Le Comité départemental du Tourisme du Doubs vient d’éditer son bilan pour l’année 2024. Béatrix Loison, en charge du tourisme au sein du département du Doubs, en tire des conclusions nuancées. L’hiver a été marqué par une faible stabilité du manteau neigeux, limitant l’attractivité des sites alpins et nordiques. Le printemps, particulièrement humide, a aussi freiné la consommation et la pratique des activités de plein air.
Le début de l’été n’a pas été épargné par les perturbations, avec une météo capricieuse et un contexte géopolitique tendu, sans oublier l’impact de l’organisation des Jeux olympiques qui a retardé la pleine saison estivale. Cette conjoncture a entraîné une baisse notable de la fréquentation, notamment parmi les touristes français et locaux. Cependant, l'afflux de visiteurs étrangers, notamment suisses et allemands, a permis d'atténuer ces effets.
La fréquentation du département
Le Doubs a accueilli en 2024 plus de 10,3 millions de nuitées, une fréquentation en majorité française (75,2 %). Parmi les touristes étrangers, les Suisses restent les plus nombreux avec 998 608 nuitées, suivis par les Allemands (638 317) et les Néerlandais (249 935). Les visiteurs français viennent principalement des départements limitrophes. La carte de provenance montre une forte présence des excursionnistes du Grand Est, d’Île-de-France et d’Auvergne-Rhône-Alpes, confirmant l’attractivité locale du territoire. La répartition des nuitées françaises suit des tendances saisonnières : un pic estival marqué en août et une hausse significative en décembre, qui restent les périodes phares du tourisme régional.
Les sites les plus visités du Doubs en 2024
Le classement des 20 sites touristiques les plus fréquentés en 2024 révèle un engouement marqué pour le patrimoine historique et culturel du Doubs. En tête, la Citadelle de Besançon domine avec 261 263 entrées, suivie par la Cathédrale Saint-Jean (170 680) et la Saline royale d’Arc-et-Senans (153 666). Les sites ludiques et pédagogiques tirent également leur épingle du jeu, à l’image du Parc Dino-Zoo à Étalans (119 742) et du Pavillon des Sciences à Montbéliard (65 465). Les musées bisontins enregistrent eux aussi une belle affluence : les Beaux-Arts et d’Archéologie (65 121), le Musée du Temps (47 358) et la maison natale de Victor Hugo (20 446) continuent d’attirer les visiteurs. Le Haut-Doubs se distingue avec des sites emblématiques comme le Château de Joux (55 242), le Tuyé du Papy Gaby à Gilley (52 000), ou encore le Gouffre de Poudrey à Étalans (27 000). Enfin, le Parc polaire à Chaux-Neuve (34 500) confirme l’intérêt croissant pour les espaces naturels et animaliers.
Les événements incontournables du Doubs en 2024
Le Doubs a vibré tout au long de l’année au rythme des festivals et manifestations culturelles, attirant des milliers de visiteurs. En tête des événements les plus fréquentés, Les Lumières de Noël à Montbéliard, véritable tradition festive, ont rassemblé 550 594 personnes, confirmant leur statut d’incontournable. Autre rendez-vous majeur, la Foire comtoise à Besançon, avec 148 000 visiteurs, a su séduire grâce à ses animations et exposants variés. Plus surprenant, Les Terres de Jim à Mamirolle, événement dédié à l’agriculture, ont attiré 70 000 curieux. La culture et les arts n’ont pas été en reste, avec « Livre en Boucle » à Besançon (30 000 visiteurs), mettant à l’honneur la littérature, et le « Festival de la Paille » à Métabief (24 000 participants), qui a réuni des passionnés de musique et de spectacles en plein air. Les festivals ont également rythmé la vie du département, à l’image du Festival « Rencontres et Racines » à Audincourt (23 500 personnes), célébrant les cultures du monde, et du Festival « Grandes Heures Nature » (22 311 participants), qui a mis en avant les activités sportives et outdoor
Le ski dans le Doubs : une activité en quête de stabilité
Avec ses 730 km de pistes de ski de fond, ses 410 km dédiés aux raquettes et ses 12 sites de ski alpin, le Doubs offre un cadre idéal aux amateurs de glisse. Mais la saison 2024/2025 reflète une réalité contrastée pour l’économie du ski. La station de Métabief a enregistré 88 jours d’ouverture et 104 000 journées skieurs, générant un chiffre d’affaires de 2,6 millions d’euros. À l’échelle du département, ce sont 190 942 journées skieurs comptabilisées, pour 736 598 euros de recettes. Sur les dix dernières années, la fréquentation oscille entre 50 000 et 250 000 journées skieurs, témoignant des variations dues aux conditions météorologiques et aux tendances du marché.
