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Ce week-end, Nancy accueillait la 3è étape du circuit interrégional jeunes de badminton,. Six doubistes étaient au rendez-vous. Ils sont licenciés au Volant Bisontin et au badminton Val de Morteau. On notera la belle prestation du Bisontin Côme Daval qui remporte sa finale. Il décroche également l’argent en double homme avec son partenaire alsacien. Une performance qui lui ouvre les portes du circuit Elites Jeunes à Nantes du 25 au 27 mars.  

D’autres bons résultats sont à noter. La finale 100% doubiste chez les cadets qui a vu la victoire du Mortuacien Arthur Tatranov. On notera également la victoire d’Anastasya Tatranov en simple dame poussine.

La compétition se poursuit ce week-end à Voiron (38) pour un top élite nationale. Quatre jeunes champions bisontins et mortuaciens seront alignés.

Dans un souci d’ouverture culturelle et de développement social, physique et intellectuel de ses élèves, le collège Victor Hugo propose, en partenariat avec le Conservatoire du Grand Besançon, une classe à horaires aménagés de danse classique et contemporaine. Les premiers cours ont déjà été donnés, mais l’établissement scolaire prépare d’ores et déjà la prochaine rentrée scolaire. A ce sujet, une réunion d’information se tiendra le 3 mars prochain, à 17h30, au sein du collège bisontin.

Pour les jeunes pratiquants, les horaires de cours sont allégés afin de leur permettre de pratiquer leur passion. Ainsi, il est procédé à la suppression hebdomadaire d’une heure de cours en mathématique, français et sport. Le lundi après-midi,  à partir de 14h, le jeudi après-midi à partir de 15h et le vendredi après-midi, les élèves, encadrés par leur professeur de sport et un professeur du conservatoire,  découvrent et pratiquent cette discipline. Comme tiennent à le souligner les adultes, l’objectif n’est pas de faire de ces adolescents des danseurs experts, mais des pratiquants passionnés, avides de découverte, bien dans leur corps et leur scolarité.  

Mieux se connaître

Les organisateurs ont constaté les bienfaits de cette discipline sur leurs jeunes apprenants. La confiance en soi, l’estime de soi, le respect et la tolérance sont autant de qualité qu’elle permet de développer. Cette année scolaire, durant le premier trimestre, une classe entière de sixième s’est vu imposer la participation à ces cours, tous les vendredis après-midi. Il en est ressorti une mutation dans les comportements et une bien meilleure ambiance de classe. Un joli et enrichissant spectacle a conclu cette période. En plus des collégiens, des personnes en situation de handicap ont été associés à ce projet.

Comment s’inscrire ?

Cette initiative s’adresse à tous les élèves de CM2 de l’académie de Besançon. Pour rejoindre le collège bisontin, il suffit d’indiquer son choix, jusqu’au 10 mars, au directeur de son école. La motivation du jeune sera ensuite évaluée, ainsi que ces compétences en la matière. Il est précisé que l’établissement ne recherche pas des pratiquants chevronnés, mais des élèves passionnés, ayant quelques compétences en la matière néanmoins.

L'interview de la rédaction : M. Filo, principal du collège Victor Hugo de Besançon

C’est un événement qu’elles ne manqueraient pour rien au monde. Ophélie Janiault, étudiante en BTS Agricole Production Animale, et Solène Berne, étudiante en BTS Agricole Analyse, Conduite et Stratégie de l’Entreprise Agricole, au lycée de Dannemarie-Sur-Crête, participeront ce samedi 26 février à la finale nationale des ovinpiades qui se déroulera au Salon de l’Agriculture de Paris.

Pour en arriver là, les deux étudiantes ont surclassé une trentaine d’autres candidats lors de la sélection régionale qui s’est tenue à Levier. Les deux compétitrices, motivées par la place parisienne qui était en jeu, ont réussi la dizaine d’ateliers qui étaient proposés. Au menu : reconnaissance des races, parage, appréciation de l’état de santé de l’animal, tri des animaux, … .

Vivre pleinement le salon

Comme tous les jeunes passionnés, Ophélie et Solène trépignent d’impatience. Elles en oublieraient presque le concours qui les attend. La possibilité qui leur est offerte de pouvoir vivre le salon de l’agriculture de l’intérieur est fortement appréciée. Le partage des savoir-faire, la rencontre avec d’autres professionnels, d’autres cultures, la vie collective, … sont autant de situations qu’elles attendent de vivre pleinement. En bonnes franc-comtoises qu’elles sont, elles ne quitteront pas la capitale sans avoir assisté au grand concours de la Montbéliarde, qui se disputera dimanche.

