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Un recrutement de policiers adjoints (nouvelle appellation remplaçant les adjoints de sécurité) pour la zone Est est en cours. Les départements du Doubs et de la Haute-Saône sont concernés. L'affectation du candidat à l'issue de sa formation se fait dans le département choisi par l’intéressé lors de son inscription au concours. Rappelons que cet emploi concerne les 18-30 ans. Aucun diplôme n’est exigé. Il faut avoir la nationalité française.

Il s’agit d’un contrat à durée déterminée d’une durée de 3 ans (renouvelable une fois). La rémunération est de 1304 euros net.  La date limite des inscriptions au concours est fixée au 26 janvier prochain.
Pour candidater en ligne : https://www.devenirpolicier.fr/agenda/du-13-decembre-2021-au-26-janvier-2022

 

Ce samedi 11 décembre, le lycée Louis Pergaud organise son forum des grandes écoles de commerce. Les étudiants, lycéens et leurs familles pourront circuler parmi les stands représentant la plupart des grandes écoles de management et échanger avec des étudiants actuellement en école. On notera également la présence des professeurs des classes préparatoires du lycée Pergaud pour renseigner les visiteurs sur les meilleures voies pour intégrer ces établissements.

Deux rendez-vous sont à noter : A 10h : une conférence animée par Romain Casiez de Burgundy School of Business de Dijon sur le thème : « Pourquoi faire une classe préparatoire pour intégrer une grande école de management ? ». A 11h : une table ronde sur la problématique « Quels métiers après une grande école ? », en présence d’anciens étudiants actuellement en activité qui viendront présenter leurs parcours professionnels.

Les huit caisses primaires d’Assurance Maladie et le Crous Bourgogne-Franche-Comté ont signé le 26 novembre une convention de partenariat afin d’accompagner les étudiants de la région dans leurs démarches d’accès à la santé et de prévention. L’objectif est de favoriser l’accès aux droits des étudiants, y compris des étudiants internationaux, agir sur les difficultés d’accès aux soins ou le renoncement aux soins et renforcer l’information et l’accompagnement en santé des étudiants.

Deux chiffres sont à retenir : un tiers des étudiants déclare avoir renoncé au moins une fois à des examens ou soins médicaux au cours des 12 derniers mois pour des raisons financières.  Près d’un étudiant sur trois (31 %) a présenté les signes d’une détresse psychologique durant le confinement en 2020.

Ce samedi, Micropolis Besançon accueille Studyrama, le salon de l’orientation. Masqués et munis de leur passe sanitaire, lycéens, le plus souvent accompagnés de leurs parents, et étudiants sont nombreux à faire le déplacement pour se choisir un avenir. En pleine crise sanitaire, et a quelques semaines de faire connaître leurs premiers vœux sur la plateforme parcoursup, nous leur avons demandé si leur manière de penser leur orientation avait changé avec la crise sanitaire ambiante ? Réponses de jeunes.

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Les incertitudes et les difficultés de trouver la bonne formation professionnelle et l’école la plus adaptée sont bien réelles, mais elles ne sont pas liées à la crise sanitaire du moment. Les jeunes ont conscience de la réalité, mais ils croient en l’avenir. L’intérêt pour la formation qui leur ouvrira les portes du métier qu’ils veulent faire reste une priorité. Les parents d’ailleurs les encouragent en ce sens. « Ils souhaitent le meilleur pour nous et que l’on réussisse » raconte Thibaut. Néanmoins, ces jeunes gens ont conscience qu’en raison de la pandémie, certaines professions  vont évoluer avec les savoir-faire qui en découlent. C’est donc toute la réflexion qui est menée. Autrement dit, s’adapter aux nouvelles exigences de l’instant, imposées par une crise sanitaire qui a remis en cause certains schémas. Garder son objectif, tout en essayant de contourner l’obstacle, et se former en tenant compte et en anticipant les  enjeux de demain. Pour d’autres, la crise les a conduits à repenser leur projet.  Les conditions de travail dégradées et difficiles dans le secteur de la santé par exemple sont à l’origine d’une toute autre réflexion .

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Partir à l’étranger

Reste le problème des formations à l’étranger. « Faut-il prendre ce risque ?  Et si je me retrouvais sans rien en raison de la fermeture des frontières » s’interroge ce lycéen. L’idée d’intégrer le programme Erasmus reste son souhait premier, mais les incertitudes actuelles et futures ne sont pas pour le rassurer concrètement. Alors, « histoire d’assurer (ses) arrières », on envisage quand même un plan B dans la région.

Le 15è salon Studyrama se tiendra ce samedi 27 novembre à Micropolis Besançon. Cette manifestation s’adresse aux lycéens, étudiants et leurs familles. D’ici quelques semaines, les lycéens vont devoir faire connaître leurs premiers choix d’orientation. Autant dire que cette manifestation est la bienvenue. A Besançon, les 15-29 ans représentent près de 29% de la population et ils sont 30.000 à avoir choisi cette ville pour y faire leurs études supérieures.

Ce samedi, à Besançon, une centaine d’exposants seront présents. Ils déclineront au total 400 formations dans des domaines extrêmement variés (art, sport, management, ingénieur, numérique, commerce,…). Professionnalisation ou généraliste ? En alternance ou en initiale ? Les possibilités sont multiples et répondent aux choix et projets des jeunes. Universités, écoles spécialisées, grandes écoles, prépas, … accueilleront les visiteurs.  Des formations, longues ou courtes, professionnalisantes ou généralistes, allant de Bac à Bac +5, BTS, DUT, Licences, Masters, … seront proposées.  