Afin d’offrir aux habitants et aux visiteurs une expérience unique, l’Office de Tourisme du Grand Besançon Besançon renouvelle son offre de visites guidées en proposant des formats originaux et immersifs. Que ce soit en vélo, en avion, en randonnée ou même à bord d’un Dragon Boat, ces explorations permettent de découvrir la cité autrement.
Le Dragon Boat : une visite alliant sport et découverte
En partenariat avec le SNB, la structure propose des visites inédites sur l’eau à bord de Dragon Boats. Deux embarcations sont disponibles, pouvant accueillir jusqu’à 15 personnes pour l’une, et 8 pour l’autre. Un guide accompagne les visiteurs, commentant l’histoire de la ville au fil de la navigation. Un moyen dynamique et sportif de parcourir le patrimoine bisontin.
L'interview de la rédaction : Patrice Hennequin, président de l'Office du Tourisme du Grand Besançon
Des visites surprises pour une immersion totale
Parmi les nouveautés, les visites surprises permettent aux curieux de découvrir un lieu inédit sans en connaître la destination à l’avance. Sur inscription à l’office de tourisme, 24 heures avant le départ, les participants reçoivent un rendez-vous sans savoir exactement ce qu’ils vont visiter. Cette formule intrigue et séduit ceux qui recherchent une aventure imprévisible et unique. « C’est une façon de redécouvrir Besançon sous un angle différent, tout en brisant la routine des visites classiques », explique Patrice Hennequin, le président de l’Office de Tourisme bisontin.
L'interview de la rédaction : Patrice Hennequin, président de l'Office du Tourisme du Grand Besançon
Un programme diversifié et renouvelé
Consciente de l’importance du renouvellement de l’offre touristique, l’Office de Tourisme mise sur la diversité des formats. Les visites classiques, qui continuent de rencontrer du succès, sont toujours proposées et se terminent souvent par une dégustation au marché des Beaux-Arts. Pour toucher un public plus large, certains circuits sont programmés à des horaires variés, notamment à partir de 18h. Grâce à ces initiatives, Besançon renforce son attractivité en proposant des expériences immersives et innovantes, mettant en valeur son riche patrimoine tout en s’adaptant aux attentes des visiteurs.
Besançon, cité nichée entre collines verdoyantes et boucle du Doubs, connaît un véritable renouveau touristique. Derrière une apparente discrétion, la ville tire son épingle du jeu et enregistre des chiffres inédits. Avec plus de 860 000 euros collectés en taxe de séjour, un record historique, la capitale comtoise prouve qu'elle séduit de plus en plus de visiteurs venus découvrir son patrimoine, sa nature et sa douceur de vivre.
L'interview de la rédaction : Benoît Vuillemin, maire de Saône et l'élu grand bisontin en charge du tourisme
Benoît Vuillemin
Une stratégie repensée, des résultats visibles
Tout a commencé en 2020, lorsque Grand Besançon Métropole a décidé d’actualiser son schéma touristique voté en 2017. « Le contexte post-Covid exigeait une refonte des priorités, notamment pour répondre à de nouvelles attentes des voyageurs » explique Benoît Vuillemin, maire de Saône et l'élu grand bisontin en charge du tourisme. Ce schéma repositionne Besançon comme capitale de la destination “Montagnes du Jura”. Les efforts portent à la fois sur la valorisation du patrimoine architectural et naturel, sur les mobilités douces et sur le renforcement de l’offre d’hébergement, encore perfectible.
