Un homme de 49 ans devra s’expliquer en juillet prochain devant le Délégué du Procureur en vue d’une ordonnance pénale. Le 13 mai dernier, les policiers ont été prévenus que cet individu gesticulait, couteau à la main, dans le centre-ville bisontin. Il a été interpellé sur la place Saint-Jacques.
Il était également en possession de deux petites doses de produits stupéfiants, composées de résine de cannabis et d’héroïne. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a reconnu la possession du couteau, mais a nié avoir eu une attitude menaçante. Il a reconnu la possession de produits stupéfiants. Précisant qu’il s’agissait de sa consommation personnelle.
Suite à différentes infractions relevées au zoo de la Citadelle, la Ville de Besançon a été épinglée par l’Office français de la Biodiversité. Plusieurs anomalies ont été relevées, « sans qu’aucun constat de maltraitance animale n’ait pu être établi » explique le communiqué de la ville de Besançon. Une convention judiciaire d’intérêt public a été signée le 16 mars dernier. La collectivité s’est vu infliger une amende totale de 8.500 euros. la collectivité a été sommée de se mettre en conformité.
Certains dysfonctionnements ont été corrigés depuis le passage de l’autorité. Cela concerne : l’absence d’un certificat capacitaire, la conservation d’animaux morts dans les chambres froides sans origine légale et l’exposition d’espèces rares sans certificat. Concernant, les enclos des mouflons et des geladas, la formalisation de l’arrêté préfectoral, autorisant le rempart de la Citadelle comme « clôture » officielle, était manquante.
L’info est relatée par nos confrères du journal « Le Progrès ». L’homme de 43 ans, soupçonné d’avoir tiré sur l’école Pointelin de Dole, a été maintenu en détention. Il a été condamné à une peine de 18 mois de prison dont huit ferme. Le 4 mai dernier, vers 6h15, cet individu, bien connu des services de police, a tiré, avec un fusil à plombs, en direction de la structure scolaire jurassienne. Ce sont les agents de service de l’école qui ont alerté les forces de l’ordre.
Quatre tirs ont été évoqués par le personnel qui s’est réfugié à l’intérieur de l’école lorsque les coups de feu sont survenus. Devant la justice, le quadragénaire a expliqué vouloir tirer sur des oiseaux qu’il jugeait trop bruyants. Ce qui n’a pas convaincu le tribunal.
Lors d’une perquisition dans un appartement, situé au 6è étage d’un immeuble, avenue Île de France, à Besançon, quatre jeunes se trouvaient à l’intérieur. Sur place, la patrouille a découvert plus de 5000 euros en numéraire et 1 gramme de résine de cannabis et près de 200 grammes d’héroïne. Ces individus, âgés entre 16 et 20 ans, devront s’expliquer devant la justice et différents tribunaux en fonction de leur âge.
Un homme de 45 ans a été placé en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Elle était toujours d’actualité ce jeudi matin. Les faits se sont produits le 2 mai dernier, rue de Rivotte. Un homme de 45 ans, alcoolisé et ne jouissant pas de toutes ses capacités, a été interpellé par les forces de l’ordre. Il est soupçonné d’avoir agressé un employé de bar. Une violence gratuite, semble-t-il. Au cours de son audition, le mis en cause a minimisé les faits qui lui sont reprochés.
Deux jeunes hommes, âgés de 20 et 21 ans, devront s’expliquer le 21 juin prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. L’un d’eux est soupçonné d’avoir jeté à trois reprises des projectiles sur un policier, en l’occurrence le directeur adjoint de la direction départementale de la sécurité publique du Doubs, le 1er mai dernier. Un deuxième homme fut également interpellé. Il était en possession d’un poing américain. Au cours de leur audition, les deux individus ont reconnu l’intégralité des faits.
La Préfecture du Doubs a déposé plainte au commissariat de police de Besançon. Un adolescent de 16 ans est soupçonné d’avoir tenté de mettre le feu à la porte principale de la Préfecture et d’avoir commis des dégradations sur le système d’ouverture de la porte et sur les battants. Au cours de son audition, lors de sa garde à vue, il a reconnu avoir jeté un explosif éteint par-dessus l’enceinte de la préfecture et posséder un gros caillou à l’intérieur de son sac à dos. Interpellé le 1er mai, vers midi, rue Charles Nodier, il a été remis à sa mère le lendemain.
Une femme de 45 ans a été condamnée à quatre mois de prison sous bracelet électronique, avec interdiction, pendant un an, de participer à une manifestation. En marge du rassemblement du 1er mai, elle a jeté une pierre dans le dos des policiers et les a copieusement insultés. Elle a nié les faits durant son audition, mais l’exploitation de la caméra piéton d’un fonctionnaire a confirmé les faits qui lui sont reprochés.
Les cortèges ont été fournis en ce 1er mai en Franche-Comté. Plus de 10.000 manifestants se sont rassemblés à Besançon. La préfecture du Doubs annonce 5600 manifestants. Entre 600 et 800 personnes ont battu le pavé à Saint-Claude. Ils étaient plus de 2000 manifestants à Dole, près de 500 à Pontarlier et 4000 à Lons-le-Saunier. Lors du rassemblement du 1er mai des heurts ont éclaté à Besançon. La Préfecture du Doubs annonce 33 personnes interpellées en marge d’une manifestation non déclarée en ville, à laquelle une centaine de manifestants participaient.
Sur les hauts de Saint-Claude, à Besançon, le 26 avril dernier, les policiers ont interpellé deux individus. L’un d’eux, le passager de la voiture, a tenté de prendre la fuite. Dans le véhicule, il a été retrouvé plus de 4000 grammes d’héroïne, près de 6000 grammes de produits de coupe et du matériel lié à la détention de ses produits stupéfiants. Les deux hommes ont été interpellés et placés en garde à vue.
Lors des perquisitions, 2.700 euros et deux montres de valeur ont été retrouvés chez l’un d’eux. Elles sont en cours d’expertise. Au cours de son audition, l’aîné de 24 ans déclarait ne faire que le « livreur » et n’être impliqué dans aucun trafic de stupéfiants. Le deuxième, âgé de 23 ans, assurait ignorer la présence des stupéfiants dans le véhicule. Ils devront s’expliquer tous deux devant la justice.