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A dix jours du Festival de la Paille, le Paléo Festival bat son plein à Nyon, en Suisse. Après deux éditions annulées en raison de la crise sanitaire, l’évènement est de retour. Ce 45è numéro se déroule jusqu’à dimanche sur un site entièrement repensé. Les festivaliers peuvent applaudir, cette année encore, des artistes prestigieux et de renommée internationale. Ce mercredi, Sting sera notamment sur scène. D’ici dimanche, Francis Cabrel, Roméo Elvis, Grand Corps Malade, Orelsan et Stromae sont attendus.

Ce vendredi et ce samedi, le Frambou’Can va s’emparer de Frambouhans. Au programme, deux jours de musique aux consonances pop/folk et rock. Les concerts débutent à 18h, et jusqu’à 1 heure du matin. A noter que samedi, de 12h à 17h, des animations seront proposées aux enfants.  Le rendez-vous est fixé sur la place de la mairie. Précisons que le prix est libre, c’est le public qui choisit.

La programmation

Vendredi

Malou (pop/folk)

Sons Of Rage (rock)

Les Fortunes Tellers ( Tribute Rolling Stones)

Samedi

Moana (pop)

Jyzzel (pop)

Seriously Serious (rock)

Back : N : Black (tribute ACDC)

C’est parti. La 32è édition des Eurockéennes de Belfort démarre ce jeudi. Quatre jours de fête et de musique pour les nombreux festivaliers qui feront le déplacement sur le site du Malsaucy. Le programme démarre dès 16h30 ce jeudi après-midi. Ce même jour, le public pourra applaudir : Stromaé et Bob Sinclar. Parmi les autres têtes d’affiche à découvrir jusqu’à dimanche soir : Clara Luciani, Simple Minds et Muse. Cette nouvelle édition accueille 54 artistes, dont 45 qui ne se sont jamais produits aux Eurockéennes. Le budget consenti, après deux années de covid, s’élève à 9,7 millions d’euros.

Le Pontissalien Gilles Petitjean, l’ancien chanteur du groupe Ivanov, qui n’a jamais quitté le monde de la musique, sort un 3è album, baptisé « le ciel est bleu ».  Entièrement produit, cet album, aux consonnances pop rock, venues tout droit  des années 70-80, est disponible auprès de l’artiste lors de ses galas. Il y a quelques semaines, Gilles se produisait à Levier, mais d’autres dates sont d’ores et déjà annoncées dans la région : le 1er juillet à Saint-Point-Lac, le 2 juillet à Doubs, mais aussi  dans toute la France, à l’occasion des soirées « années 80 », avec ses copains Patrick Hernandez et Lio notamment

Avec «  le ciel est bleu », Gilles Petitjean nous emmène dans son univers. Les titres choisis  varient d’une émotion à l’autre. Elles sont l’œuvre d’amis auteurs, mais l’artiste a également mis en musique les paroles d’une fan, qui lui a envoyé un texte émouvant, qui a donné naissance à la chanson « Place des anges ». On y parle d’écologie, des joies et des peines du quotidien. 

Un opus de 15 titres

Quinze titres composent ce dernier album. Le chanteur, compositeur, musicien, arrangeur,… présente un opus  qui « lui ressemble ». Il suffit d’apprécier la première couverture de cette réalisation, qui met en exergue les célèbres et mythique petites lunettes rondes de l’artiste. Sans oublier, le CD, en forme de 45 tours, qui rappelle la formidable épopée qu’était la décennie des années 80. Pour apprécier pleinement le travail de Gilles et s’immiscer dans son univers, rien de mieux que de prendre le temps de visionner les clips réalisés pour certains titres. Une démarche qui prouve, si tant est qu’il faille l’exprimer de nouveau, que l’artiste pontissalien dispose de nombreuses cordes à son arc. Super Gilles…

L'interview de la rédaction / Gilles Petitjean

Le collège Victor Hugo a mis en place des animations ce mardi 21 juin à l’occasion de la fête de la musique. Chorale, flash mob et concert pour célébrer autour de ce grand moment musical. Les élèves en cursus CHAM ont pu exprimer leurs arts devant leurs camarades.

