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Dans le cadre du parcours citoyenneté, des élèves de seconde SAPAT du lycée des Fontenelles ont organisé en fin de semaine dernière une marche symbolique et gourmande au profit de l’association ELA. Une manifestation qui a notamment  Ã©té rendue possible grâce aux produits offerts par des commerçants locaux.

les fontenelles marches gourmandes

Pour réconforter les participants, les jeunes organisateurs avaient également pris le temps de confectionner des pâtisseries. Un parcours, à proximité du lycée, avait été tracé dans les bois et les prairies du secteur. Les conditions climatiques ont rendu le périple compliqué, mais chacun a offert le meilleur de lui-même pour cette belle cause.

LES FONTENELLES MARCHES GOURMANDES 3

100 euros ont été récoltés. Merci à Flora, Léane et Klara pour leur bel investissement. Cet argent sera reversé à l’association ELA pour son combat contre les leucodystrophies, des maladies rares qui détruisent la myéline du système nerveux.  

A Pontarlier, Anne Lise Ballyet, l’élue en charge de la jeunesse, lance un appel à projets « initiatives jeunes Â». Cette démarche citoyenne s’adresse à tous les jeunes domiciliés, scolarisés ou travaillant dans la cité du Haut-Doubs, âgés entre 14 et 25 ans.

Rendre les jeunes acteurs sur leur territoire, leur permettre de s’exprimer, de mettre en place des actions et de prendre des responsabilités et de les assumer, tels son les enjeux de ce projet, qui fait suite à un questionnaire que l’élue et le service éducation, jeunesse et politique de la ville ont lancé au début de ce mandant.

A toi de jouer !

Anne Lise Ballyet a voulu un cadre «  le plus souple possible Â». L’objectif étant d’être efficace et de ne pas se perdre dans des démarches administratives compliquées et repoussantes. Pour faire simple, il suffit de se rapprocher d’un structure partenaire ( maisons de quartier, Point Information Jeunesse et service jeunesse de la ville), de déposer un dossier de candidature et décliner son initiative le plus précisément possible. Et ce, deux mois avant sa réalisation.

Un premier budget de 5.000 euros

Pour cette fin d’année, le conseil municipal de Pontarlier a voté une subvention de 5.000 euros. Entre 10.000 et 15.000 euros pourraient être accordés pour l’année 2023. Les projets collectifs seront privilégiés. Toutes les idées sont les bienvenues : environnement, animation dans un quartier, évènement sportifs, projet avec une association caritative ou humanitaire, intergénération, … . Tout est possible.  Anne Lise Ballyet espère que cette initiative rencontrera un franc succès. En tout cas, elle a le mérite de s’intéresser à la jeunesse et lui donner la possibilité d’agir. Chaque dossier sera minutieusement examiné. Une fois l’action réalisée, ses organisateurs auront trois mois pour produire un bilan.

Pour obtenir de plus amples informations : Initiatives jeunes - Ville de Pontarlier (ville-pontarlier.fr)

L'interview de la rédaction / Anne Lise Ballyet

 

Grande journée de mobilisation interprofessionnelle ce mardi. Les salaires et les réquisitions sont au cÅ“ur des revendications. Des perturbations sont à prévoir dans les administrations, l’éducation nationale ou encore les transports. La mobilisation dans les lycées professionnels devrait être suivie. La reforme concernant ces établissements ne passent pas. La suppression de près de 50% des heures de cours, au profit de stages en entreprise est contestée. « L’adaptation constante des formations dispensées par l’éducation nationale au monde économique Â» est fustigée.

Plusieurs rassemblements sont annoncées : à 10h30, place Pasteur à Besançon et à 17h, devant les préfectures de Dole, Lons-le-Saunier et Saint-Claude.  A l’éducation nationale, les enseignants ont prévu de se rassembler, ce mardi, à 10h, en assemblée générale devant chaque lycée professionnel. A 15h, ils participeront à un rassemblement académique sur la place du 8 septembre à Besançon.

