Choix du secteur :
Se connecter :
 

Ce furent les grands enjeux de la dernière assemblée générale de la Fédération du Transjuralpin, qui s’est dernièrement tenue à Pontarlier. Quel est l’avenir de la ligne ferroviaire Neuchâtel-Travers-Pontarlier-Frasne ? Comment inscrire cette ligne dans l’avenir et lui assurer une pérennité nécessaire pour le territoire ? Philippe Alpy, maire de Frasne et très engagé dans cette dynamique ferroviaire, constate que le dialogue est « difficile Â» avec les autorités suisses sur cette question. Le dossier est sur la table de la région Bourgogne-Franche-Comté, qui est en première ligne.

Une reconnaissance d’importance internationale

« En tant que Maire de Frasne, j’aimerais que le quota qui est dédié à la gare de Frasne puisse être conforté, voire renforcé Â».  Pour faire simple, Philippe Alpy souhaite, comme les autres membres de la fédération du Transjuralpin, que cette ligne soit reconnue comme un itinéraire « d’importance internationale Â». « Les populations qui viennent de Neuchâtel ne sont pas affectées aux passagers internationaux, mais au quota de Frasne. Cela vient perturber l’accessibilité à la gare de Frasne Â» explique M. Alpy. Et de poursuivre : « j’aimerais que le quota de Neuchâtel soit rattaché à un quota passagers internationaux. Cela voudrait dire que Lyria reconnaît la ligne « Neuchâtel – Pontarlier – Frasne Â» en rabattement sur l’axe « Paris – Lausanne Â».

Mobilisation des élus

« Avec Patrick Genre, avec la députée et les élus du Doubs et du Jura , nous sommes très attentifs au devenir de cette ligne Â» narre Philippe Alpy. « C’est très structurant pour notre territoire. Il faut que l’on se batte pour que cette ligne soit confortée, renforcée. On ne comprendrait pas qu’à l’heure où l’on attend un renforcement des modalités ferroviaires, on ne fasse pas le nécessaire pour la pérennité de cette ligne de cette nature Â».

L'interview de la rédaction / Philippe Alpy

 

 

L’ambassadeur de Suisse en France est attendu dans le Haut-Doubs ce jeudi. Il arrivera en fin d’après-midi en gare de Frasne. Ce déplacement s’inscrit dans le cadre d’une opération, qu’il mène sur le territoire français,  qui s’intitule « en route vers la Suisse Â». En compagnie de Philippe Alpy, le maire de Frasne, il se rendra à la maison de la réserve de Labergement-Sainte-Marie, via les réserves naturelles, pour échanger avec les forces vives du territoire. Il se rendra ensuite dans la capitale du Haut-Doubs.

Philippe Alpy saisira cette opportunité pour échanger sur les problématiques du territoire et notamment celles liées au transport ferroviaire. Le loup, l’eau, le tourisme, le logement, …  sont autant d’autres sujets qui concernent les deux pays et qui animeront les discussions. Des échanges auxquels participera également le nouveau conseiller d’état en charge de la coopération transfrontalière  au canton de Vaud.

L'interview de la rédaction / Philippe Alpy

 

Dans la cinquième circonscription du Doubs, Annie Genevard est arrivée largement en tête du 1er tour des élections législatives dimanche soir. Une victoire sans contestation puisque la députée LR sortante a rassemblé  plus de 42% des suffrages. Loin devant Philippe Alpy de la Majorité Présidentielle (19,5%) et Martine Ludi de la NUPES (18,7%).

Mme Genevard améliore son score par rapport en 2017 avec près de 900 voix supplémentaires. Elle fait partie des élus qui ont le mieux réussi au niveau national. Son très bon ancrage sur son territoire et sa campagne dynamique ont payé.

L'interview de la rédaction / Annie Genevard

C’est assez surprenant. En pleine campagne électorale, qui est plus sur un territoire rural, seulement deux candidats aux élections législatives dans la cinquième circonscription du Doubs, ont participé ce mardi matin, à Malpas, au grand oral, organisé par la FDSEA et les Jeunes Agricultures. Annie Gennevard (LR) et Philippe Alppy, le candidat de la majorité présidentielle, ont répondu favorablement à cette invitation.

ALPY GENEVARD 2

 

De nombreux sujets ont été évoqués. L’environnement, le retour du loup, le foncier agricole, l’emploi, les retraites, la transmission, l’agribashing, … sont autant de problématiques vues durant ces deux heures d’intervention. Philippe Monnet, le président de la FDSEA du Doubs, juge ces moments importants. Il regrette que des candidats à une élection, certes locale, mais avec un enjeu national s’intéressent peu au devenir de ceux « qui nourrissent le pays Â». Il explique que  les personnes  qui ambitionnent de siéger au palais Bourbon doivent être au fait « des difficultés de la profession, d’apporter des solutions et d’être de bons relais auprès des plus hautes instances de l’état Â».

Annie Genevard et Philippe Alpy

Malgré qu’ils soient rivaux, les deux candidats ont montré de l’intérêt et de l’écoute. Maîtrisant leur sujet, ils ont questionné et partagé leur point de vue sur les problématiques abordées. De riches et techniques discussions qui ont permis à la profession d’être rassurée sur l’intérêt que leur portent certains élus locaux, désireux de siéger  dans les prochaines  semaines à l’assemblée nationale.