L'interview de la rédaction : Benoît Vuillemin, maire de Saône et l'élu grand bisontin en charge du tourisme
Hébergement : un point à consolider
Si les chiffres sont bons, l’hébergement reste un talon d’Achille. Certains établissements comme l’hôtel Victor Hugo ou l’hôtel de Paris, ont opéré des rénovations majeures. D'autres, en revanche, peinent à suivre, comme le souligne M. Vuillemin : « L’hôtel Mercure, par exemple, n’a pas fait sa mue, ce qui est regrettable. ». Des projets sont en cours : un nouvel hôtel dans le nouveau quartier Saint-Jacques, un nouvel établissement à Morre et, pourquoi pas, un camping de nouvelle génération à Saône. Autant d’initiatives destinées à combler le déficit d’accueil de qualité.
Patrice Hennequin
Mobilité : une accessibilité renforcée
Le réseau ferroviaire est un atout stratégique pour la ville. À seulement 2h10 de Paris ou 3h50 de Francfort en TGV, Besançon se rend accessible sans voiture. La ligne TER des Horlogers, récemment réhabilitée, permet même de relier les plateaux jurassiens depuis le centre-ville en quelques minutes. Benoît Vuillemin cite avec enthousiasme cette expérience : « Deux minutes après avoir quitté la gare de Saône, vous êtes déjà en pleine nature, dans un décor de falaises et de tunnels. C’est unique. »
Une offre culturelle et événementielle dynamique
Musées, expositions, festivals… La diversité de l’offre culturelle participe largement à l’attractivité de la ville. Le Musée des Beaux-Arts, la Citadelle, ou encore les événements comme "Grandeur Nature", "Bien Urbain", ou le festival du livre rythment la saison touristique. Les touristes affluent, notamment à vélo, via la Via Francigena. L’Office de tourisme enregistre jusqu’à 600 visiteurs par jour en été. La ville devient peu à peu un point de passage incontournable des amateurs de slow tourisme.
L'interview de la rédaction : Patrice Hennequin, président de l’office de tourisme
Des efforts à poursuivre : communication et coordination
Reste un défi majeur : mieux faire savoir tout ce qui se fait de bien. « On ne sait pas bien dire ce qu’on fait », admet Patrice Hennequin, le président de l’office de tourisme. Besançon souffre encore d’un déficit de notoriété. Des initiatives sont mises en place pour renforcer sa visibilité médiatique nationale et internationale. Les chiffres, les projets et les témoignages sont clairs : Besançon est sur la voie d’une reconnaissance touristique solide. Le cap est fixé, les résultats sont encourageants, mais le travail est loin d’être terminé. Si la ville parvient à moderniser son offre d’hébergement et à renforcer sa communication, elle pourrait bien devenir l’une des perles touristiques du Grand Est.
L'interview de la rédaction : Patrice Hennequin, président de l’office de tourisme
Doubs Tourisme vient d’éditer une nouvelle carte dédiée à la randonnée. Ce guide, édité à 10.000 exemplaires, est disponible gratuitement dans les offices de tourismes du Doubs et auprès de Doubs Tourisme. Pratique et détaillé, il propose 25 itinéraires pédestres adaptés à tous, dont les Grandes Randonnées de Pays (GRP) du Doubs, les Sentiers Courbet et trois grands itinéraires emblématiques : Grandes Traversées du Jura, Via Francigena et GR59.
Le choix s’est porté sur l’intérêt touristique, l’accessibilité et la diversité, tant en termes de paysages traversés que de niveaux de difficulté, de ces itinéraires. Précisons que la plateforme Explore Doubs, développée par le Conseil Départemental du Doubs, recense également plus de 250 itinéraires et lieux de pratiques outdoor, qui ne manqueront pas de susciter d’autres intérêts.
Après plusieurs années de baisse de fréquentation, la Citadelle de Besançon retrouve son attractivité grâce à une stratégie de renouvellement de son offre touristique. Si la période post-2014 a été marquée par un recul significatif du nombre de visiteurs, amplifié par la crise sanitaire liée au Covid-19, les tendances actuelles montrent une nette reprise, ramenant la Citadelle aux niveaux de 2014, avec une progression constante. Les chiffes sont têtus, le site bisontin a accueilli plus de 291.000 visiteurs en 2024. Soit une augmentation de 129%, par rapport à l’année 2020.
