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Dans le cadre de l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT), le Syndicat Mixte du Pays du Haut-Doubs organise des réunions publiques dans les différentes communautés de communes du territoire. La présentation concernant la Communauté de Communes du Grand Pontarlier se tiendra le mardi 24 mai à 18h à la Salle Espaces Rives du Doubs à Doubs.  Elle est ouverte à tous.

Rappelons que l’objectif du SCoT est de prévoir l’aménagement du territoire pour les années à venir. Concernant le Pays du Haut-Doubs, il s’agit de préparer le territoire à l’accueil de 15.000 nouveaux habitants d’ici 20 ans. C'est également l’occasion de se positionner sur le développement touristique pour le Haut Doubs mais également sur l’avenir de l’activité agricole et forestière au regard de l’urbanisation.

Les talents de l’abbé Garneret n’ont pas fini de nous surprendre. Grâce à un nouveau don, né de la collaboration entre l’association Folklore Comtois et le Musée comtois (ville de Besançon), ce dernier, basé à la Citadelle, vient d’obtenir de nouveaux dessins et photographies qui viennent enrichir la collection de l’établissement bisontin. Ils apportent de précieuses informations sur le patrimoine franc-comtois. Toute une histoire…

CITADELLE MUSEE COMTOIS 3

Jean Garneret est un prêtre originaire du Doubs, né à Clerval en 1907,  qui avait un amour fou pour la Franche-Comté et ses habitants. C’est grâce à lui qu’ont été créés quatre musées entièrement consacrés au territoire, il est le fondateur des musée comtois à Besançon et de plein air des maisons comtoises à Nancray. Fervent conservateur du patrimoine régional, au cours de sa vie, armé de son stylo, de sa planche à dessin et de son appareil photographique, il sillonne la Franche-Comté et se forme à l’ethnologie de terrain. Cette collection est constituée de dessins de divers formats sur feuillets libres, réalisés par Jean Garneret entre 1923 et 1998, et concernant la Franche-Comté en grande partie. L'estimation quantitative du fonds est de 4 500 à 5 000 feuillets. Cet ensemble de dessins est un témoignage historique et artistique précieux pour l'histoire de la Franche-Comté au XXème siècle.

CITADELLE MUSEE COMTOIS 2

Un don inestimable

L'acquisition de cet ensemble par le Musée comtois permet d'enrichir de manière exceptionnelle ses fonds, en cohérence étroite avec les axes de son projet scientifique et culturel. Ces dessins viennent ainsi compléter le fonds photographique produit par Jean Garneret et les membres de Folklore comtois, déjà donnés par l’association au musée en septembre 2007.  Au total, l’établissement dispose d’un fond de près de 60.000 clichés et un ensemble de près de 69.500 clichés. Un vrai trésor patrimonial.

L'interview de la rédaction / Bruno Chaton ( président de l'association Folklore comtois)

L'association des Amis de la Cathédrale Saint-Jean de Besançon et de son Trésor est heureuse de revenir cette année pour organiser cet événement samedi 14 mai, après deux ans d’arrêt.

De 15h30 à 22h,  le public est invité à venir découvrir la Cathédrale à travers des visites commentées assurées par des personnes formées par l’association mais pas que… En effet est aussi prévue une conférence à 17h assurée par un historien qui parlera du mécénat de Jean et Ferry Carondelet qui ont été deux personnages haut placés à la Renaissance et dont le tombeau de Ferry se trouve dans la Cathédrale. Ils ont tous les deux marqués l’histoire du monument.  

Une autre conférence se tiendra, assurée par la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), elle expliquera la façon dont les travaux se déroulent dans la Cathédrale, car c’est l’État qui finance ces chantiers : « Il y a une coopération entre l’État et le Diocèse Â» raconte Cécilia Goguillon. Les visiteurs pourront également découvrir une exposition autour d’un tableau présent dans la Cathédrale « La Vierge aux saints Â» de Fra Bartolomeo avec des panneaux explicatifs. La soirée se clôturera avec un concert de la chorale diocésaine à 20h, concert de chants liturgique qui sera accompagné par l’organiste Jean Bourgeois.

