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Mardi, vers 16h, à Besançon, une patrouille de police secours a mis hors d’état de nuire un homme de 29 ans qui s’était illustré en dégradant un abri de bus à l’angle de l’avenue Helvétie et de l’avenue Denfert-Rochereau. Il a été interpellé à la sortie d’un bus. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera le 16 novembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon en vue d’une composition pénale.

Un jeune homme de 19 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Dans la nuit de mardi à mercredi, ce dernier, alcoolisé, a participé à une bagarre et a dégradé un véhicule dans le haut de la rue de Battant. Sous l’effet de l’alcool, il a également outragé les forces de l’ordre. Les faits qui lui sont reprochés sont : dégradation de véhicule, trafic de stupéfiants, non-respect de contrôle judiciaire, outrage et refus de se soumettre aux vérifications de son taux d’alcool.

La femme de 38 ans qui avait tenté de faire passer des produits sans les payer à la caisse d’un supermarché de l’agglomération pontissalienne en début de semaine, a été confondue dans une autre affaire. La semaine dernière, avec le même modus operandi, elle s’est fait remarquer au magasin Colruyt. Elle a été entendue par les policiers. Elle a reconnu les faits. Ces deux affaires seront classées lorsqu’elle aura régularisé sa situation.

A Morez, un collectif a vu le jour au début du mois d’octobre. Baptisé « Moréziens en colère », il s’inquiète de la situation de la ville. Les désaccords avec la municipalité en place portent sur le nouvel emplacement du marché, le développement économique de la cité jurassienne, sa propreté et l’insécurité notamment. Il est également demandé à l’équipe du Maire Laurent Petit de changer sa politique et de mieux prioriser les projets à venir. S’ils ne sont pas contre l’implantation d’une voie verte et d’une voie douce et la construction d’un hôtel de luxe, les opposants aimeraient également que la ville s’interroge sur le déclin du marché ou encore la fermeture annoncée de plusieurs commerces. Le premier de la liste est le « leaderprice ». D’autres pourraient subir le même sort, comme les enseignes Liddle et Bricomarché.

Actuellement, « Moréziens en colère » compte 250 membres. En 15 jours, le nombre de personnes qui ont rejoint le collectif a subitement augmenté. Ce qui prouve les réelles inquiétudes qui se manifestent. En parallèle, une pétition circule pour dénoncer le déplacement du marché. « En une semaine, elle a rassemblé 712 signatures » selon leurs auteurs.

L'interview de la rédaction / M. Malfroy

 

Un incendie s’est déclaré hier, vers 19h45, aux Ecorces (25). Il concerne une habitation. A l’arrivée des secours, le feu de toiture s’était propagé à une partie de la bâtisse. Quatre lances ont été établies pour éteindre les flammes. Les quatre occupants, indemnes, ont été relogés dans leur famille.

Les sapeurs-pompiers du Doubs interviennent actuellement pour un feu de pavillon aux Ecorces. Un panache de fumée, visible à 1 kilomètre, est constaté actuellement.  

Dimanche soir, lors d’une intervention dans le quartier Planoise, une patrouille de police a été visée par des projectiles. Elle procédait au contrôle d’un jeune homme de 21 ans, défavorablement connu des services de police, qui pratiquait le rodéo sur un quad sur un trottoir. L’engin était démuni de plaque d’immatriculation.

Quant au contrevenant, il n’était pas casqué. Les policiers signalent également la présence d’une quinzaine d’individus hostiles à leur présence et à l’interpellation. En attendant les renforts, l’équipage s’est éloigné avec le conducteur afin de se protéger.

A leur retour sur les lieux, le quad et les protagonistes avaient quitté les lieux. Le mis en cause a été placé en garde à vue. Durant sa présence au commissariat, il est apparu qu’il faisait l’objet d’un non-respect de son contrôle judiciaire.

Un homme s’expliquera le 7 mars prochain devant la justice. Dans la nuit de samedi à dimanche, lors d’un contrôle de police, l’individu, âgé de 31 ans,  a mordu un policier au niveau de l’auriculaire droit, occasionnant une plaie soignante sur 2 centimètres.

Le trentenaire s’était illustré en circulant à une vitesse excessive au niveau du centre-ville. Il était également positif au dépistage de l’imprégnation alcoolique. Au commissariat, il a refusé les vérifications à l’alcoolémie et aux stupéfiants. Il a été placé en garde à vue.

Jeudi dernier, trois jeunes individus, âgés de 14 à 16 ans,  ont été déférés devant le Procureur de la République Il sont soupçonnés d’avoir violenté une lycéenne de 15 ans le 27 septembre dernier aux passages Pasteur, au centre-ville de Besançon,  durant sa pause déjeuner,  vers 12h45. La victime a reçu des coups de pied au visage, des coups de poing, des gifles et un violent coup de sac au visage. Son téléphone a également été dérobé.

Les images de vidéosurveillance du centre commercial ont permis de confirmer les faits. L’adolescente s’est vue prescrire deux jours d’ITT. L’enquête a permis de rapprocher deux autres faits de la même nature et identifier deux individus, déjà impliqués dans la première affaire.

Lors des perquisitions,  les vêtements portés par les auteurs ont été retrouvés. Les trois jeunes hommes ont reconnu les faits. L’un d’eux a été placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt de Besançon. Les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire par le juge des enfants. Ils s’expliqueront le 9 novembre prochain.

Dans la nuit de samedi à dimanche, à Pontarlier, les policiers ont interpellé deux jeunes hommes qui conduisaient sous l’effet de l’alcool. Lors d’un premier contrôle, le taux d’alcool dans le sang s’élevait à 1,80 gramme pour l’un des deux automobilistes, âgé de 25 ans. Le second, un Bisontin, âgé de 20 ans,  n’a pu souffler. Une prise de sang a été effectuée. Il sera convoqué de nouveau au commissariat.