Un retour au premier plan du tourisme régional
Aujourd’hui, la Citadelle de Besançon occupe la deuxième place du classement des sites à entrée payant en Bourgogne Franche-Comté. Se situant derrière les Hospices de Besançon, et devant le Château de Guédelon. Cette évolution vient confirmer l’efficacité des ajustements mis en place, notamment ceux visant à mieux répondre aux attentes des visiteurs. Ainsi, la diversification des activités et des horaires a permis d’attirer un public plus large et de répondre aux nouvelles habitudes des touristes. Par ailleurs, la réouverture du Musée de la Résistance et de la Déportation, en 2023, est également à prendre en compte pour expliquer cette belle progression. Tout comme la diversification de l’offre culturelle et évènementielle, avec la déclination de nouveaux espaces, d’expositions et d’animations et d’évènements.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot, Maire de Besançon
Une offre réajustée pour s’adapter aux saisons
La Citadelle s’ouvre désormais davantage en soirée, proposant des événements culturels tels que des concerts, des projections de films et d’autres spectacles qui séduisent les touristes cherchant des activités nocturnes agréables dans un cadre frais et historique. Grâce à ces ajustements et à une approche résolument tournée vers l’attractivité et l’adaptation aux besoins des visiteurs, l’établissement renforce son positionnement parmi les lieux incontournables du patrimoine régional. La tendance haussière devrait se poursuivre, permettant d’atteindre prochainement les niveaux de fréquentation espérés.
Nouveaux aménagements et rénovations sur le site
La Citadelle de Besançon poursuit sa transformation avec l’aménagement de deux nouveaux jardins associés aux Muséum et au Musée Comtois. Le jardin zoologique évolue également pour améliorer le bien-être animal. Par ailleurs, plusieurs espaces bénéficient de projets de rénovation, notamment le Musée Comtois. En 2027, le hangar de manœuvre deviendra un espace polyvalent ouvert toute l’année pour des événements variés. En 2026, la boutique connaîtra un renouvellement de son offre, favorisant la consommation locale. Enfin, des travaux de rénovation énergétique et de modernisation des sanitaires sont prévus pour améliorer l’accueil du public, tout en préservant une partie du site en accès libre.
Besançon repense l’éclairage de la Citadelle avec un projet ambitieux visant à moderniser l’installation tout en respectant l’environnement. La ville mise sur une technologie innovante qui conjugue mise en valeur architecturale et protection de la biodiversité. Le coût global, intérieur et extérieur, est estimé à près de 1,5 millions d’euros. L’objectif souhaité étant de divisé par quatre les dépenses liées à la consommation d’énergie.
Une évolution guidée par quatre priorités essentielles
La rénovation de l’éclairage repose sur quatre critères fondamentaux : mise en valeur du patrimoine, préservation de la biodiversité, réduction de la pollution lumineuse et amélioration de la sécurité. Un équilibre a été recherché pour que ces objectifs soient compatibles entre eux. Mis en place depuis 1996, l’ancien éclairage de l’édifice était jugé énergivore, difficilement réparable et non conforme aux réglementations actuelles, il devenait impératif de repenser entièrement le dispositif. Aujourd’hui, il s’agit de dessiner la lumière avec précision afin d’accentuer les spécificités des remparts et de mieux révéler leur architecture. Cette démarche permet même de mettre en évidence certaines discontinuités qui ne sont pas toujours perçues par le grand public.
Un éclairage respectueux de l’environnement et adaptable
L’impact sur la faune a été particulièrement pris en compte. L’ancienne mise en valeur des falaises a été abandonnée afin de préserver le faucon pèlerin et les autres espèces protégées sur site. Certaines zones resteront non éclairées pour favoriser la nidification, et l’allumage sera ajusté selon les saisons et le cycle biologique des animaux présents. De plus, l’éclairage sera évolutif, avec des points lumineux modulables individuellement pour répondre aux exigences écologiques, tout en maintenant l’animation urbaine. Un travail minutieux permettra d’adapter la lumière aux moments de forte affluence touristique, notamment au crépuscule.
L'interview de la rédaction : Victor Gauvain, chef du service système te réseau à Grand Besançon Métropole.
