Après son excellente entame de championnat la semaine dernière, le Grand Besançon Doubs Handball va devoir confirmer ce vendredi soir. Pour cette deuxième journée en Proligue, les hommes de Christophe Viennet reçoivent Massy-Essonne, à 20h30, au Palais des Sports.
Pour le coach bisontin, la présence en play-offs, en fin de saison régulière, passe obligatoirement par la capacité à conserver une bonne dynamique tout au long de la compétition. Cet état d’esprit s’obtiendra et se maintiendra grâce aux résultats et aux performances obtenus. Le technicien bisontin sait que ce n’est que le début d’un long chemin et un dur labeur. « Ce championnat sera très dense. Il faudra être ambitieux et vigilant chaque semaine. La saison sera longue, fatigante, mais intéressante » explique-t-il. Et de poursuivre : « chaque point sera arraché chèrement ».
L'interview de la rédaction : Christophe Viennet
Massy, le nouvel adversaire
Il en faudra de l’envie, de la rage et des crocs aux handballeurs bisontins pour s’imposer face à Massy-Essonne demain soir. Certes, l’adversaire reste sur une déconvenue, à la maison, contre Sélestat ( 32-42) la semaine dernière, mais il est réputé pour ses qualités offensives, sa vitesse et sa technicité. La victoire passera, sans doute, par la capacité à proposer une vraie solidité en défense. « Vu la physionomie de leurs deux derniers matches, leur défense laisse apparaître des opportunités, mais, ils ont, sans doute, effectué des réglages sur ce point depuis. Nous ne sommes qu’en début de saison » conclut l’entraîneur, qui souhaite voir son équipe « jouer aussi bien que lors de la 1ère mi-temps face à Angers, il y a une semaine ». Affaire à suivre.
L'interview de la rédaction : Christophe Viennet
Six ans après. Il aura fallu six ans avant que la justice se positionne sur l’affaire concernant l’agression d’un footballeur amateur du CS Frasne, en septembre 2018, face au club de Planoise Saint-Ferjeux, aujourd’hui dissous. La victime dénonce la lenteur et les dysfonctionnements administratifs, avec, notamment la perte de son dossier, qui ont eu des répercussions, selon elle, sur les condamnations prononcées. Précisons que les quatre prévenus étaient défavorablement connus de la police et de la justice. L’un d’eux, actuellement incarcéré suite au règlement de compte à Planoise, sur fond de trafic de drogue, n’était pas présent lors de l’audience de ce lundi. Il n’a pas souhaité être jugé par visioconférence. Il comparaîtra en février prochain. Quant aux trois autres protagonistes, aujourd’hui âgés d’une trentaine et d’une quarantaine d’années, ils vont devoir payer des dommages et intérêt, dont le montant n’a pas encore été fixé. Ils devront également s’acquitter, individuellement, de la somme de 700 euros.
Des séquelles physiques et psychologiques
Aujourd’hui jeune père de famille de 30 ans, ce jeune sportif du Haut-Doubs dénonce « une justice bien trop tardive ». Cette agression, « pour un simple match de foot », hante encore son quotidien. « Cela reste douloureux. Psychologiquement, c’est dur. J’ai failli mourir. J’ai perdu en acuité visuelle, au niveau de mon œil droit » déclare-t-il. La passion du football n’est plus la même. Les crampons ont été rangés. Le papa footballeur est devenu un papa supporter. Son intérêt pour le ballon rond se conjugue aux performances de son jeune fils de 5 ans. Le parcours judiciaire est loin d’être terminé. Ses agresseurs seront fixés en juin prochain sur les indemnités qu’ils devront payer. Affaire à suivre.
En football. En régional 1. Lors de ce début de saison, les clubs de Saint-Vit et Champagnole montrent des difficultés dans le groupe A. Après trois journées, les Saint-Vitois sont lanternes rouges, avec un seul petit point. Champagnole est dixième. Ce dimanche, les Jurassiens ont été vaincus, sur leur pelouse, par Selongey sur le score de 1 but à 0. On notera le sursaut de la réserve du Racing Besançon, qui s’est imposée, sur le score de 3 buts à 1, face à Sens.
Dans le groupe B. Toujours pas de points pour Valdahon Vercel, battu, à Paul Robbe, par la réserve de Pontarlier. Morteau Montlebon doit se contenter d’un nul après son déplacement à Saint Apollinaire ( 1 but partout). Val d’Amour souffre. Les Jurassiens ont été battus, 8 buts à 0, à Grandvillars.