L'interview de la rédaction / Nathalie Faivre ( syndicat SNES/ FSU)

 

Le Hacking Health bisontin, le 6è marathon d’innovation consacré à la santé débute ce vendredi. Durant 48 heures chrono, les 300 participants attendus vont se mobiliser pour trouver les meilleures solutions aux problématiques répondant à des besoins quotidiens de soignants, patients ou personnes en situation de handicap. Au total, ce sont 20 nouveau défis qui sont proposés. Pour cette nouvelle édition, on notera la participation de 25 étudiants étrangers qui effectuent leur master ou leur doctorat en Bourgogne-Franche-Comté.

La Mission Locale du bassin d’emploi de Besançon fête ses 40 ans. Tout au long de ce mois d’octobre différents évènements sont organisés. Ce jeudi, une après-midi portes ouvertes s’est tenue  sur les deux sites de l’organisme, rues Marmier et Midol. Pour l’occasion, un jeu de pistes était proposé aux visiteurs, qu’il s’agisse des partenaires ou du public visé, les jeunes âgés entre 16 et 25 ans.  Onze stands thématiques ont été pensés. Ils présentaient, sous la forme d’énigmes et d’épreuves,  le parcours et les différentes prises en charge et informations dont peut bénéficier un jeune. La problématique des mobilités et de la santé étaient par exemple abordés.

Accueillir et redonner confiance

La prise en charge d’un jeune est complexe. Elle doit être globale. La seule orientation professionnelle n’est pas suffisante. D’autres accompagnements doivent être menés. Co-construire un projet personnel et professionnel avec un jeune ne s’improvise pas. De multiples compétences doivent être travaillées. Ne pas reproduire les mêmes erreurs qu’à l’Education Nationale, où la prise en charge collective d’une classe d’âge a montré ses limites.  L’état attend des résultats rapides, mais certaines situations demandent du temps et de la patience. Ce qui n’est pas toujours possible. « Nous avons besoin de davantage d’interconnexions avec les services de l’état. Nous devons être moins dans les chiffres. Le financeur attend des résultats en termes quantitatifs. Alors que nos évaluations sont autres Â». explique Didier Paineau, Président de la Mission Locale bisontine. Et de conclure : « il ne faut pas que la structure devienne un espace bureaucratique et bureautique, mais un lieu de vie, où l’humain a toute sa place Â».

Le reportage de la rédaction / Laurine Baudrey et Cindy Arbey ( conseillères à la Mission Locale de Besançon). Didier Paineau, Président de la Mission Locale bisontine. 

La Ville de Besançon fait savoir qu’en raison du manque d’animateurs, elle est contrainte de fermer l’accueil périscolaire de l’école maternelle Edouard Herriot les après-midis du lundi 10 au 14 octobre. Il est indiqué que, dans ces conditions, la cité n’est pas en capacité de garantir le respect des taux d’encadrement et la sécurité des enfants.

Les vacances d’automne se préparent à Pontarlier. Durant trois jours, les 26, 27 et 28 octobre prochains, les collégiens et lycéens du secteur sont invités à participer au projet cultures urbaines que leur propose le collectif ParlonCap.

Ainsi, dans le cadre de la mission éducative qu’ils se sont fixés, Eric Louvrier, le coordinateur de cette structure,  qui regroupe les quatre établissements sociaux  de la cité du Haut-Doubs ( la Maison de Quartier des Pareuses, la Maison Pour Tous des Longs Traits, la MJC des Capucins et le Centre Social Berlioz),  et les directeurs permanents veulent intéresser les adolescents à tous les domaines artistiques. Rien de mieux que d’aborder ce milieu, parfois éloigné des jeunes, par le prisme des cultures urbaines.  Pour Eric Louvrier, « la culture doit s’adresser au plus grand nombre et ne pas être réservée qu’à une élite Â». Autrement dit, savoir casser les codes et les barrières pour susciter de l’intérêt et se découvrir des talents et des compétences.

