Des Monts d’Or, commercialisés le 10 septembre dernier par la fromagerie des Jarrons à Ville-du-Pont, près de Pontarlier, dans le Haut-Doubs, font l’objet d’un rappel sanitaire. Ils sont conditionnés dans des boîtes de 500 grammes, 725 grammes et 2,5 kilos.
Cela concerne plusieurs distributeurs dans toute la France, et dans les enseignes franc-comtoises : Chalet Jacquet SAS Chalet Querry Au Doubs Comtois Boucherie Renaudot Boucherie chez
Marius Essencia Arbois Essencia Poligny Pizza Thierry La Fruitière Morteau Gaec des Roches du Dard ( GAEC Chambon ) Chez Dens Hotel du pont de la Roche Le Haut dOurs
Une bactérie peut être présente. Elle peut provoquer une gastro-entérite aiguë, s’accompagnant de fièvre, diarrhées et douleurs abdominales, survenant 2 à 7 jours après la consommation. Toutes les infos sur : https://rappel.conso.gouv.fr/fiche-rappel/16688/InterneThu,%2021%20Nov%202024%2009:08:40%20GMT
En raison d’une possible contamination à la salmonelle, un lot de Mont d’Or AOP chaud de la fromagerie Badoz à Pontarlier est rappelé par les autorités.. Le lot en question est étiqueté "4279AF" et la date limite de consommation est le 14 décembre 2024. Ce fromage est commercialisé dans toute la France et plusieurs enseignes.
Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastro-intestinaux (diarrhée, vomissements) d'apparition brutale souvent accompagnés de fièvre et de maux de tête qui surviennent généralement 6h à 72h après la consommation des produits contaminés.
Selon une étude réalisée par Générations futures, rendue public jeudi, des traces de pesticide dans près des 2/3 des fruits et quasiment la moitié des légumes non-bio ont été constatées, entre 2017 et 2021. Ce résultat apparaît moins d’un mois après l’annonce de la suspension du plan Ecophyto en France.
Dans cette étude, on apprend que près de 94 % des échantillons de cerises comportent la trace d’au moins un pesticide. 91% des pamplemousses, 90% des nectarines et des pêches, 88% des raisins et 87% des oranges présentent des traces de plusieurs pesticides.
C’est la polémique du moment. Un tiers des marques françaises ont eu recours pendant des années à des techniques de purification illicites. Des faits qui ont été reconnus par le groupe Nestlé. Selon le journal « Le Monde », qui cite un rapport des inspecteurs de l’Inspection générale des affaires sociales, d’autres marques auraient pratiqué de façon identique. Une source gouvernementale réfute « tout risque sanitaire ».
En raison de la présence potentielle de la bactérie E. coli, une vingtaine de fromages, principalement de la raclette et du Morbier ont été rappelés par les services de l’Etat. Ces produits sortent de la coopérative jurassienne « Monts et Terroirs ». On les trouve principalement dans les enseignes Carrefour, Super U, Leclerc et Intermarché. Leur consommation peut entraîner des problèmes de santé, comme des diarrhées sanglantes, des douleurs abdominales et des vomissements, accompagnés parfois de fièvre. La priorité est de ne plus consommer ces produits, les jeter ou les rapporter sur leur lieu de vente pour se faire rembourser.