Infos pratiques : Pour en savoir plus sur le programme de la Nuit des Cathédrales, rendez-vous sur le site www.diocese-besancon.fr

L'interview de la rédaction / Cécilia Goguillon

Une forte détonation a été entendue en début d’après-midi sur un large territoire allant de Besançon à Dijon. Selon nos informations, il s’agit d’un avion qui a franchi le mur du son. Ce grondement, tel un violent coup de tonnerre, a été très rapide, suscitant néanmoins une belle frayeur chez ceux qui l’ont entendue.

Les fenêtres et le sol ont vibré. Heureusement, rien de grave. Rappelons que le mur du son est caractérisé par l’atteinte d’une vitesse au moins égale à celle de la vitesse du son dans l’air, soit 1.224 km/h. Ce qui provoque une onde de choc sous forme de déflagration supersonique.

« La mairie n’ayant pas tenu ses promesses Â», les parents de l’école Rivotte à Besançon ont décidé de se mobiliser de nouveau ce jeudi matin pour demander la mise en place d’une signalisation et les 20 km/h au sol pour faire ralentir les voitures à proximité de l’école. Le collectif « bien vivre à Besançon Â» dénonce quatre ans de combat sans fin. C’est la raison pour laquelle, un rassemblement s’est tenu ce jeudi matin, à 7h30, au square Castan.

Le cortège, composé d’enfants et de parents d’élèves, a ensuite regagné l’école. Les manifestants dénoncent l’absence de réactivité de la ville de Besançon qui, à leurs yeux, n’a pas conscience du danger. Avant d’envisager des actions davantage basées sur le long terme, il est demandé aux élus bisontins de prendre des mesures d’urgence pour faire ralentir les voitures. « Si ce n’est qu’une histoire de coût lié à la peinture, comme on nous l’a dit, on veut encore bien se cotiser pour l’acheter’ déclare un père de famille, soucieux de la sécurité de ses enfants.

ECOLE RIVOTTE VOITURE

« Des disputes quotidiennes Â»

Vidéos à l’appui, le collectif rappelle l’inconscience de certains automobilistes. ‘Les voitures en transit nous font du mal Â» explique un manifestant. « Pour éviter les bouchons, certains n’hésitent pas à prendre cette route, en roulant à vive allure, sans se soucier des piétons et des enfants de l’école Â» ajoute-t-il. Et de terminer, « ce sont des conflits quotidiens Â». De nouveaux courriers ont été envoyés à la ville de Besançon. Chacun espère qu’ils ne resteront pas sans réponse.

L'interview de la rédaction

 

La transhumance des chèvres est de retour à Besançon. Elle est programmée le dimanche 22 mai, à 9h30, au départ de la promenade Chamars, et jusqu’à la colline de Planoise. Soit un parcours de 8 kilomètres.

Après un hiver passé à l’abri, les 80 chèvres et 40 brebis du troupeau municipal ont quitté leur lieu d’hivernage pour rejoindre leurs premières pâtures dans les collines ou prairies de la ville. Une partie du troupeau participera à l’animation prévue à cette date.

Au cours de cette randonnée, les marcheurs découvriront les fonctionnements de l’éco pâturage, ainsi que plusieurs solutions de protection de la biodiversité. Ils participeront également à plusieurs activités en pleine nature tout au long de l’après-midi.

Tout le programme est à retrouver sur sortir.besancon.fr. En cas d’intempéries, la manifestation sera annulée.

Depuis les années 2012-2013, il est compliqué de trouver du personnel pour surveiller les plages. Didier Hernandez est maire de la commune des Grangettes et président du syndicat  mixte des Deux Lacs. Il a la charge d’organiser surveillance des plages. Il fait le point sur la situation.

La recherche des surveillants de baignade diplômés pour cet été a déjà commencé par l’intermédiaire de pôle emploi et de la faculté des sports de l’université de Franche-Comté. Tous les moyens sont mis en place pour éviter un manque de surveillants : « On a essayé de recontacter ceux qui ont assuré cette mission  l’an dernier. On va voir si on a des retours favorables Â», déclare le maire qui ne cache pas son inquiétude quant à la possibilité de fermer une ou plusieurs plages si le manque de surveillants est trop important. En tout ce sont six plages qui sont à surveiller mais le nombre trop faible de surveillants a fait que l’année dernière, seulement trois plages ont pu être surveillées.