MONNET

 

L'interview de la rédaction / Philippe Monnet

 

 

 

Philippe Alpy, le candidat de la majorité présidentielle dans la cinquième circonscription du Doubs, entend jouer pleinement sa carte à quelques semaines du 1er tour des élections législatives. Le maire de Frasne et vice.président du conseil départemental dit « vouloir réveiller la belle endormie Â». Selon lui, le territoire a tout à gagner à porter au palais Bourbon « un candidat qui ne sera pas dans l’opposition Â».

Pour Philippe Alpy après « les années Genevard et Binetruy Â», il est temps que ce terroir ait des élus proches d’un président de la république. Selon lui, « le Haut Doubs n’a remporté que des miettes» en raison de cette situation politique depuis plusieurs années.  Pour appuyer ses propos, il nomme les crédits accordés à la cinquième circonscription du Doubs pour le plan de relance ou encore le vieux serpent de mer que représente la RN57, entre Pontarlier et la Suisse. « Je ne comprends pas que les Pontissaliens ne se révoltent pas’ précise-t-il.  Et de poursuivre : « Rien n’a été fait en 20 ans. Et ce ne sont pas les 140.000 euros accordés aux études qui changeront les choses Â». A cette somme, le candidat rappelle les « 12 millions d’euros qui l’a obtenus pour les zones humides ou encore  les 100.000 euros pour l’étude concernant la réhabilitation du barrage à Oye et Pallet Â». Sa principale opposante de droite, la députée sortante Annie Genevard,  est clairement dans le viseur : « Il faut désormais une politique plus volontaire et moins passéiste. Cela ne suffit pas de s’offusquer Â» lance-t-il. Et de conclure, avec l’appui de Jean-François Ligier, un de ses soutiens, « quand je pense que la députée sortante s’est abstenue sur le projet de loi climat 2021 Â». La guerre est lancée.

Un élu de terrain et de conviction

S’il y a bien une chose que l’on ne peut reprocher à Philippe Alpy, c’est son investissement et ses engagements pour le territoire. Il explique que sa détermination et sa capacité à mobiliser un collectif, et notamment les élus du territoire, ont payé et ont permis des avancées notoires dans les domaines du tourisme, de l’eau, des soutiens aux projets locaux  et de l’environnement. Il balaie d’un revers de main ses multiples casquettes qu’on lui reproche et sa tentative échouée d’être le suppléant d’Annie Genevard il y a 5 ans.

Son programme

La mobilité ferroviaire, les infrastructures routières, le logement social, l’environnement, l’eau, la santé, l’aménagement du territoire et la fracture numérique sont au cÅ“ur du programme de Philippe Alpy et de sa suppléante Dominique Inglada. Les sénateurs Annick Jacquemet et Jean-François Longeot et les conseillers départementaux Jacqueline Cuenot Stalder, Béatrix Loizon, Géraldine Tissot-Trullard, Thierry Maire du Poset et Bruno Beaudrey font partie des soutiens de l’élu du Haut-Doubs. « On y va pour être dans une majorité Â» conclut M. Alpy

L'interview de la rédaction / Philippe Alpy

 

 

Après une année blanche l’année dernière, la station de Métabief retrouve des couleurs en ce début de saison hivernale. Le week-end dernier marquait le lancement officiel des sports de glisse dans la petite station du Haut-Doubs. Un « top départ Â» qui a rencontré l’intérêt escompté. Le public a répondu présent.

Il faut bien avouer que les conditions sont des meilleures. La neige est présente pour le plus grand bonheur du gestionnaire de la station et de ses équipes, des commerçants, des locaux et bientôt des touristes. Philippe Alpy, le président du syndicat mixte du Mont d’Or, qui gère le site de Métabief, ne cache pas sa satisfaction et entrevoit de belles vacances de Noël dans le Haut-Doubs. Ce qui ne serait pas arrivé depuis plusieurs saisons. Preuve que cette saison 2021/2022 démarre sur les chapeaux de roue, le nombre de forfaits annuels vendus bat des records. Il ne reste plus qu’à espérer que Dame Météo soit au rendez-vous et que la situation sanitaire ne vienne pas perturber cette belle dynamique. Rappelons que le passe sanitaire et le masque sont obligatoires pour accéder aux plaisirs de la glisse.

L'interview de la rédaction : Philippe Alpy (Président dy syndicat Mixte du Mont d'Or)

 

A l’occasion de la mission opérationnelle transfrontalière, qui s’est fixée comme objectif de défendre les intérêts des territoires transfrontaliers, Joël Giraud, le secrétaire d’Etat chargé de la Ruralité, est à Morteau ce mardi. Cet évènement se déroule sur deux journées à Morteau et La-Chaux-de-Fonds, en Suisse voisine. Parmi les élus concernés, Annie Genevard, député du Doubs, Cédric Bole, Maire de Morteau, Anne Vignot, Maire de Besançon et Philippe Alpy, vice-président du conseil départemental du Doubs