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Alan dit AL est un jeune rappeur pontissalien de 20 ans, qui rêve de vivre de sa passion, le rap. Il sort son premier single “Tout va bien” en collaboration avec OB production.  

La musique dans la peau

Depuis son plus jeune âge, Alan passionné par la musique, joue du saxophone et de la guitare et utilise cet art pour exprimer ses émotions.  Il est étudiant en BTS moteur et combustion interne, quand il décide d’arrêter ses études pour se consacrer entièrement à la musique.  Il commence par faire des petits "freestyle" sur Instagram  puis décide de se rendre en studio pour enregistrer son premier single.

“Tout va bien”

Fruit d’un travail d’une année, ce titre décline un texte sombre qui exprime un sentiment de détresse partagé par le rappeur.  AL raconte  qu’il essaie d’être le plus sincère possible dans ses textes, pour partager au mieux ce qu’il  à ses auditeurs.   Ce single est son premier projet, il est sorti il y a 3 semaines sur la plateforme de streaming Spotify. Il est accompagné d’un clip produit par Hastro Production à retrouver sur Youtube.


Nouveaux projets

Pour l’instant, AL n’a pas pour projet de donner naissance à un album mais, plutôt,  de sortir plusieurs singles pour faire connaître son travail.  Son prochain projet nommé “Vainqueur”, sera une suite au premier single. Il explique que cette nouvelle mélodie montre que l’on peut se relever face aux difficultés de la vie. C’est un message d’espoir contrairement à sa première création.

L'interview de la rédaction

La première édition de 2019 avait réuni plus de 12.000 festivaliers au Russey. Après deux années difficiles dues au contexte sanitaire, le Pop’Cornes Festival revient agiter la commune du Haut-Doubs du 3 au 5 juin. Cette bande de potes du Russey, animée et passionnée par la musique, devenue une association de 19 personnes, porte cette volonté de pérenniser le Pop’Cornes Festival au sein de leur village. A l’affiche cette année : 23 artistes et groupes qui se produiront sur scène durant trois jours. De Christophe Maé au rappeur Rim’K, de Superbus à Soso Maness, sans oublier le metal de Lofofora, la pop d’Aloïse Sauvage et l’électro de The Avener, les scènes du Pop’Cornes Festival proposeront une programmation très variée, qui satisfera musicalement tous les goûts et toutes les générations. L’évènement souhaite également mettre en avant des artistes locaux chaque soir.

 

Les origines du festival

« C’est un projet d’une bande de potes » explique simplement Jordan Pavy, président du Pop’Cornes festival, et chargé de la programmation. « L’objectif était de faire découvrir différents styles de musique à un public très varié, avec des soirées à thèmes. Une soirée électro/rap plutôt destinée aux jeunes, une soirée rock/métal fidèle à nos valeurs, et un dimanche plus familial avec des groupes de variété française » poursuit Jordan. « On a pris confiance en nous au fil des années, on a été rassuré par les événements que l’on a organisés, on a trouvé nos marques, chacun sa place. On est une association de 19 personnes, chacun joue un rôle bien défini, ce qui nous permet d’avoir une organisation au top. On s’est lancé dans un événement plus grand, et jusqu’à aujourd’hui ça se passe très bien ». Si les éditions 2020 et 2021 n’ont pas eu lieu en raison du contexte sanitaire, les organisateurs ont tout de même souhaité garder la main en proposant « le Grain de Pop », un petit évènement qui a eu lieu à la fin du mois d’août de l’année dernière, pour témoigner de leur présence malgré une situation délicate.

Du côté de la programmation, vendredi sera dédié à une soirée électro/rap avec notamment la présence de The Avener, Soso Maness, Rim’K, et Aloïse Sauvage, « une touche féminine toujours sympa » comme le souligne Jordan Pavy. Samedi les deux gros artistes de la soirée seront Superbus et Jean-Baptiste Guégan. Les organisateurs tenaient aussi à proposer plusieurs groupes de métal, le thème des années précédentes, avec la présence de Lofofora, Sidilarsen, Black Bomb A. Et comme la variété avait plutôt bien fonctionné lors de l’édition 2019 avec les venues de Jennifer et Jérémy Frérot, dimanche ce seront Christophe Maé et les Négresses Vertes qui monteront sur scène.