L'interview de la rédaction : Ophélie Janiault

 

Durant cette première semaine de vacances, des adolescents ont donné de leur temps pour leur quartier. Durant ces cinq derniers jours, aux Clairs Soleils, ils ont redonné vie à un ancien terrain de basket que les herbes folles avaient envahi. Encadré par deux éducateurs de l’ADDSEA, ils ont nettoyé et débroussaillé l’endroit, avant de le personnaliser.

En échange de leur investissement, ils percevront une petite rémunération, la première pour ces jeunes ados, âgés entre 15 et 16 ans. C’est la Ville de Besançon qui apporte son soutien financier à ce beau projet éducatif. Au-delà de l’aspect financier, qui leur permettra de pourvoir financer la réparation de leurs téléphones portables, ces volontaires ne cachent pas leur satisfaction d’avoir pu mener ce chantier à son terme, malgré les aléas climatiques, d’avoir obtenu la reconnaissance des habitants du quartier et d’avoir créé un nouvel espace de vie.

Fiers du travail accompli, ils se disent prêts à mener d’autres actions identiques lors de prochaines vacances scolaires.

Le reportage de la rédaction : Benjamin Gyger (éducateur de prévention à l'ADDSEA du Doubs) et deux jeunes participantes

 

Ce mercredi, le comité départemental UFOLEP du Doubs et le collectif Parloncap ont mené l’opération « Ufo street » au gymnase du bas du lycée à Pontarlier. Il s’agit d’un événement ayant pour but d’initier des jeunes à la pratique de nombreuses activités sportives en lien avec le monde des cultures urbaines et artistiques.

« Le but est de faire découvrir à ces jeunes toutes ces activités en leur faisant plaisir. Mais aussi de faire connaître les différentes associations » Justin Bonnet, animateur ado à la MJC des Capucins depuis 7 ans.

Au programme de cette journée, une initiation à plusieurs activités sportives en lien avec les cultures urbaines et artistiques a été proposée aux jeunes participants. Entre le crossfit (musculation), chase tag (jeu du chat en version sportive), hip-hop, panna (foot de rue), football et basket, le choix est varié. « L’idée c’est la mixité au niveau des enfants et des jeunes de quartiers. Ils grandissent ensemble, et apprennent à se connaître à travers des projets. L’idée vraiment, c’est de développer des nouvelles actions et des nouvelles propositions au niveau de la jeunesse » précise Eric Louvrier, animateur coordinateur de Parloncap. Des propos soutenus par Florian Martin, délégué départemental UFOLEP du Doubs. « On souhaite développer ce genre d’événement un peu partout dans le département. Si vous êtes une structure associative, en recherche d’activités à proposer aux jeunes, n’hésitez pas à nous contacter. Pour les jeunes, notre volonté c’est qu’il n’y ait pas de barrière financière ou autre. Ça ne coûte rien. On a aussi tendance à se déplacer dans les quartiers prioritaires où l’offre sportive est faible. Notre volonté est qu’un maximum de jeunes puissent bénéficier de ces dispositifs sportifs ».

 

Retour sur cet événement en photo :

 

Justin Bonnet, animateur ado à la MJC des Capucins, et Florian Martin, délégué départemental UFOLEP du Doubs : 

 

 

Pour la sixième année consécutive, la ville de Besançon propose un chantier de jeunes à la Citadelle. D’une durée de quinze jours, il se déroulera du 10 au 24 juillet, en partenariat avec l’association «  le Club du Vieux Manoir », qui organise des chantiers de jeunes depuis plus de 60 ans. Ce camp-chantier s’adresse aux adolescents, âgés entre 14 et 17 ans.

Les participants proviendront pour moitié de Besançon et pour moitié d’autres horizons. 15 places sont disponibles. Pour obtenir de plus amples informations, il est utile de contacter Gaëlle Cavalli au 03.81.87.80.70 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Le coût de l’inscription est de 270 euros. Une aide financière de la ville de Besançon est possible. Dans ce cas, n’hésitez pas à composer le 03.81.87.80.70

Ils méritent cet épilogue heureux. Ce dimanche après-midi, les U19 nationaux du CA Pontarlier se sont imposés sur le score de 1 but à 0 face au Paris FC, le 3è de ce championnat des plus relevés, qui concentre l’élite de la nouvelle génération de footballeurs français. Le groupe de Romain Pogeant ne baisse jamais les bras et ça paie. Bravo les gars.

