon
Pour Aline Chassagne, l’élue en charge de la culture à la Ville de Besançon, « Détonation » est un rendez-vous clé de la rentrée bisontine. Elle souligne aussi que ce festival s’inscrit « dans une démarche citoyenne et durable », avec une réflexion approfondie sur la soutenabilité économique et les attentes du public. Tout en n’omettant pas d’argumenter sur les valeurs sociales, économiques et environnementales qu’il défend.
Pour tout savoir sur cet évènement et sa billeterie : www.detonation-festival.com
Après un premier succès éclatant, le Festi’Mournier, revient pour une deuxième édition qui promet d'enflammer le village avec une programmation toujours plus ambitieuse et festive. Rendez-vous ce samedi 24 mai, à partir de 18h, sur le stade de football de Montrond (39).

L'interview de la rédaction : Caroline Darfeuille
Une aventure musicale née d’une volonté associative
À l’origine de cet événement, l’association jurassienne « Aux Tirs Points », qui avait à cœur de créer un rendez-vous festif et accessible, rassemblant les habitants autour de la musique. Le festival s’est imposé comme une nouvelle tradition locale après une première édition couronnée de succès. « On a fait carton plein l’année dernière, c’est ce qui nous a poussés à renouveler l’événement », explique Caroline Darfeuille, secrétaire de l’association organisatrice.
Une programmation variée, mais résolument rock
Cette année, l’équipe a misé sur la musique et la création, en mettant à l’honneur les compositions originales des groupes sélectionnés. Un choix stratégique mûrement réfléchi lors des réunions avec les bénévoles, où chacun a pu proposer ses idées et contribuer à donner une identité musicale au festival.
Au programme :
Beaufs Bof : Un groupe local apprécié, spécialisé dans les reprises rock bien connues.
Undercover : Une formation pop-rock incontournable, proposant un voyage musical des années 70 à aujourd’hui.
Les Spiders : Originaire du Haut-Doubs, ce groupe est célèbre pour son titre emblématique Les Nuits sans soleil et ses compositions originales.
Let Dzur : Un groupe énergique, mêlant compositions percutantes et reprises festives pour une clôture en beauté.
L’objectif de l’association est clair : ancrer le festival comme un événement annuel pour les amoureux de musique, tout en conservant son identité et son esprit convivial.
L'interview de la rédaction : Caroline Darfeuille

Infos pratiques
Rendez-vous ce samedi 24 mai, à partir de 18h, au stade de foot de Montrond pour une soirée inoubliable. Les festivités se poursuivront jusqu'à 3h du matin, avec une programmation musicale riche et festive. Les billets sont disponibles en ligne sur le site Helloasso, mais il est également possible de se procurer son sésame sur place, le soir de l’évènement.
Billetterie : lien hello asso
