Choix du secteur :
Se connecter :
 

Un ancien pompier volontaire comparaît ce jeudi après-midi devant la justice. Il est soupçonné d’être impliqué dans l’incendie de Cornod, survenu cet été dans le Jura. Il est âgé de 27 ans et sera jugé en comparution immédiate à Lons-le-Saunier. Cet incendiaire présumé est soupçonné d’être impliqué dans l’incendie de près de 230 hectares. Ces incohérences lors de ses différentes auditions l’ont rapidement rendu suspect. Le journal Le Progrès explique qu’il a finalement reconnu avoir « mis volontairement le feu à des brindilles à l’aide d’un briquet ». Il était inconnu de la justice jusqu’à présent.

Les policiers bisontins ont mis hors d’état de nuire deux individus, sous l’effet d’une obligation de quitter le territoire, dans la nuit de dimanche à lundi, vers 00h15, sur un parking de l’avenue Edgar Faure. Les forces de l’ordre ont été appelées par un  riverain qui a aperçu les deux malfrats présumés s’intéresser de très près aux véhicules en stationnement.

Lorsque la patrouille est arrivée sur place, l’un d’eux se trouvait à l’intérieur d’un véhicule. L’autre essayait de s’introduire dans une seconde voiture. Des faits confirmés par les caméras de vidéosurveillance. Ils s’expliqueront en janvier prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon

TF1 vient d’annoncer que le téléfilm sur l’affaire Alexia Daval sera diffusé le 12 septembre prochain à 21h10. Le public pourra retrouver au casting de cette création Maud Baecker de la série « Demain Nous Appartient » dans le rôle d’Alexia, Liam Baty dans celui de Jonathann Daval, Michèle Bernier et Jérôme Anger se glisseront dans la peau des parents de la victime. A noter qu’à 23h10, la première chaine diffusera un documentaire intitulé « Affaire Daval : les secrets d’une garde à vue ».

Un Jurassien de 54 ans a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement le 8 septembre pour des faits de destruction par incendie. Cette décision fait suite au feu de végétation, survenu le 17 août dernier, à Champagnole. 450 m2 étaient partis en fumée. Au cours de sa garde à vue, après modifié à plusieurs reprises ses déclarations, il a reconnu avoir mis volontairement le feu à l’aide de son briquet. Cet ouvrier souffre de pathologies justifiant un régime de travail adapté. Une expertise psychiatrique a été ordonnée.

Un Pontissalien qui pensait vendre sa voiture a fait une très mauvaise rencontre. Les faits se sont dernièrement produits sur un parking de la RN 57. L’acheteur présumé a prétexté un arrêt pour sortir une bombe lacrymogène et menacé le propriétaire. Ce dernier est parvenu à s’échapper et à prendre les clés du véhicule. Ce qui n’a pas été suffisant, puisque le malfrat a remis en route la Mercédès en actionnant un bouton réservé à cet effet. C’est plus loin, après avoir endommagé la roue avant de la voiture, qu’il se résoudra à appeler la police du Creusot pour se faire prisonnier. Il devra s’expliquer devant le tribunal judiciaire de Chalon-sur-Saône.

Un homme de 45 ans, domicilié dans la circonscription de Pontarlier, sera jugé demain en comparution immédiate. Lors de son incarcération, il a envoyé une lettre d’intimidation à un juge d’application des peines car il n’avait  pas répondu favorablement à sa demande. A peine sorti de prison, il a été convoqué par les forces de l’ordre. Il a été placé en garde à vue. L’affaire sera jugée dans un département voisin, en l’occurrence le Jura. Le quadragénaire a reconnu les faits.

Le 15 août dernier, à Pontarlier,  un jeune homme de 19 ans, qui avait tenté de fausser compagnie aux policiers, a finalement été interpellé. L’individu était à pied. Sur lui, la patrouille a retrouvé 8 grammes de cocaïne, 136 grammes de résine de cannabis, 23 grammes d’herbe de cannabis et 5 cachets d’ecstasy.

Lors de sa deuxième audition, le mis en cause a reconnu les faits. Il a refusé de fournir le code de déverrouillage de son téléphone. Il devra répondre de ses méfaits devant la justice. Précisons que ce dernier n’est pas un inconnu de la justice et de la police. Il a dernièrement effectué un séjour en prison.

Joli coup pour les policiers bisontins. Après l’interpellation de quatre individus, le 8 août dernier dans le secteur de Fontaine Ecu, ils ont, lors de diverses perquisitions, saisi plusieurs produits stupéfiants pour une valeur marchande de 25.000 euros et plus de 9.000 euros en numéraire.

Tout a commencé par l’interpellation d’un jeune homme de 24 ans dont le scooter avait été repéré la veille au cours d’une transaction. Plus tard, trois individus ont été remarqués en train de procéder à un vol dans l’appartement du premier jeune homme identifié. Le locataire des lieux, qui servait de nourrice, doit être jugé en comparution immédiate ce vendredi à Besançon. Le cambrioleur principal fait l’objet de poursuites. Les deux autres ont été laissés libres sans suites.

Dans le cadre d’une opération anti-rodéo, menée dans le quartier de Planoise, à Besançon, le 10 août dernier, deux jeunes pilotes, âgés de 18 et 17 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue. L’aîné devra répondre de ses actes en octobre prochain devant la justice. Son scooter a été placé en fourrière.

Quant au second, aperçu en train de circuler sans casque, ni gants, sur un scooter, il a été interpellé sur un chemin piétonnier, un peu plus tard, sans son engin. Il avait pris soin de se délester de produits stupéfiants. Néanmoins, de la résine de cannabis et de la cocaïne ont été retrouvés dans sa sacoche. La valeur marchande est estimée à près de 4000 euros. Sa garde à vue est toujours d’actualité ce jeudi après-midi.

Enfin, précisons qu’un scooter, identifié dans le cadre de rodéos précédents, a été découvert dans le hall d’un immeuble. Il a été placé en fourrière.

Un individu, âgé de 20 ans, devra s’expliquer en décembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 8 août, à Besançon, lors d’un contrôle, pour mettre fin aux agissements d’individus qui jetaient des pétards rue Champrond,  le jeune homme, qui a pris la fuite, a été retrouvé en possession d’un sachet de pétards, d’une matraque télescopique et d’une bombe lacrymogène. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a reconnu les faits, précisant que la matraque et la bombe lacrymogène lui servait à se défendre.