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L’info est relatée par le journal « Le Progrès ». Un homme de 56 ans, originaire de Bois d’Amont,  a été condamné à six mois d’emprisonnement, avec sursis probatoire d’une durée de 2 ans par le tribunal correctionnel de Lons-le-Saunier.  Il a interdiction d’entrer en contact avec des mineurs pendant dix ans.

L’enquête a permis d’établir que cet individu possédait des milliers de fichiers pédopornographiques et qu’il publiait des histoires érotiques impliquant des enfants sur internet. « C’est lors d’une enquête de grande ampleur, lancée par le tribunal d’Angers, que les faits sont constatés » précise le quotidien jurassien.

Un adolescent de 15 ans devra s’expliquer prochainement devant un juge des enfants et des représentants de la protection judiciaire de la jeunesse. Mercredi, vers 10h, il a été contrôlé, à proximité de la maison d’arrêt de Besançon, en possession de colis qui contenaient deux plaquettes de 98 grammes de résine de cannabis chacun. Il a expliqué aux policiers qu’il avait été forcé, par deux individus non identifiés, de jeter ces contenants par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt, moyennant la somme de 50 euros.

A Pontarlier. Un homme de 44 ans a été transféré à la maison d’arrêt de Besançon. Avisés par des témoins, lundi, les policiers l’on interpellé rue du lycée, alors qu’il faisait l’objet d’un contrôle judiciaire lui interdisant de se rendre à cette adresse et d’entrer en contact avec certaines personnes. Dans ces conditions, le juge d’application des peines, auquel il a été présenté, a révoqué son sursis.

Un homme de 22 ans devra s’expliquer le 30 mars prochain devant la justice. Dimanche soir, cet individu a refusé de payer son addition au restaurant « le Bureau », situé dans la ZAC Chateaufarine à Besançon. Le mis en cause, alcoolisé, a tenté de prendre la fuite, mais il a été rattrapé par des employés. Il a tenté de leur échapper une nouvelle fois en les aspergeant de gaz lacrymogène. A l’arrivée des forces de l’ordre, le jeune homme était maîtrisé au sol par le personnel du restaurant.  Il a été interpellé et placé en garde à vue différée. Il présentait un taux de 1,56 gramme d’alcool dans le sang. A l’issue de son dégrisement, il a été entendu et a reconnu les faits.

Ce lundi, Jean-François Colombet, préfet du Doubs, Bruno Ligiot, directeur régional des douanes et Etienne Manteaux, procureur de la République de Besançon ont signé un protocole de coopération. Il implique l’état, via le centre d’expertise et de ressources des titres d’immatriculation des véhicules ( CERT-CIV) , les douanes et le parquet bisontin. L’objectif étant, grâce à une meilleure collaboration entre ces services,  de lutter contre la fraude, notamment fiscale, liée à l’importation de véhicules en provenance de pays hors de l’Union Européenne, et plus particulièrement de Suisse, via un partage systématique d’informations. Il est également prévu la réalisation d’actions de contrôle renforcé et la formation des agents.

Cette fraude se traduit notamment par la falsification de document de justification remis par les douanes pour échapper au paiement de la TVA et du dédouanement. Concrètement, vendeur et acheteur, dans des négociations entre particuliers ou entre un professionnel et un particulier, espèrent vendre et acheter une voiture au meilleur prix en contournant la législation. Les gains obtenus peuvent être importants.

Selon des chiffres communiqués par le CERT, en 2021, on dénombre plus de 5200 véhicules immatriculés, en France, en provenance de Suisse. Ce qui génère un chiffre d’affaires de 104 millions d’euros. Cependant, en raison de ces malversations, 30.000 euros de taxe manquent à l’appel. Soit près de 3 véhicules pour 1000 vendus. De l’argent qui échappe à l’état et qui peut être injecté dans des réseaux parallèles illégaux et/ou dans le trafic de stupéfiants.

Les policiers pontissaliens ont eu à gérer deux affaires de violences conjugales ces derniers jours. Aucune ITT n’a été prononcée. Lors des investigations policières, il est apparu que les femmes commettaient les mêmes violences que celles qu’elles reprochaient à leur conjoint ou ex-conjoint. Des violences psychologiques et physiques ont été révélées. Les deux couples devront respectivement s’expliquer en octobre et novembre prochain devant le délégué du procureur.

Un Pontissalien de 41 ans, présentant des troubles psychiatriques, a été hospitalisé, avant de s’expliquer devant la justice. Ce dernier est soupçonné d’avoir envoyé des menaces de mort à sa tante pour une histoire d’héritage. Cette dernière, qui habite la région lilloise, a déposé plainte. L’affaire a été transférée au commissariat de police de Pontarlier, où réside le quadragénaire. Au cours de son audition, le mis en cause a reconnu les faits, mais ses propos sont apparus très confus.

Un homme de 44 ans devra s’expliquer le 12 janvier prochain devant la justice. Le 4 septembre dernier, lors d’une opération anti-rodéo à Planoise, il circulait sur une moto non homologuée. Les policiers ont également remarqué qu’il était en possession d’un deux roues qui avait été volé le 30 août à Faverney, en Haute-Saône.  Au cours de son audition, il a reconnu les faits de rodéo, mais a déclaré ne pas savoir que la moto de cross avait été volée.

De nouveaux tirs sont survenus dimanche soir dans le quartier Planoise, rue de Fribourg, à Besançon.   Ils ont retenti vers 22h. Ils n’ont fait aucun blessé. Ces nouveaux coups de feu apparaissent après ceux enregistrés le 29 août dernier. Rappelons que deux jeunes avaient été blessés. L’un d’eux n’a pas survécu à ses blessures.

Un jeune homme de 25 ans a été placé en détention provisoire en attendant son audience qui se tiendra ce lundi 5 septembre. Le 1er septembre dernier, alors qu’il circulait sur les trottoirs avec sa trottinette, les policiers ont procédé à son contrôle. Ils ont découvert sur lui et lors d’une perquisition à son domicile des produits stupéfiants : 138 grammes de cocaïne, des cachets d’ecstasy, une balance et quelques grammes de résine de cannabis.

Il semble s’être servi de cet engin de locomotion pour vendre sa drogue. L’individu pourrait ne pas avoir agi  seul. C’est la raison pour laquelle deux autres comparses sont recherchés. Depuis trois semaines, les policiers pontissaliens ont démantelé quatre lieux de deal.