Rendez-vous ce samedi, de 9h à 17h, à Micropolis Besançon. Entrée gratuite.

L'interview de la rédaction / Thomas Durieux, responsable du salon Studyrama de Besançon

Répondant à un appel à projet de la fédération française de handball, la Ville de Besançon et l’ESBF ont organisé ce mardi soir, au Palais des Sports, l’opération « Hand pour elles ». L’objectif étant de promouvoir l’accès à la pratique sportive pour les jeunes filles éloignées des terrains de sport.

Pour cette vraie manifestation sportive, organisée dans le cadre périscolaire, après deux années d’interruption en raison de la pandémie, ce sont 70 filles, âgées de 9 à 10 ans, issues de neuf écoles des quartiers prioritaires de la ville ont répondu présent.  Comme le souligne, Théo Bryère, le responsable du secteur amateur à l’ESBF, « l’objectif est avant tout de prendre du plaisir, avant de penser au résultat et à la performance sportive ». Tout le monde espère que ces jeunes filles auront envire de poursuivre l’aventuSPORre et de s’investir dans ce sport collectif, au sein d’un club dont le savoir-faire en termes de formation n’est plus à prouver.

Le reportage de la rédaction : Frédérique Tournoux, coordinatrice périscolaire en charge du projet, et Théo Bryère, le responsable du secteur amateur à l’ESBF

 

La victoire est nette et belle. Les U18 nationaux du Grand Besançon Doubs Handball  ont confirmé ce dimanche après-midi ce qui était plus qu’une éventualité. Effectivement, grâce à leur domination sur Belfort, les Bleus sont désormais mathématiquement assurés de disputer le tableau haut du championnat de France. Ce jour, sur leur parquet, ils n’ont pas fait dans la dentelle en atomisant leur voisin franc-comtois sur le score de 41 à 22. Karim Bensedira, le coach bisontin, calme et décontracté sur le banc de touche, félicite ses joueurs.

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Désormais, même s’il reste encore deux journées dans ce championnat, le coach va préparer ses joueurs à l’échéance de janvier prochain. Effectivement, comme chaque saison, on serait tenté de dire que les choses sérieuses vont commencer dans deux mois, même si cette qualification est bien méritée. Le groupe s’est  préparé, depuis le mois d’août dernier, pour atteindre cet objectif. Du côté des joueurs, on attend les futures échéances avec impatience. Un  bon moyen de se confronter avec le cran supérieur du haut niveau.

L'interview de la rédaction

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Le groupe local bisontin des jeunes écologistes renaît de ses cendres. Après près de 10 ans en sommeil, les jeunes écologistes sont de retour à Besançon et en Franche-Comté. Ces jeunes gens, âgés entre 15 et 30 ans, militent aux côtés d’Europe Ecologie Les Verts « pour défendre les causes écologistes ». 

L’urgence climatique, les préoccupations liées à l’environnement, la justice sociale et la lutte contre les discriminations sont autant de combats que le jeune collectif entend mener. Une première action a été réalisée  dans la nuit, le 19 novembre dernier, pour sensibiliser à la pollution lumineuse et au gaspillage de l’énergie. Concrètement, ils ont éteint les vitrines des devantures des magasins de la Boucle bisontine à l’aide de manches confectionnées à la main.

Ce jeudi 18 novembre, un séminaire s’est tenu au sein du centre de secours principal de Besançon. Grâce au fonds de dotation Amichemi, une vingtaine de jeunes ont pu découvrir les métiers de la sécurité intérieure et de la justice. Ces étudiants, lycéens jeunes engagés citoyens ou issus de la mission locale ont pu échanger avec des policiers, des gendarmes, des pompiers et des agents de l’administration pénitentiaire. Ils ont également rencontré Jean-François Colombet, le préfet du Doubs.

Ces adolescents et futurs adultes ont trouvé cette initiative très formatrice. Ils ont obtenu les réponses qu’ils étaient venus chercher. Manon, en 1ère année de master sécurité et cyber défense à l’université de Franche-Comté a pu acquérir de précieuses informations dans le domaine du renseignement, un secteur qu’elle pourrait rejoindre  à l’issue de ses études. Erwan est un lycéen de 18 ans qui a eu écho de ce séminaire grâce à son professeur principal. Le jeune homme s’intéresse aux métiers de la gendarmerie. En pleine réflexion sur son orientation future, cette voie professionnelle fait partie des possibles. Alors, autant dire que cette journée lui a été très profitable.

Compte tenu de la qualité des échanges et de l’intérêt des participants, les intervenants locaux n’excluent pas d’envisager une seconde édition.

Le reportage de la rédaction : Manon, Erwan et le contrôleur général Stéphane Beaudoux

Après une petite pause bien méritée, les U18 nationaux du Grand Besançon Doubs Handball retrouvaient la compétition ce dimanche. Quasiment assuré de jouer les play-offs, le collectif de Karim Bensedira entend terminer de la plus belle des manières cette deuxième partie de saison régulière. Ce dimanche, il est allé chercher la victoire à Plobsheim.

Après une première mi-temps, compliquée, durant laquelle les consignes n’ont pas été respectées, le groupe s’est ressaisi. La victoire est nette et sans contestation. Score final 37 à 23. Dimanche prochain, place au derby, avec la réception de Belfort.