Une installation technique de pointe et une consommation maîtrisée
L’ensemble du dispositif sera composé de LED de dernière génération, permettant une réduction par quatre de la consommation énergétique par rapport à l’ancien système. Les températures de couleur seront également ajustées pour limiter l’impact sur les insectes et préserver l’équilibre naturel du site. Le nombre de points lumineux a été optimisé pour une meilleure répartition de la lumière, évitant ainsi le gaspillage tout en assurant un confort visuel.
Un projet inédit à l’échelle du patrimoine national
Avec 12 hectares concernés, ce projet d’éclairage patrimonial est une première en France. Contrairement aux installations classiques qui fonctionnent en mode « on/off », la lumière pourra s’adapter aux déplacements des animaux grâce à l’expertise scientifique mobilisée. Les travaux devraient débuter fin 2025 pour une inauguration prévue au printemps 2026.
Dès ce jeudi 1er mai, les amateurs de VTT pourront à nouveau profiter des pistes du Bike Park de Métabief, avec la remise en service du télésiège du Morond. Tout est prêt pour accueillir les riders de tous niveaux : pistes entretenues, équipements vérifiés et porte-vélos installés.
Une ouverture festive
Pour marquer ce coup d’envoi, un petit-déjeuner offert dès 9h30 attend les premiers arrivants. Le VTT Club du Mont d’Or propose aussi un slalom chronométré au pied des pistes, accompagné d’une buvette et d’une petite restauration.
Des parcours pour tous les niveaux
Le Bike Park de Métabief est une référence pour les amateurs de VTT de descente et d’enduro, avec des pistes variées :
1 verte pour les débutants
2 bleues et 2 rouges pour les confirmés
3 noires pour les plus expérimentés
Avec un dénivelé de 420 mètres, chaque cycliste pourra trouver un défi à sa hauteur. La piste verte Bike’All permet une découverte sécurisée du VTT de descente, tandis que la Jump Zone ouverte l’an dernier est idéale pour s’initier aux sauts. Les passionnés pourront aussi tester la piste "Chill Trail", conçue en collaboration avec BikeVision et le rider professionnel Vincent Tupin, alias Vinny T.
Une expérience pour tous
Les randonneurs et traileurs sont également les bienvenus pour profiter du grand air et de la vue imprenable sur la Chaîne des Alpes. Et pour les amateurs de sensations, la Luge des Cimes offre un tracé dynamique à travers les sapins sur 710m, avec 103m de dénivelé et une vitesse de pointe à 40km/h.
Opération nettoyage des pistes – Samedi 3 mai
Parce que la montagne se respecte, une journée de nettoyage des pistes est organisée le samedi 3 mai par Métabief Montagnes du Jura, en partenariat avec la mairie de Métabief, Mountain Riders et Préval.
A compter de ce mois d’avril, les excursions reprennent sur la Ligne des Hirondelles dans le Jura. L’itinéraire relie Dole à Saint-Claude. Soit un cheminement de 2h30, à travers la forêt de Chaux, les réputés vignobles d’Arbois, les vastes plateaux du Grandvaux, la vallée de la Bienne,… .
Durant toute cette période, des sorties sont prévues les mercredis et jeudis, jusqu’au mois d’octobre. Certains lundis sont proposés pour les groupes uniquement. Pour obtenir de plus amples informations, n’hésitez pas à contacter Dole Tourisme au 03.84.72.1122
Selon des chiffres communiqués par le Conseil Départemental du Jura, le réseau « Jura Musées", créé en 2002, a enregistré 731.000 visiteurs, soit une progression de 30%, par rapport à 2023. L’intégration du Fort des Rousses explique, en partie, cette hausse. Rappelons que ce réseau a pour mission de promouvoir la richesse culturelle et historique du Jura. Il rassemble 53 musées et sites patrimoniaux.
Durant les vacances d’hiver, du 22 février au 9 mars, la Citadelle de Besançon propose des ateliers et des visites. Parmi les rendez-vous proposés : un atelier sur les traces du lynx boréal, des visites du naturalium, du musée de la Résistance et de la Déportation, de la Citadelle au XVIIè siècle et toujours l’évènement « Amène ton caillou », avec la présence d’experts, qui essaieront de raconter l’histoire de ces pierres, apportées par les visiteurs. Pour tout savoir sur ces évènements : www.citadelle.com