À l’occasion de la fête de la musique, les élèves en classe CHAM (classe à horaires aménagés musicale) du collège Victor Hugo étaient à l’honneur. “C’est tout d’abord la fête de la musique des amateurs, pas des professionnels” déclare M.Deloffre, professeur d’éducation musicale. Malgré la pluie qui s’est mêlée aux festivités, ils ont tout de même pu performer devant les autres classes de l’établissement. Concert, chorale et flash mob étaient au rendez-vous. L’objectif de ces animations et faire découvrir le 4e art à une grande majorité de l’école. “Il y a plein d’écoles de musique à Besançon où ils peuvent aller s’inscrire où ils seront accueillis pour pouvoir en faire” rajoute le professeur à l’intention des élèves qui veulent se lancer.

Le flash mob quant à lui était une grande première pour le collège. Plus de 500 élèves coordonnés ensemble pour ne former qu’un, le tout sur une musique interprétée par un groupe de l’école. "C’est la première fois que je fais ça de ma carrière […] j’ai trouvé ça très bien, ça m’amuse bien” rajoute M.Deloffre. Une façon de faire participer un maximum de personnes. Pour ceux qui n’ont pas pu assister à la manifestation cour St François Xavier, une vingtaine d’élèves se sont rendus dans les salles de classe pour jouer des morceaux avec leurs instruments respectifs. Ces animations sont amenées à revoir le jour l’année prochaine suite au bon déroulement de cette édition. 

L'interview de la rédaction

 

La chorale universitaire de Besançon organise le vendredi 17 juin un concert au petit Kursaal de Besançon. Au cours de cette soirée, le public aura le plaisir d’entendre des reprises contemporaines a capella qui devraient ravir les oreilles averties, mais également néophytes. Parce que la musique permet aussi de s’évader et de voyager, un deuxième ensemble vocale « Grand Cœur » proposera un récital composé de chants du monde. Une quinzaine de morceaux est prévue. Soit environ 1h15 de concert. Au menu : Stromae, Noir Désir, Téléphone et des chants traditionnels.

Une association étudiante

La chorale universitaire est composée bien entendu d’étudiants, elle dépend de l’université de Franche-Comté, mais tous les amoureux du chant choral sont invités à rejoindre le collectif. « Le but, c’est de se faire plaisir, avec quand même un petit niveau » explique un de ses membres. Le collectif est composé de 70 adhérents. Entre 30 et 40 personnes composent chaque ensemble.

Le rendez-vous est fixé le vendredi 17 juin, à 20h30, au Petit Kursaal de Besançon. Infos et réservations : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Tarifs : plein 7€ / Réduit 4€ ; Gratuit pour les moins de 12 ans.

L'interview de la rédaction

 

Après deux ans sans musique, Julie Rousselet dit Jule, sort un nouvel album nommé “ Les bruits de l’âme ”, allant de l’amitié à l’amour en passant par les enfants. Cet album raconte des ressentis et des émotions sur la vie.

“Les bruits de l’âme”

Cet album est composé de 3 EP, comportant chacun 5 chansons.  Touchée par un cancer en 2015, ces nouvelles créations retracent le parcours de rémission de la jeune femme. On retrouve, “hypersensible”, “Le temps”, et “Résilience”. Le premier, sorti le 5 mai, décline des chansons à travers des thèmes relatifs à la vie, avec le regard d’une personne hypersensible. Aborder ce thème était très salvateur pour l’artiste, qui a longtemps vécu cet état d’esprit comme un handicap, avant de s’en servir.

“Je serais là”, le coup de cœur de Julie

Julie a ressenti beaucoup d’émotion lors de la création de  “Je serais là”, l’un des titres qui compose son 1er EP. Cette chanson évoque l’amitié et l’empathie. Cette ouverture vers l’autre est important car,  lors de sa maladie, elle s’est sentie beaucoup soutenue par ses proches. C’est la raison pour laquelle, elle tient à redonner toute l’aide qu’elle a reçue. Les paroles de cette chanson lui correspondent tellement.  

Retrouvez Jule sur la scène du Popoppidum le 9 juillet à Champagnole mais aussi lors du festival des “Vielles Spatule” à La Cluze et Mijoux.

L'interview de la rédaction / Julie Rousselet

 

Alan dit AL est un jeune rappeur pontissalien de 20 ans, qui rêve de vivre de sa passion, le rap. Il sort son premier single “Tout va bien” en collaboration avec OB production.  

