Christine Bouquin réagit, dans un communiqué de presse, à l’affaire mettant en cause Daniel Benazeraf, lorsqu’il occupait la fonction de président de l’ADAT, une antenne du conseil départemental du Doubs. Rappelons que ce dernier a détourné 127.000 euros d’argent public pour son usage personnel.
Mme Bouquin souligne qu’elle a pris ses responsabilités lorsqu’elle a eu écho de ces malversations. Un signalement a été effectué auprès du procureur de la république, une révocation a été prise et une plainte a été déposée. Christine Bouquin tient à préciser qu’aucun signalement n’a été effectué par les autorités de contrôle de l’organisme à ses services. Elle ajoute qu’elle se constituera partie civile « pour le double préjudice et d’image qu’elle subit ».