 

L’édition 2022

Plus de 5000 personnes sont attendues chaque jour sur le site du Russey. C’est en tout cas ce que souhaitent les organisateurs. « Ce serait vraiment le top. C’est ce qu’on peut accueillir sur le site » détaille Jordan Pavy. Mais hors programmation, de nombreux critères seront déterminants dans le succès de cet événement. On pense évidemment aux conditions météorologiques, qui étaient venues perturber l’édition 2019. Petit changement cette année : une partie de la grande scène sera couverte, en cas de mauvais temps et abritera une partie du public. « On espère vraiment que ce sera une réussite, et croyez-moi, on se donne vraiment de la peine pour la bonne tenue de cet événement, et pour arriver à ces 5000 personnes par jour. Toute l’équipe est vraiment motivée à l’idée de repartir, tout le monde a envie de faire un bel événement cette année, pour faire encore de plus belles choses par la suite » clame le président du Pop’Cornes Festival.

Le festival est dans l’attente d’au moins 400 bénévoles et un appel a été lancé la semaine dernière. Des rôles bien différents sont à pourvoir au sein de l’événement. « Cela va de la restauration au bar, de la billetterie aux entrées, de la gestion au transport des artistes, de la gestion écologique, parce qu’on a décidé de mettre un point sur fort là-dessus cette année, comme par exemple avec une équipe qui fait le tri sur le site. Enfin il y a vraiment beaucoup de pôles différents, et chacun peut trouver sa place dans cet événement » explique Jordan Pavy.

 

Un point sur l’organisation

« Tout sera situé au même endroit, c’est la grande force qu’on a cette année par rapport à 2019 où nous étions éparpillés un peu partout » explique le président du festival. Le site verra le jour à côté du stade des Butiques, à la sortie du Russey en direction de Morteau. Un parking sera disponible à cet endroit, tout comme un camping gratuit, avec de la restauration de prévue : un brunch le matin, et une buvette l’après-midi ! Le tout juste à côté du site, pour que tout soit à disposition des festivaliers. Les places sont à retrouver directement sur le site internet du Pop’Cornes Festival mais également auprès des différents partenaires comme la FNAC. Au niveau des tarifs : 34€ pour le Pass 1 jour, 63€ pour le Pass 2 jours, et 92€ pour le Pass 3 jours. Un tarif réduit est proposé pour les moins de 14 ans.  

Vendredi 22 avril, Adam a livré l’une de ses premières interviews. A cette occasion, le chanteur bisontin est revenu sur son parcours, et a évoqué la sortie de son prochain EP le lundi 29 avril.

Un projet bien huilé

En cuisine un jour, en studio le lendemain, voilà globalement le quotidien que le chanteur de 27 ans a choisi de mener. Depuis 2019, Adam s’est lancé en tant qu’amateur passionné afin de découvrir réellement le domaine musical. Un premier clip comme un premier pas qui l’a convaincu de s’investir plus considérablement. Quatre ans plus tard, le jeune homme de 27 ans annonce la sortie de son premier EP, le 29 avril prochain, un « message de force et d’espoir » délivré à tous les mélomanes. « Une bonne expérience » pour lui qui n’a pas lésiné sur les moyens et s’est entouré de professionnels de la chanson, tels que Benoit-Marie Pardieux ou encore le studio Dynamix d’Ivry-sur-Seine. Un apport colossal pour guider ses projets et mener à bien ses ambitions.