La musique dans la peau

Depuis son plus jeune âge, Alan passionné par la musique, joue du saxophone et de la guitare et utilise cet art pour exprimer ses émotions.  Il est étudiant en BTS moteur et combustion interne, quand il décide d’arrêter ses études pour se consacrer entièrement à la musique.  Il commence par faire des petits "freestyle" sur Instagram  puis décide de se rendre en studio pour enregistrer son premier single.

“Tout va bien”

Fruit d’un travail d’une année, ce titre décline un texte sombre qui exprime un sentiment de détresse partagé par le rappeur.  AL raconte  qu’il essaie d’être le plus sincère possible dans ses textes, pour partager au mieux ce qu’il  à ses auditeurs.   Ce single est son premier projet, il est sorti il y a 3 semaines sur la plateforme de streaming Spotify. Il est accompagné d’un clip produit par Hastro Production à retrouver sur Youtube.


Nouveaux projets

Pour l’instant, AL n’a pas pour projet de donner naissance à un album mais, plutôt,  de sortir plusieurs singles pour faire connaître son travail.  Son prochain projet nommé “Vainqueur”, sera une suite au premier single. Il explique que cette nouvelle mélodie montre que l’on peut se relever face aux difficultés de la vie. C’est un message d’espoir contrairement à sa première création.

L'interview de la rédaction

La première édition de 2019 avait réuni plus de 12.000 festivaliers au Russey. Après deux années difficiles dues au contexte sanitaire, le Pop’Cornes Festival revient agiter la commune du Haut-Doubs du 3 au 5 juin. Cette bande de potes du Russey, animée et passionnée par la musique, devenue une association de 19 personnes, porte cette volonté de pérenniser le Pop’Cornes Festival au sein de leur village. A l’affiche cette année : 23 artistes et groupes qui se produiront sur scène durant trois jours. De Christophe Maé au rappeur Rim’K, de Superbus à Soso Maness, sans oublier le metal de Lofofora, la pop d’Aloïse Sauvage et l’électro de The Avener, les scènes du Pop’Cornes Festival proposeront une programmation très variée, qui satisfera musicalement tous les goûts et toutes les générations. L’évènement souhaite également mettre en avant des artistes locaux chaque soir.

 

Les origines du festival

« C’est un projet d’une bande de potes » explique simplement Jordan Pavy, président du Pop’Cornes festival, et chargé de la programmation. « L’objectif était de faire découvrir différents styles de musique à un public très varié, avec des soirées à thèmes. Une soirée électro/rap plutôt destinée aux jeunes, une soirée rock/métal fidèle à nos valeurs, et un dimanche plus familial avec des groupes de variété française » poursuit Jordan. « On a pris confiance en nous au fil des années, on a été rassuré par les événements que l’on a organisés, on a trouvé nos marques, chacun sa place. On est une association de 19 personnes, chacun joue un rôle bien défini, ce qui nous permet d’avoir une organisation au top. On s’est lancé dans un événement plus grand, et jusqu’à aujourd’hui ça se passe très bien ». Si les éditions 2020 et 2021 n’ont pas eu lieu en raison du contexte sanitaire, les organisateurs ont tout de même souhaité garder la main en proposant « le Grain de Pop », un petit évènement qui a eu lieu à la fin du mois d’août de l’année dernière, pour témoigner de leur présence malgré une situation délicate.

Du côté de la programmation, vendredi sera dédié à une soirée électro/rap avec notamment la présence de The Avener, Soso Maness, Rim’K, et Aloïse Sauvage, « une touche féminine toujours sympa » comme le souligne Jordan Pavy. Samedi les deux gros artistes de la soirée seront Superbus et Jean-Baptiste Guégan. Les organisateurs tenaient aussi à proposer plusieurs groupes de métal, le thème des années précédentes, avec la présence de Lofofora, Sidilarsen, Black Bomb A. Et comme la variété avait plutôt bien fonctionné lors de l’édition 2019 avec les venues de Jennifer et Jérémy Frérot, dimanche ce seront Christophe Maé et les Négresses Vertes qui monteront sur scène.