Des professionnels avec la jeunesse

Pour cette nouvelle édition, les organisateurs ont associé le Musée de Pontarlier, qui accueillera des participants. Les cinq ateliers seront animés par des artistes et des professionnels,  désireux de partager leur savoir faire et leur passion. Les jeunes s’investiront sur un même domaine durant trois jours. Au programme : hip-hop, beatbox/rap/dj, customisation sur baskets et casquette, graff sur planche de skate et dessin de son autoportrait.

Une exposition finale, programmée le 28 octobre,  mettra en lumière les travaux réalisés. Quelques places sont encore disponibles. Pour obtenir de plus amples renseignements, n’hésitez à contacter l’une des quatre structures organisatrices.

L'interview de la rédaction / Eric Louvrier

Pour la 4è année consécutive, l’EFS et le Lions Club de Besançon organisent la collecte Sang Pour Sang Campus. Jusqu’à jeudi, un chapiteau de 50 m2 s’est installé sur le campus de la Bouloie. 200 jeunes y sont quotidiennement attendus Pour certains, il s’agit d’une première démarche. Un acte de générosité gratuit qui permet à ces jeunes adultes de s’inscrire dans une démarche de partage et de solidarité, dont certains bénéficient dans un autre contexte social.

SANG LIONS CLUB 2

Pour cette nouvelle édition, plus de 700 créneaux sont ouverts. Les étudiants bisontins sont attendus en nombre. Les équipes de l’EFS sont présentes pour assurer toute la partie liée au prélèvement. Quant aux bénévoles du Lions Club, ils sont mobilisés pour chouchouter les visiteurs. Ils assurent la distribution des collations d’avant et après don. Une démarche bienveillante à laquelle Anne Cupillard, la présidente du Lions Club de Besançon, tient.

Des besoins importants

Chaque année, il est important de renouveler les effectifs de donneurs sur un territoire. D’où l’importance de s’adresser directement à la jeunesse. Le campus de la Bouloie à Besançon est un endroit tout trouvé. En moyenne, entre 30 et 40 minutes sont suffisantes pour donner son sang. Comme le rappelle Mme Cupillard à ses étudiants, « un don permet de sauver trois vies Â».

SANG LIONS CLUB CUPILLARD

Le reportage de la rédaction / Annie Cupillard et le Dr Pierre Meillier

Ce jeudi 29 septembre, de 10h à 17h, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, avec le soutien du CCAS de la Ville de Besançon et le conseil local de la santé mentale du Grand Besançon, organise un forum santé dédié aux 16-25 ans. Le rendez-vous est fixé à l’espace Grammont, rue Mégevand. Une quinzaine d’organismes sont présents. On y parlera santé mentale, santé nutritionnelle et hygiène bucco-dentaire, vie affective et sexuelle, … Des animations à la fois ludiques et pédagogiques seront proposées. Elles permettront aux jeunes de mieux appréhender les démarches pour leur santé et rencontrer les acteurs locaux pour les accompagner.

L’ancien numéro 1 mondial, le tennisman suisse Roger Federer a choisi de raccrocher sa raquette. Il dispute actuellement la dernière compétition de sa belle carrière à Londres. A l’occasion de la Laver Cup.

A Pontarlier, au CAP tennis, ce nom résonne dans toutes les têtes. Les jeunes pratiquants reconnaissent le talent de ce champion hors pair. Sa technique, son charisme, son mental font de lui un exemple. Ils évoquent avec passion, le sportif qu’ils aimeraient devenir, qui s’est construit tout au long de sa carrière pour être l’homme, la star et le champion qu’il est. Ils ont conscience du travail, de l’abnégation et des concessions que cela représente.

Pour eux, même si le circuit ATP regorge de talentueux tennismen, sa succession sera compliquée. S’il faut donner un autre nom, ils lancent généreusement celui de l’actuel N°1 espagnol Carlos Alcaraz. L’avenir nous dira si cette option est judicieuse.

Le reportage de la rédaction : les jeunes pontissaliens