De grandes ambitions

Adam veut avant tout rester sincère et authentique. Cet EP, c’est le fruit d’un travail consciencieux réalisé jour après jour. Alors, le désir de reconnaissance est important pour le chanteur qui espère « parler à beaucoup de monde ». Et s’il reste focus sur un objectif principal, faire connaître sa musique, Adam aimerait, à terme, échanger définitivement ses couteaux contre un micro : « Oui, j’envisage de me professionnaliser vraiment, et pouvoir ensuite créer un salaire mensuel provenant de ma musique. » Mais il ne compte pas s’arrêter là. Rempli d’ambitions, le jeune homme tend même à développer, à l’avenir, une marque propre à son identité. Et c’est tout le mal qu’on lui souhaite.

En attendant, vous pourrez retrouver Adam sur scène à l’occasion de la Fête de l’Europe, le 7 mai, place de la Révolution à Besançon.

L'interview de la rédaction / Adam

près l’annulation des deux dernières saisons en raison de la crise sanitaire, le Festival de la Paille fera son grand retour les 29 et 30 juillet prochains au pied des pistes de Métabief. Pour cette nouvelle édition, l’organisateur, l’association collectif organisation, a mis les petits plats dans les grands en établissant une riche programmation.

Cet été le public pourra applaudir deux valeurs sûres de la musique française : Grand Corps Malade et Hubert Félix Thiéfaine. La musique urbaine sera représentée par PLK et Lujipeka. Morcheeba, PLK et Tagada Jones seront également de la partie. De nombreux styles musicaux (soul, techno, hard-rock,…) seront représentés. Les organisateurs n’ont pas oublié la scène régionale, avec la présence notamment du pontissalien  Rod Barthet.

La billetterie est ouverte depuis ce jeudi, à la mi-journée. Il pourra également être possible de réserver sa place aU camping. Cette année, il est payant. Le tarif appliqué est de 6 euros. Une décision qui permet d’assurer une meilleure sécurité et de proposer des animations sur le site.

L'interview de la rédaction / Sébastien Pigagniol, directeur du festival

 

Les Eurockéennes ont dévoilé ce jeudi une partie de la programmation de l’édition 2022. Pour cette 32è édition, et après deux dernières saisons plombées par la crise sanitaire, l’évènement annonce un budget record de 9,7 millions d’euros et une riche programmation,  avec notamment Muse, Stromae, Bob Sinclar, Simple Minds et Clara Luciani. Rendez-vous du 30 juin au 3 juillet. En 2018, 135.000 spectateurs avaient été accueillis sur le site de Malsaucy à Belfort.


Le Festival de la Paille se tiendra les 29 et 30 juillet prochains. Il s’agira de la 20è édition, qui tarde à être célébrée. Espérons qu’elle le sera en 2022. En attendant d’en savoir davantage sur la nouvelle programmation, l’organisateur indique que la billetterie est ouverte.

Par ailleurs, comme chaque année, un nouveau visuel a été pensé. Il reste dans le même esprit que ceux qui ont été présentés les années précédentes. « L’esprit fun et décalé » y est mis en avant, grâce aux couleurs et au graphisme choisis.

Plus d'information : www.festivalpaille.fr

La 4è édition du festival des différences se déroulera les 11 et 12 décembre prochains, à l’espace Pourny, à Pontarlier. Cette manifestation, organisée par l’Espace Mont d’Or, a pour objectif de mettre en lumière le handicap et créer du lien. Ainsi, outre les séjours de vacances qu’elle organise en France et à l’étranger, la structure du Haut-Doubs entend, à travers cet évènement festif, donner toute la place qu’elles méritent aux personnes en situation de handicap, notamment mental, et  toujours et encore faciliter leur intégration dans la société.

Ces deux jours  proposeront une belle programmation, ouverte au plus grand nombre. Artistes « grand public » et artistes handicapés se produiront sur scène. Pour cette nouvelle édition, les spectateurs pourront applaudir : Babylon Circus, Yves Jamait, Marion Roch, la Lue et Gliz. On notera également la participation de deux troupes composées de personnes en situation de handicap : les Belfortains de « Répercussion » et « les Undifférents », venus de Nîmes.