Le cycliste Slovène Primoz Roglic a remporté l’édition 2024 de la Vuelta. Le Jurassien Clément Berthet termine en 20è position. Le Franc-Comtois a pris la 60è place sur la dernière étape de cette nouvelle édition en terre espagnole.
L’ESBF a remporté son premier match de la saison hier soir. Le groupe de Jérôme Delarue s’est imposé lors de cette rencontre, comptant pour le 1er tour de la Coupe de France. Les Engagés ont vaincu leur adversaire, Strasbourg, Achenheim, Truchtersheim sur le score de 27 à 34.
Il y a du handball ce vendredi soir. A 20h30, le Grand Besançon Doubs Handball affronte Angers pour le compte de la 1ère journée de championnat en ProLigue. La confrontation se disputera dans le Maine-et-Loire. Les Bisontins visent les play-offs, qui leur ont échappé de peu la saison dernière.
Le Grand Besancon Doubs Handball s’est incliné hier soir, au palais des sports Ghani Yalouz, dans le cadre des 16ès de finale de la Coupe de France. Les handballeurs bisontins n'ont rien pu faire face à Chambéry, une formation de Starligue. Les Bisontins ont été vaincus sur le score 25 à 34.
Le FC Sochaux Montbéliard s’est incliné hier soir, lors de la 3è journée de championnat en national. Les Francs-Comtois ont été battus sur le score de 1 but à 0 par le Mans au stade Bonal.
Le BesAC dispute, ce mardi soir, son quatrième match de préparation, en vue de la prochaine saison sportive. Les basketteurs bisontins affrontent Lausanne. Une montée en régime est attendue. Côté bisontin, l’infirmerie commence à se remplir. D’où l’absence de quelques cadres ce soir. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 19h30 à Lausanne. La reprise du championnat en nationale 1 est programmée le 14 septembre prochain, avec un déplacement au Havre.
Avec quatre médailles d’or, et autant de records olympiques, et une de bronze, Léon Marchand a marqué les dernières olympiades. Dans le Haut-Doubs, au club nautique de Pontarlier, on s’attend à un intérêt encore plus grand pour la discipline cette saison. Même, si pour l’heure, il ne s’agit que de préinscriptions, la boîte mail de l’association a davantage été sollicitée. Tous ne performeront pas. Tous ne s’investiront peut-être pas dans la durée. Néanmoins, tous ont envie de découvrir cette discipline, qui nous a tellement procuré de belles sensations cet été.
Avec ces 700 licenciés, en y associant l’école de triathlon, le club nautique de Pontarlier propose de nombreuses activités qui savent répondre aux attentes de son public. Certes, la compétition y a toute sa place, mais le plaisir est également un ingrédient important, qui conduit parfois à la réussite. Dès la petite enfance, le jardin aquatique permet aux petits nageurs de s’initier. Certains enchaîneront avec l’école de natation, qui leur permettra d’accéder progressivement à la compétition. Cette progression doit s’effectuer par étapes. C’est la raison pour laquelle Dorian Jung, le responsable technique du club, a créé une passerelle, en fin de formation, à l’école de natation, pour rassurer et faciliter l’accession aux courses.
L'interview de la rédaction : Romain Tuetay, Président du Club Nautique de Pontarlier
Léon Marchand
Comme il a pu l’expliquer lors des interviews qu’il a accordés à la presse, Léon Marchand s’est investi durablement vers l’âge de 12-13 ans dans son sport. Ainsi, la formation et l’accompagnement professionnel des jeunes sont des ingrédients indispensables pour que les résultats se concrétisent. La performance est à la portée de tous. Encore faut-il s’en donner les moyens ? A Pontarlier, pour que les jeunes performent, jusqu’à six séances d’entraînement hebdomadaires sont assurées. Le hasard n’existe pas.
Début des inscriptions le 2 septembre
L'interview de la rédaction : Olivier Rota, Vice-président du Club nautique de Pontarlier
A Pontarlier, comme ailleurs, les performances de Léon Marchand ont été observées et scrutées. Elles ont enthousiasmé. Certains se sont même projetés. Dans quelques jours, le 2 septembre, les jeunes haut-doubistes viendront confirmer cet envie, dans les domaines de la natation compétition, la natation artistique ou le triathlon. Les entraîneurs et bénévoles pontissaliens sont dans les starting-blocks. Et si un futur Léon Marchand se révélait à la piscine municipale de Pontarlier ? Tout est possible. Et si le Haut-Doubs excellait aussi dans d’autres disciplines que les sports de glisse ?