 

L’ASC Velotte, club de football créé à la fin des années 70 et durant les années 80, est devenu en 2022, le troisième club avec le plus de licenciés à Besançon. Avec plus de 200  pratiquants, il se classe juste derrière le Racing Besançon (580 licenciés) et le Besancon Football (466 licenciés). Le club velottier connait une vraie croissance, alors qu’une baisse des effectifs bisontins de 23% est à noter depuis la saison 2017/2018. Mais d’où vient cette hausse au sein de ce club de quartier ? Benjamin Besançon, président du club de l’ASC Velotte, a répondu aux questions de Sacha Froment, qui a récemment effectué son stage de 3è au sein de Radio Plein Air.

Parmi les clubs qui comptent à Besançon

Benjamin Besançon nous a fait part de ses principales ambitions pour Velotte. Il  veut que « le club préforme des joueurs avec du potentiel, pour qu’ils puissent rejoindre  des centres de formation ». Pour ses équipes, il veut également qu’elles réhaussent leur niveau pour prendre toute la place qu’elles méritent au sein du football bisontin. Parmi les autres ambitions du président, celle de créer davantage de lien avec les habitants du quartier. Un bon moyen pour recruter aussi de nouveaux bénévoles et joueurs. Alors qu’il y a 3 ans, 91 licenciés composaient les différentes équipes, aujourd’hui, ils sont 200 à taper dans le ballon. « Le bouche à oreille est un formidable vecteur de communication. La meilleure des publicités, c’est lorsque des  copains en parlent à d’autres copains » reconnaît Benjamin Besançon.

L’objectif de 300 licenciés

Chez les U15, on aime partager sa passion avec d’autres. Dernièrement, Basile a rejoint les rangs de l’ASC Velotte. Lui, aussi, a été séduit par l’ambiance amicale qui y règne. Pour rien au monde, il ne porterait une autre couleur. Mais où ce club de quartier compte s’arrêter ? Benjamin Besançon s’est fixé le cap des 300 licenciés. Selon le responsable, « c’est en atteignant ce niveau que le club pourra s’inscrire dans la durée et la maturité ». Une nouvelle étape pourrait être franchie lors de la prochaine saison. Affaire à suivre.

L'interview de la rédaction

 

Depuis quelques mois, grâce au soutien pédagogique de Mme Hautbois, Conseillère Principale d’Education au collège Victor Hugo de Besançon, et Lisa Devillers, actuellement en service civique au sein de cet établissement scolaire, une dizaine de collégiens participe à un atelier pâtisserie le mercredi après-midi. Rencontre avec les adultes et ces jeunes passionnés

Pour le collège bisontin et sa direction, les attentes pédagogiques sont multiples : encourager les projets et les initiatives lancés par les adolescents, créer et tisser du lien avec les élèves, renforcer le sentiment d’appartenance des jeunes à l’établissement scolaire et valoriser les métiers des parents. C’est ainsi que Lilou et Saraz ont fait les démarches nécessaires pour voir aboutir leur idée. Ces jeunes filles ont su trouver les mots et se montrer convaincantes pour obtenir les autorisations nécessaires.

cuisinier victor hugo 3

Des idées plein la tête

C’est avec générosité, envie et partage que le duo mobilise autour de lui. Les deux cheffes distribuent les rôles et s’assurent du bon déroulement de la séance. On partage ses savoirs, on donne de bons conseils et on réfléchit et pense à l’avenir. Chacun apporte sa pierre à l’édifice. Lilou admet même bien volontiers que ses petits camarades lui apportent également de bonnes idées dans la conception des activités et l’application de certaines techniques. Ce mercredi, les petits pâtissiers du collège Victor Hugo ont cuisiné de succulentes gaufres et un joli gâteau au yaourt. Entre deux coups de fouet ou la recherche des ingrédients dans la réserve, chacun envisage l’avenir ou se projette d’ores et déjà dans sa vie professionnelle future. C’est ainsi que Lilou, Saraz et Timéo ont déjà envisagé la possibilité de créer leur propre pâtisserie. « Une entreprise familiale et sociale, qui donnera du travail à toutes les personnes qui en ont besoin ». La future boulangerie sociale et solidaire de Besançon est sans doute en train de se réfléchir  et de se concevoir dans les murs du collège Victor Hugo.

L'interview de la rédaction

 

Jusqu’au premier tour des élections présidentielles, en avril prochain, Plein Air a décidé de donner la parole aux jeunes francs-comtois. En compagnie des étudiants en licence 3 Info’Com  de la faculté des lettres de Besançon, nous allons à la rencontre des 18-25 ans pour savoir ce qu’ils attendent du prochain Président de la République. Cette semaine, c’est Alexia qui s’y est collée. Elle a rencontré Esther, qui demande une politique plus sociale et une revalorisation du travail.

L'interview de la rédaction