Pour de plus amples informations  : www.festi-diff.fr ou 03.39.33.00.60

L'interview de la rédaction / Aurélien Bouveret / Programmateur de l'évènement ( Odeva Publishing)

Adrien Gauthier, alias Kramer Mc Barett, vient de sortir son 2è EP. Le jeune homme de 25 ans, ingénieur du son de formation, a décidé de se lancer complètement dans la musique. Ainsi, il passe de l’autre côté de la scène et figure désormais sous le feu des projecteurs.

Après avoir expérimenté le rock, le hard rock et le métal, le Pontissalien s’est orienté vers le hip-hop. Les diverses consonnances qui le composent et le succès qu’il rencontre auprès d’un auditoire de plus en plus large l’on conduit à prendre ce virage.

Ne pas brûler les étapes

Adrien ne cache pas son envie de vivre pleinement de la musique, mais il ne veut pas brûler les étapes. Dans un premier temps, il entend distiller ses productions sur la toile et les plateformes musicales, avant d’envisager des projets encore plus ambitieux. Bien évidemment, comme tout artiste qui se respecte,  l’envie de réaliser un album et de se produire sur scène sont bien ancrés dans sa tête. D’ailleurs, il se pourrait bien que l’été prochain, vous l’aperceviez sur l’une des affiches promotionnelles d’un évènement.

Auto-producteur

Influencé par des sons anglosaxons, et notamment ceux de Mac Miller, Adrien est un véritable jeune artiste prometteur. Production, composition, interprétation, le jeune homme a de nombreuses cordes à son arc. Un véritable caméléon de la musique.

L'interview de la rédaction

 

Le 20 novembre prochain, les Eurockéennes de Belfort organiseront,  sur le site du Malsaucy,  la tenue d’une soirée électro « en résidence ». On y attend notamment Bob Sinclar, le célèbre DJ français. Les DJs Salut c'est cool, Bakermat et Paloma Colombe sont également au programme. 2000 spectateurs sont attendus. Ils pourront s’éclater sur un dancefloor de près de 2000 m2. En juillet dernier, le festival « En résidence secondaire » avait réuni 6000 spectateurs sur cinq jours.

C’est une nouvelle étape dans l’évolution de la prometteuse carrière de Gérald The Same, cet artiste au grand cœur, pompier professionnel, qui partage sa passion pour la musique depuis sept ans maintenant avec les Francs-Comtois. Artiste libre et engagé, Gérald vient de sortir « Legacy » (héritage en français). Composé de huit titres, ce premier album, tout en anglais, a été réalisé dans un studio d’enregistrement de la région, avec les cinq amis musiciens qui partagent sa deuxième vie.

Auteur et compositeur, Gérald est resté fidèle à lui-même. Ces morceaux, aux consonances pop rock, sont toujours autant chargés d’émotion et de messages personnels,  qui ne laissent pas indifférent.  Parmi les sujets évoqués, celui sur la mort de Georges Floyd aux Etats-Unis, baptisé « Black Lives Matter », ou encore ceux sur le respect des femmes et le harcèlement.

Après huit mois de préparation

Le monde musical de Gérald prend. Le public est au rendez-vous. L’artiste et son équipe ont pu tester leur dernière création il y a quelques jours sur scène à la Citadelle, en première partie d’un concert. Le spectacle  a séduit. La musique, la prestation scénique, l’interprétation du chanteur, … Tout y était.  Il faut bien avouer que la prestation est professionnelle et que les huit derniers mois de préparation ont permis au collectif de parfaire ses gammes.

Se professionnaliser encore

Toute cette expérience acquise donne des ailes et une vraie reconnaissance à notre pompier professionnel, bien déterminé à franchir un nouveau cap. Gérald recherche un label et un manager. Des maisons de disque et des radios à l’étranger ont également été démarchées. 2022 pourrait être l’année de Gérald The Same. Des contacts ont été noués ou sont en cours avec les responsables des grands festivals de la région. « Legacy » est à découvrir sur les plateformes de téléchargement. Des CD seront prochainement en vente chez les disquaires de la région.

L'interview de la rédaction