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Un homme devra s’expliquer en septembre prochain devant le délégué du procureur dans le cadre d’une ordonnance pénale. En possession d’un couteau, il a été interpellé le 7 juillet dernier, rue Battant, à Besançon. Il présentait un taux de plus de 2 grammes d’alcool dans le sang. Lors de son audition, après dégrisement, il a expliqué qu’il possédait cette arme « pour se défendre ». Par ailleurs, il a indiqué « n’avoir menacé personne ».

Une nouvelle action, menée par le groupe antifasciste de Besançon, se tiendra ce jeudi soir à 20h. Elle s’inscrit dans le cadre des élections législatives et la lutte contre les idées racistes et la possible arrivée au pouvoir du Rassemblement National. Le rendez-vous est fixé sur la place Pasteur.

Deux jeunes hommes, âgés de 22 et 23 ans, ont été condamnés à 12 mois de prison avec sursis, à la suite d’une rixe,  survenue le 16 avril dernier, vers 21h15, route de Champagney à Besançon. Le motif de la bagarre reste confus. La victime, qui souhaitait porter plainte, ne s’est toujours pas rendu au commissariat.

Les deux protagonistes, dont l’un d’eux faisait l’objet d’un contrôle judiciaire lui interdisant de porter une arme, ont reconnu les faits, tout en tentant de minimiser leur responsabilité. Selon eux, la victime aurait fait usage de gaz lacrymogène à leur encontre sans raison apparente.

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus cet après-midi, vers 15h, à Lavigny pour un feu de bâtiment agricole. La bâtisse contenait du fourrage et du  matériel agricole et de stabulation. L’action rapide des secours a permis la mise en sécurité des animaux. 29 sapeurs-pompiers et seize engins se sont rendus sur place.  

Dimanche matin, les sapeurs-pompiers sont intervenus à Mouthe pour une pollution aquatique. Un volume, compris entre  0,5 et 1 m3 de petit lait,  a été déversé dans la rivière. Les secours ont procédé à la dissolution du produit au moyen d’une lance. L’Office Français de la Biodiversité s’est rendu sur place.  

Un homme de 38 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 4 juin, à Besançon, alors qu’il venait de refuser un contrôle, les policiers ont constaté que cet individu présentait un défaut de permis de conduire et d’assurance. Lors de sa garde à vue, durant laquelle il a été fait appel à un interprète en langue arabe, il a admis avoir tenté prendre la fuite pour échapper à des poursuites éventuelles, ne se sachant pas en règle.

A Besançon, un homme de 34 ans a été condamné à 18 mois d’emprisonnement, dont 12 mois avec sursis probatoire, pendant 2 ans. Aucun mandat de dépôt n’a été prononcé. Le 3 juin dernier, lors d’une transaction, à Besançon, rue Léonard de Vinci, une patrouille a découvert sur lui : 239 grammes de résine de cannabis, 13 grammes d’herbe et un sachet de 30 grammes de cocaïne, conditionnés pour la revente. La perquisition menée à son domicile n’a rien donné.

Une affaire de fugue a rapidement été résolue par les policiers pontissaliens hier. Elle  concerne un jeune mineur de moins de 14 ans, qui avait laissé un mot. Après cinq heures d’errance, entre 13h et 18h, l’adolescent a finalement été retrouvé. Pour l’heure, il ne s’est pas encore exprimé sur les raisons de ce départ. Il sera prochainement convoqué pour le faire.

Un grave accident de bûcheronnage s’est produit cet après-midi à Bief (25). Un homme de 62 ans a été blessé à la tête. La victime a été transportée, par l’hélicoptère Dragon 25, sur le centre hospitalier Jean Minjoz à Besançon.

A l’appel de l’intersyndicale, les blocages des maisons d’arrêt se poursuivent ce vendredi après l’attaque mortelle d’un fourgon pénitentiaire survenu mardi dans l’Eure. A Besançon, une cinquantaine d’agents  se sont encore rassemblés ce jour, devant la prison, pour exprimer leur colère, leur tristesse et dénoncer leurs conditions de travail. Pour l’heure, un retour à la normale n’est pas envisagé, tant que les propositions du ministre seront jugées insuffisantes et peu précises.

PRISON BESANCON

A Besançon, comme ailleurs, les agents sont déterminés à poursuivre leur mouvement. Et ce, même si cette mobilisation perturbe le fonctionnement de la structure. Christophe Vernerey, représentant local Ufap-Unsa justice, regrette que les nombreuses difficultés précédemment exprimées n’aient pas été entendues par leur autorité de tutelle. « Une prise de conscience qui aurait pu éviter le drame qui est survenu », selon lui. « Cela aurait pu être n’importe lequel d’entre-nous » termine  notre interlocuteur.