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Claude Guéant (77 ans), l’ancien préfet du Doubs et très proche de Nicolas Sarkozy, est toujours en détention à la prison de la santé. Il est incarcéré depuis le 13 décembre dernier. L’ex-ministre de l’Intérieur devra attendre le 7 février prochain pour savoir si sa demande de remise en liberté sera acceptée.

C’est à cette date que la décision du juge d’application des peines sera connue. En janvier 2017, Claude Guéant avait notamment été condamné à deux ans d’emprisonnement, dont un an ferme,  dans le dossier des primes en liquide du ministère de l’Intérieur. Il lui est reproché de ne « pas respecter les décisions de justice ». Son incarcération fait suite au retard de paiement des sommes auxquelles il avait été définitivement condamné en 2019.

Ce mercredi soir, un jeune homme de 19 ans est toujours en garde à vue au commissariat de police de  Besançon. Dans l’après-midi, vers 14h, à la vue d’une patrouille de la BAC, il a pris la fuite au fond d’un hall d’immeuble, place Cassin, dans le quartier Planoise. Lorsqu’il a été interpellé, il était en possession d’une liasse de 910 euros de billets de banque.

A ce même endroit, un sac contenant 9 grammes d’herbe de cannabis, 175 grammes de résine de cannabis et environ 6 grammes de cocaïne a été découvert. Lors de son audition, il a reconnu la possession de ces produits « pour sa consommation personnelle ». Il nie avoir vendu à un autre homme, âgé de 40 ans, de la marchandise.

Un jeune homme de 18 ans a été placé en détention à la maison d’arrêt de Besançon pour y purger 5 mois de prison ferme. Mardi matin, à 9h, il a été repéré après avoir jeté un colis par-dessus l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon, avenue Clémenceau. Il avait été interpellé rue de Dole. Il était en possession de deux morceaux de résine de cannabis.

Dans le cadre d’une opération conjointe, associant la Police aux Frontières, l’Urssaf, la police nationale et la police municipale, une personne qui était en situation irrégulière,  et qui exerçait dans un salon de coiffure pontissalien,  a été interpellée et invitée à quitter le territoire. L’intervention a été menée mardi. Les deux gérants de l’enseigne devront s’expliquer prochainement sur ces faits.

Suite au féminicide,  commis hier soir à Besançon, dans le quartier Battant, l’association Solidarité Femmes a réagi via un communiqué de presse. Ses responsables et bénévoles se disent « choquées, révoltées et infiniment attristées ». Un rassemblement est prévu à 18h sur la place Pasteur à Besançon. Rappelons que ce drame survient 20 jours après le décès d’une autre femme, Corine, qui a perdu la vie sous les coups de son mari.

Un jeune homme de 22 ans devait être présenté ce mardi à la justice, après la prolongation de sa garde à vue. Le 16 janvier, vers 18h, une patrouille de police a constaté qu’il effectuait des transactions avec d’autres personnes. Lorsqu’il est contrôlé, le jeune individu n’identifie pas les fonctionnaires et leur signale la présence de policiers dans le secteur. Reconnaissant son erreur, Ce dernier tente de prendre la fuite, mais il est rapidement maîtrisé. Dans sa sacoche se trouvait une importante somme d’argent et des produits stupéfiants : 30 grammes de résine de cannabis, 50 grammes de cocaïne et 65 grammes d’héroïne.

Un jeune homme de 18 ans a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Présenté hier à la justice, il a vu la révocation d’un sursis probatoire de 3 mois prononcé lors de sa comparution immédiate. Le 14 janvier dernier, il a été interpellé, non sans difficulté, alors qu’ils circulaient avec deux autres individus sur un scooter rue du Bouquet de Soleil.

Dans le scooter, situé sous la selle, les policiers ont découvert un sachet contenant 70 bonbonnes de produits stupéfiants pour un poids total de 68 grammes,  ainsi qu’une bombe lacrymogène. Dans la sacoche du mis en cause se trouvaient 690 euros. Blessé, après avoir percuté la voiture de police avec son engin, il a été conduit à l’hôpital, avant d’être placé en garde à vue.

A son domicile, les enquêteurs ont découvert 2.700 euros dans un bac à aspirateur. Au cours de son audition, il a reconnu avoir achetés ses produits à Planoise pour 500 euros et vouloir les revendre. Concernant le scooter sans carte grise et sans assurance qu’il conduisait, il a expliqué « l’avoir acheté à un homme non identifié pour 4000 euros il y a un mois ».

Hier soir, vers 19h45, les pompiers sont intervenus rue Battant, à Besançon, pour porter secours à une jeune femme de 21 ans en arrêt cardio-respiratoire. A l’arrivée des secours, malgré une prise en charge rapide, la victime, blessée mortellement, succombera à ses blessures. La police scientifique et le Procureur de la République se sont rendus sur les lieux. Dans son édition de ce matin, l’Est Républicain raconte qu’un homme a été interpellé. La piste d’un nouveau féminicide est loin d’être écartée.

Dans le Doubs, la gendarmerie est parvenue à démanteler un trafic de stupéfiants implanté dans le quartier de reconquête républicaine de Planoise. Les premiers faits ont été constatés le 11 janvier 2020 à la sortie du péage d’autoroute de Vaux-les-Prés. Le 11 janvier dernier, 200 gendarmes ont été mobilisés et ont permis l’interpellation de 12 individus, soupçonnés de composer une équipe structurée de malfaiteurs. Deux points de deal ont également été démantelés.

Les perquisitions ont permis de saisir : 6 véhicules, 178.000 euros en numéraire et sur les comptes bancaires, des vêtements de luxe et des produits stupéfiants. Sur les douze individus interpellés : deux ont été remis en liberté, 3 ont été déférés le 13 janvier et placés sous contrôles judiciaires et sept ont été déférés devant la justice ce vendredi.

La dame de 82 ans, grièvement blessée, après avoir été percutée par une voiture, le 8 janvier dernier, dans le quartier Velotte, à Besançon, n’a pas survécu à ses blessures. La conductrice de 64 ans, qui avait pris la fuite et qui présentait un taux de 1,10 gramme d’alcool par litre de sang, a de nouveau été placée en garde à vue le 13 janvier, après avoir été remise en liberté le 10 janvier. Au cours de sa première audition, qui s’était notamment conclue par douze mois de suspension administrative de son permis de conduire, elle niait les faits. Pour l’heure, elle a été placée sous contrôle judiciaire, dans l’attente de son jugement prévu le 14 février prochain.