 

L’édition 2022

Plus de 5000 personnes sont attendues chaque jour sur le site du Russey. C’est en tout cas ce que souhaitent les organisateurs. « Ce serait vraiment le top. C’est ce qu’on peut accueillir sur le site » détaille Jordan Pavy. Mais hors programmation, de nombreux critères seront déterminants dans le succès de cet événement. On pense évidemment aux conditions météorologiques, qui étaient venues perturber l’édition 2019. Petit changement cette année : une partie de la grande scène sera couverte, en cas de mauvais temps et abritera une partie du public. « On espère vraiment que ce sera une réussite, et croyez-moi, on se donne vraiment de la peine pour la bonne tenue de cet événement, et pour arriver à ces 5000 personnes par jour. Toute l’équipe est vraiment motivée à l’idée de repartir, tout le monde a envie de faire un bel événement cette année, pour faire encore de plus belles choses par la suite » clame le président du Pop’Cornes Festival.

Le festival est dans l’attente d’au moins 400 bénévoles et un appel a été lancé la semaine dernière. Des rôles bien différents sont à pourvoir au sein de l’événement. « Cela va de la restauration au bar, de la billetterie aux entrées, de la gestion au transport des artistes, de la gestion écologique, parce qu’on a décidé de mettre un point sur fort là-dessus cette année, comme par exemple avec une équipe qui fait le tri sur le site. Enfin il y a vraiment beaucoup de pôles différents, et chacun peut trouver sa place dans cet événement » explique Jordan Pavy.

 

Un point sur l’organisation

« Tout sera situé au même endroit, c’est la grande force qu’on a cette année par rapport à 2019 où nous étions éparpillés un peu partout » explique le président du festival. Le site verra le jour à côté du stade des Butiques, à la sortie du Russey en direction de Morteau. Un parking sera disponible à cet endroit, tout comme un camping gratuit, avec de la restauration de prévue : un brunch le matin, et une buvette l’après-midi ! Le tout juste à côté du site, pour que tout soit à disposition des festivaliers. Les places sont à retrouver directement sur le site internet du Pop’Cornes Festival mais également auprès des différents partenaires comme la FNAC. Au niveau des tarifs : 34€ pour le Pass 1 jour, 63€ pour le Pass 2 jours, et 92€ pour le Pass 3 jours. Un tarif réduit est proposé pour les moins de 14 ans.  

Vendredi 22 avril, Adam a livré l’une de ses premières interviews. A cette occasion, le chanteur bisontin est revenu sur son parcours, et a évoqué la sortie de son prochain EP le lundi 29 avril.

Un projet bien huilé

En cuisine un jour, en studio le lendemain, voilà globalement le quotidien que le chanteur de 27 ans a choisi de mener. Depuis 2019, Adam s’est lancé en tant qu’amateur passionné afin de découvrir réellement le domaine musical. Un premier clip comme un premier pas qui l’a convaincu de s’investir plus considérablement. Quatre ans plus tard, le jeune homme de 27 ans annonce la sortie de son premier EP, le 29 avril prochain, un « message de force et d’espoir » délivré à tous les mélomanes. « Une bonne expérience » pour lui qui n’a pas lésiné sur les moyens et s’est entouré de professionnels de la chanson, tels que Benoit-Marie Pardieux ou encore le studio Dynamix d’Ivry-sur-Seine. Un apport colossal pour guider ses projets et mener à bien ses ambitions.

De grandes ambitions

Adam veut avant tout rester sincère et authentique. Cet EP, c’est le fruit d’un travail consciencieux réalisé jour après jour. Alors, le désir de reconnaissance est important pour le chanteur qui espère « parler à beaucoup de monde ». Et s’il reste focus sur un objectif principal, faire connaître sa musique, Adam aimerait, à terme, échanger définitivement ses couteaux contre un micro : « Oui, j’envisage de me professionnaliser vraiment, et pouvoir ensuite créer un salaire mensuel provenant de ma musique. » Mais il ne compte pas s’arrêter là. Rempli d’ambitions, le jeune homme tend même à développer, à l’avenir, une marque propre à son identité. Et c’est tout le mal qu’on lui souhaite.

En attendant, vous pourrez retrouver Adam sur scène à l’occasion de la Fête de l’Europe, le 7 mai, place de la Révolution à Besançon.

L'interview de la rédaction / Adam