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Ce samedi, le corps sans vie d’une femme a été retrouvé dans le parc Croichet de Poligny. Le corps se trouvait dans le kiosque. Le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale s’est rendu sur les lieux. Un périmètre de sécurité a été établi. La victime présentait plusieurs blessures à la tête. Le corps a été transporté à l'institut médico-légal de Besançon. Une autopsie sera pratiquée ce lundi. L’enquête a été confiée à la gendarmerie du Jura et à la section de recherche de Besançon.

Un homme, âgé d’une vingtaine d’années, a été incarcéré ce vendredi pour effectuer une peine de huit mois d’emprisonnement. Le 5 janvier, aux environs de 17h, lors d’un contrôle, mené rue Grignard, à Besançon, les policiers de la BAC ont constaté que cet individu était au volant alors que son permis de conduire avait été suspendu.

Il était également en possession d’une quarantaine de bonbonnes de produits stupéfiants (héroïne et cocaïne pour une valeur marchande d'environ 1800 euros) qu'il avait dissimulé au niveau de la ceinture de son pantalon. Placé en garde à vue, il niait les faits. Il a été déféré ce vendredi en vue d’une comparution immédiate devant le tribunal judiciaire de Besançon.

Vendredi matin, vers 10h, les policiers bisontins, en patrouille dans le tramway, ont interpellé un jeune homme de 16 ans qui était entré dans une rame sans porter de masque. L’adolescent, qui dégageait une intense odeur de cannabis, était en possession d’un joint entamé et de quelques sachets contenant de la résine de cannabis. Il a été placé en garde à vue.

Vendredi matin, vers 3h, les policiers de la BAC ont interpellé un homme, âgé d’une vingtaine d’années, rue du Commandant Marceau à Besançon. Alors qu’il se trouvait en compagnie de deux autres individus dans une voiture en stationnement, il a été retrouvé en possession d’un revolver, dissimulé à la ceinture, et de quatre cartouches, cachées dans une poche de son blouson. Il est également apparu qu’il faisait l’objet de plusieurs interdictions judiciaires : interdiction de porter une arme, de sortir du département du Rhône et de se rendre sur Besançon. Cet individu, placé en garde à vue, a été déféré en fin d’après-midi.

Un individu, âgé d’une vingtaine d’années, a été écroué à la maison d’arrêt de Besançon dans le cadre d’un mandant d’amener. Il devra également s’expliquer le 25 avril prochain devant la justice. Le 4 janvier, lors d’un contrôle routier, mené dans le quartier Planoise, il est apparu qu’il était au volant alors qu’il n’est pas titulaire du permis de conduire. Il faisait également l’objet d’une mesure judiciaire lui interdisant de paraître sur le quartier de Planoise. 28 grammes de cannabis et un sachet contenant des bonbonnes de poudre blanche, à savoir six grammes de cocaïne, ont été découverts dans la poche de ses vêtements. Il nie les faits.

Le jeune homme de 16 ans, qui s’était montré violent, en cassant volontairement à coups de pieds la vitre d’un foyer d’hébergement, quai de Strasbourg, à Besançon, doit être présenté à la justice ce vendredi. Rappelons qu’il avait été exclu de cet établissement pour avoir agressé une éducatrice.

Il voulait pénétrer dans les lieux pour faire sa lessive. L’adolescent, qui avait pris la fuite après les faits, était retourné sur place. C’est dans ce contexte  qu’une patrouille de police était parvenue à l’interpeller.

Un jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années, sera présenté ce vendredi à la justice. Mercredi, vers 17h, lors d’un contrôle routier, mené rue Grignard, à Besançon, il a été découvert en possession d’une quarantaine de bonbonnes, composées d’héroïne et de cocaïne, pour une valeur marchande de 1800 euros. Ces produits stupéfiants avaient été dissimulés au niveau de la ceinture de son pantalon. Placé en garde à vue, il nie les faits.

Ce début d’année est dramatique. Depuis le 1er janvier dernier, trois féminicides ont été enregistrés en France, dont un survenu à Besançon. Les associations mobilisées dans la lutte contre les violences faites aux femmes s’en inquiètent. A Solidarité Femmes, on explique que le développement de moyens de protection doit absolument s’accompagner d’une augmentation des moyens humains ». L’association demande également une meilleure formation des policiers et des professionnels de la justice et une application des peines encourues « pour éviter à tout prix le sentiment d’impunité ».

Eva Dronnenkant, l’une des trois présidentes de l’association bisontine, demande un plan à hauteur d’un milliard d’euros ‘pour agir efficacement’ contre ce fléau qui gangrène la société. La formation passe notamment par l’accueil de la parole des plaignantes, mais aussi sur la connaissance réelle des pratiques psychologiques comme les mécanismes d’emprise et les violences psychologiques par exemple. L’ouverture de brigades, la nuit, pour permettre le dépôt d’une  plainte tout au long de la journée et la création de tribunaux dédiés aux violences conjugales sont également souhaités.

L'interview de la rédaction / Eva Dronnenkant, l’une des trois présidentes de l’association "Solidarité Femmes"

 

Joli coup pour les policiers pontissaliens. Grâce à la vigilance des commerçants d’une parfumerie, qui avaient noté la plaque d’immatriculation d’un véhicule,  dont les occupants étaient soupçonnés d’avoir commis un larcin, les forces de l’ordre sont parvenues à les interpeller.

Les investigations ont permis d’établir que ces derniers étaient impliqués, à des degrés divers,  dans des vols à Roche-les-Beaupré et à Besançon en fin d’année. Ce trio, deux hommes et une femme, s’est vu remettre une convocation devant la justice pour le 23 avril prochain.

Deux mineurs de 13 ans devront s’expliquer prochainement devant la justice. Hier après-midi, dans le quartier de Planoise, à hauteur du Pont de Sully, lors d’un contrôle routier, ils sont brusquement descendus d’un véhicule et ont pris la fuite. Ils ont été interpellés un peu plus loin et ont outragé copieusement les fonctionnaires de police. Ils ont été placés en garde à vue. Les investigations ont permis d’établir que le véhicule avait été dérobé avec les clés la veille à Baume-les-Dames.

Les deux mineurs réfutent être les auteurs du vol et ont expliqué qu’ils se promenaient dans le quartier quand un homme, nommé Jeff, croisa leur route et leur proposa de faire un tour avec. Ces explications sont très confuses puisque les investigations téléphoniques montrèrent que l’un d’eux se trouvait la veille dans le secteur de Baume-les-Dames.