Inquiétude pour cet été

« En 2008, on surveillait six plages, on avait à peu près quinze personnels et depuis 2013 on en trouve difficilement huit ou neuf Â». Le nombre de plages a par conséquent été restreint. Cela  se limite à une plage surveillée sur les Grangettes, une à Labergement-Sainte-Marie  et une à Oye-et-Pallet à la sortie du lac Saint-Point. Le maire des Grangettes espère que les vacanciers pourront profiter aux mieux des plages cet été mais pour l’instant la situation reste délicate : « On verra avec le comité syndical comment on gère la situation Â». Toutes ces plages rassemblent des milliers de personnes tous les ans.

Infos pratiques : Pour avoir des informations sur la surveillance des plages, contacter Sébastien Donzelot : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou la communauté de commune des lacs et montagnes du Haut-Doubs : 03 81 49 10 30.

L'interview de la rédaction / Didier Hernandez


La Ville de Morteau prépare son prochain tournoi sportif estival. Il se déroulera le dimanche 26 juin, de 9h à 20h, à la Plaine des Sports et des Loisirs. Il est ouvert à toutes les personnes majeures, hommes et femmes, licenciés ou non d’un club sportif. Chaque équipe devra présenter une liste qui comportera de 6 à 8 joueurs, dont une féminine au minimum.

Les équipes s’affronteront dans quatre disciplines : basket ball, bubble bump, football, beach volley et tir à l’arc. Le tournoi sera annulé en cas de pluie ou météo incertaine.

Le règlement du tournoi et la fiche d’inscription sont disponibles sur le site internet de la ville de Morteau : www.morteau.org . Prix de l’inscription : 5 euros par joueur. La clôture des inscriptions est fixée au 15 juin.

Ce jeudi 5 mai, la Ville de Morteau inaugure sa maison des soignants. Il s’agit  de la deuxième structure avec ce concept fort en région Bourgogne Franche-Comté. Son principe est simple, mais répond aux attentes des professionnels ou futurs professionnels et du territoire. Cette maison n’a pas vocation d’accueillir des patients, mais des soignants. Il leur est ainsi proposer un lieu d’hébergement et des conditions de vie des plus agréables pour les aider à s’installer sur ce secteur du Haut-Doubs et venir compléter l’offre de soins et les maisons de santé locales. Les loyers pratiqués sont intéressants et assurent à ces internes en médecine et autres stagiaires un précieux point à terre.

Cédric Bole, le Maire de Morteau, le reconnaît, « cette démarche répond complètement aux enjeux du Val de Morteau dans le domaine de la santé et de l’organisation des soins Â». Eloigné des grands pôles universitaires de médecine, ce secteur géographique doit innover pour mieux envisager l’avenir. « Près de 60% de nos médecins ont fait valoir leur droit à la retraite entre 2019 et 2022. Face à ce constat, nous avons souhaité réagir et rendre attractif notre territoire Â» précise l’édile.

maison soignant morteau 2

Une initiative payante

Ce projet porte les fruits attendus. « A ce jour, sur les cinq espaces créés, trois seront prochainement occupés Â» se félicite le maire de Morteau. La question du logement est un véritable problème, qui touche aussi ce secteur d’activité. Au total, la maison des soignants de Morteau, située non loin de l’hôpital de proximité,  se décline en trois chambres individuelles,  avec sanitaires et des espaces communs,  et deux studios d’environ 30 m2 chacun.

maison soignant morteau

L'interview de la rédaction / Cédric Bole, Maire de Morteau

Le boulanger bisontin Cédric Girod (35 ans) représentera la région Bourgogne Franche-Comté lors de la finale du 8è concours national de la meilleure baguette de tradition française qui se déroulera du 16 au 18 mai sur le parvis de la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Cet évènement est à l’initiative de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française.

L’artisan bisontin, qui est sorti vainqueur des épreuves départementale et régionale, aura six heures pour fabriquer, sur place et devant le public, 40 baguettes de tradition française répondant aux exigences du décret de septembre 1993. Aspect, croûte, arôme, mie, mâche, goût… Rien n’échappera au jury composé de professionnels chevronnés.